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  1. Nous sommes le 28/12, TIME LIMIT ouvre officiellement ses portes ! Vous pouvez dors et déjà vous inscrire, débuter la création de votre personnage et nous rejoindre sur le discord ! Avec ceci nous vous annonçons que 4 prédéfinis et 3 scénarios sont disponibles, chacun avec leur lot d'avantage, n'hésitez pas à aller y jeter un coup d'oeil !
    28/12/22
  2. Une nouvelle annonce est disponible ! Trois nouveaux scénarios et un prédéfini ont été ajoutés, ainsi que de nouveaux défis et upgrades. Pensez cependant à aller la lire pour pouvoir vos recenser avant le 9 avril en cliquant ici !
    26/03/23
  3. Fermeture temporaire du forum. Plus d'explications ICI !
    26/09/23
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Apolonia
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LUMOPOLIS
2047
Anciennement Las Vegas ▬ Nevada, États-Unis d’Amérique. Les mégacorporations dominent la vie citoyenne et politique tandis que la population goûte les joies des améliorations cybernétiques et autres modifications corporelles. Livrés à vous-mêmes dans la ville de tous les plaisirs, vices et excès vous pouvez ici vivre ; et surtout être tout ce qui vous fait envie !

Bienvenue à Lumopolis, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ou préférez-vous regarder des hordes d’Icares se brûler les ailes ?
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Bienvenue à Lumopolis en 2047, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ?
 
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He likes walls i like paper | Leo & Jade
Jade Bennett
Jade Bennett
Popularité : 2000
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Onyx : 74
Occupation : Propriété de D-Vice
Faceclaim : Judy Alvarez - Cyberpunk 2077
Pronoms : She/.Her
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Upgrades & Inventaire : Projection Holographique

— Des clopes volées et un briquet
— Une photo de son amie décédée
Jade Bennett
Lun 27 Mar - 13:04
@Prosperity
He likes walls i like paper

Passer dans le quartier des bars de jour, c'est toujours un peu bizarre. Mais au moins t'étais sûre d'être tranquille. Et puis tu t'y étais habituée, à venir peindre ici. C'était insolite mais calme, dépaysant. Ça ne donne pas la même inspiration que lorsque tu peins dans ta chambre ou devant les vitrines des magasins qui t'inspirent. Là, le feeling est tout autre, et ton art s'en ressent. Les peintures que tu as vendues le plus vite et le plus cher, même si la somme reste ridicule par rapport à ce que tu aimerais gagner avec, c'était des peintures faites ici. Alors soit, tu peindrais ici.
Les pas se suivent et tu envisages de te poser en face d'une devanture, mais finalement, tu optes pour une ruelle pas trop dégueulasse, pour changer. L'oreille écoute, elle entend, tu es intriguée. C'est toujours désert ici en journée, tout du moins ça l'avait toujours été chaque fois que tu étais venue peindre dans les environs. Pourtant, tu entendais clairement comme des bruits d'air, et de.. Roues ? Tu te dis qu'il vaudrait mieux faire comme si de rien et continuer de t'installer pour peindre ce qui payera de quoi remplir ton estomac dans le futur, mais tu es curieuse, et tu sais que tu vas te demander le qui et le pourquoi tout du long si tu ne vas pas voir maintenant. Une dernière seconde d'hésitation, un soupir, et tu récupères ton sac pour le remettre sur ton dos, direction l'origine des bruits.
Il n'était pas bien plus loin, à même pas deux rues de toi, terré dans une ruelle comme tu t'apprêtais à le faire. Il semblait concentré, tu ne penses pas qu'il t'ai entendue arriver. Tu le regardes silencieusement, faire du crépi sa toile, de son art une œuvre publique. Tu n'as jamais pensé à faire ce genre d'art, celui qu'on fait et abandonne, que l'on laisse au bonheur de la rue. Tu me diras, lorsque tu peins une œuvre et la vends, tu l'abandonnes, et la laisses au bon vouloir de l'acheteur, mais il y avait quelque chose d'excitant à faire du graph comme il le faisait. Ce n'était pas fait dans le but de vendre, les bombes de peinture sentaient la liberté. C'était peut-être ça, grapher. Un symbole de liberté.

Tu décides de t'installer ici, de sortir ton matériel, et de t'y atteler. À dessiner la liberté. Ne sachant pas vraiment si ça allait déranger l'artiste de rue, espérant simplement qu'il continuerait son œuvre en même temps que tu allais faire la tienne.
25.03.47 ; 11am ; Leo
bettyleg

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Léo N. Abberline
Léo N. Abberline
Popularité : 150000
Gif : He likes walls i like paper | Leo & Jade Andy-biersack
Onyx : 423
Occupation : vendeur dans un fast-food + dealer
Faceclaim : Ivan Krasny — The Red King ; Andy Biersack
Pronoms : she/her
Trigger Warning : ///
Double Compte : Apolonia + Belladona
Upgrades & Inventaire : UPGRADES
— Programme pirate
— Prothèses de combat
— Propulseurs

INVENTAIRE
— Tabac, feuilles, cartons
— Un pochon de beuh
— Les clés de sa Golf GTI
— Un portefeuille troué
— Quelques pièces
— Un téléphone portable
Léo N. Abberline
Ven 31 Mar - 23:31
@misfit
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Libre comme l'air, c'est la sensation qu'il ressent le plus quand il se décide à s'y mettre. Le dessin était un moyen de décompresser en rentrant de l'école, quand la discorde se faisait trop pesante, les cris étaient remplacés par d'innombrables couleurs. Il n'était pas un artiste né, ce qu'il faisait c'était pour s'évader, le brun n'en avait que faire du résultat final. Il aimait montrer ce qu'il faisait, à sa mère et à sa sœur pour leur remettre un peu de baume au cœur, mais le paternel a toujours trouvé ça ridicule, quand elles ont disparu toutes les deux, ça ne l'aidait plus à sourire, alors il a arrêté.
Puis Faye est revenue dans sa vie, il s'est dit qu'il y avait peut-être un espoir pour que tout redevienne un peu comme avant. Ça l'a pris d'un coup, la journée était vide de toute obligations, son esprit rempli d'idées scabreuses. Il n'a pas perdu de temps quand le soleil s'est levé et l'a forcé à se lever, quelques bombes de peinture usagées sont jetées à l'arrache dans un sac à dos. Le brun attrape son skateboard, glisse la lanière du sac sur ses épaules et après avoir quelques papouilles offertes à Toast, il dévale les marches pour sortir de son immeuble.

Les rues sont évidemment désertes, la ville du péché n'a rien à envier à ses sœurs quand le jour est levé, elle vit la nuit, comme le brun. Il ne voulait pas s'enquiquiner des détails, avoir affaire avec les forces de l'ordre quand il y a déjà gagné quelque chose, pourquoi pas, mais il ne compte pas se faire choper bénévolement. Alors ça l'arrange de voir qu'il n'y a pas âme qui vive dans ce secteur. Il traîne doucement, prend son temps pour observer les alentours, trouver le coin le plus discret pour se libérer d'un poids.
Une fois qu’il s’est décidé, il rentre dans la ruelle, toujours sur sa planche à roulette, il s’amuse déjà, peint des vagues sur le mur en arrivant jusqu’au spot qu’il a choisi. Comme à son habitude, il n’a pas de modèle en tête, pas d’idée particulière à retranscrire sur le moment, il se laisse porter par le vent, par ce que guide les couleurs et les pensées. Il ne l’entend pas arriver de prime abord, trop concentré sur ce qu’il était en train d’aborder sur la surface rugueuse. Le premier jet est tracé, donne déjà l’ombre d’un calamar sortant à peine de l’océan, quelques tentacules s’articulent dans la marée, s'accrochent à un navire adjacent. Puis finalement, son attention est attirée par le bruit du matériel qui sort de son sac, la sensation désagréable d’avoir quelqu’un qui l’observe par-dessus son épaule. Il soupire doucement, relève les yeux vers sa camarade  – pas si mal que ça  – qui l'observe depuis quelques minutes peut-être.

— Moi qui pensait que les rues étaient vides, pris en flag.

Il remarque la peinture sur laquelle elle œuvre de son côté, n'aperçoit cependant pas sur quoi elle est en train de travailler. Son sourcil s'arque dans la direction de la jeune femme, le brun la détaille une seconde du regard, se rend bien vite compte qu'elle n'a pas l'air plus contraignante que ça, même si elle l'expose un peu plus.

— Tu fais ça pourquoi, toi ?

La demande paraît idiote, le genre qu'on pose à quelqu'un après avoir discuté plusieurs minutes de ce sujet, quand on connaît déjà les basiques d'une personne. Le Britannique n'a pas le temps pour ça, ne s'embarrasse pas de la bienséance ; ça prend trop de temps, ça rend pas les conversations pertinentes. Tourner autour du pot ne sert à rien, le vif du sujet est toujours la partie la plus intéressante. Pourquoi attendre ?
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Jade Bennett
Jade Bennett
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Jade Bennett
Dim 9 Avr - 13:50
@Prosperity
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C'est le soupir qui te ramène à la réalité. L'artiste vagabond ne t'avait pas prêté attention tout de suite, mais là, il te fixait du regard alors que tu venais tout juste de commencer ton œuvre volatile à toi. Merde. À tous les coups il allait te casser la tête, te dire de te casser, qu'y a pas la place pour deux ici. Et en soi, ça t'aurait emmerdé, mais comment lui en vouloir vraiment, t'aurais peut-être réagis pareil sous un autre mood, un autre jour, à un autre moment.
Mais finalement rien. Il te détaille encore un peu plus après avoir fait la remarque qu'il se trompait sur les alentours moi aussi je comptais pas tomber sur toi à vrai dire. Puis il te pose une question. Cette question.

Mais c'est qui ce mec ? Fallait que tu croises un gars et il te pose cette question. Comme si c'était facile de répondre, comme si t'en avais envie même. Tu lui renvoies un regard froid et accusateur en même temps que les souvenirs te reviennent. Pourquoi je fais ça ? Pour échapper à tout. Pour te rappeler ce que t'aurais pu être si tout n'avait pas basculé. Pour garder espoir, un peu, le peu qu'il t'ai donné de garder. Pour te changer les idées, partir dans un autre monde. T'imaginer que tu es sur la plus saine et douce des planètes et non cet enfer qu'on t'a obligé à arpenter pour déjà bien trop longtemps.

❝ Je sais pas trop. Peut-être pour les mêmes raisons que toi. ❞

Le regard est redevenu plus amical, bien qu'il reste méfiant. Tu poses délicatement la toile à terre de sorte à ne pas la salir, et tu te lèves pour rejoindre le garçon. Tu décides qu'entre artistes, vous devriez pouvoir vous comprendre. Alors tu lèves le pinceau et commences à esquisser quelques traits. Il ne le sait pas encore, mais tu dessines une scène de meurtre.

❝ Montre moi pourquoi tu fais ça, toi. ❞

Dans ton esprit, le temps s'arrête. Tu ne te poses plus vraiment de question, tu ne te demandes même pas s'il va s'estomaquer en voyant que tu viens peinturlurer par-dessus son graph. Après tout s'il y a bien une chose de vrai, c'est l'art. Il prend toute forme, accompli toute chose, exprime le monde s'il en a envie. Tu lui jettes un regard, histoire de voir s'il se prend au jeu, si lui aussi décides de faire confiance à l'art et à sa manière de s'exprimer. Tu le détailles de haut en bas dans la foulée, tu ne l'avais pas encore fait depuis ton arrivée, trop concentrée à d'autres choses. Il est pas mal. Peut-être que la matinée sera appréciable.
25.03.47 ; 11am ; Leo
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Léo N. Abberline
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Léo N. Abberline
Mar 25 Avr - 23:34
@misfit
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Faut savoir s’en foutre quand sa vie est foutue. Le brun n’en a jamais vraiment eu quelque chose à faire de l’art, toujours plus intéressé par le contact humain, sans vouloir devenir trop proche. Les premières rencontres, quand on découvre la personne, c’est sympa, la suite, ça devient pesant, il laisse ça aux autres. Ça l’intéresse un peu de savoir pourquoi elle fait ça, si elle aime vraiment ça ou si comme lui, il ne s’agit que d’un moyen parmi tant d’autres de se défouler. Léo n’est pas un enfant de chœur, habitué à combler son corps par de l’adrénaline, aujourd’hui est un des rares moments où il calme le jeu, ralentit la tempête.
Elle le dévisagea quelques secondes, il n’en dit rien, ne peut pas lui jeter la pierre alors qu’il s’affairait à pareil plus tôt. La question paraît étrange, brutale, alors qu’ils ne se connaissent pas du tout ; trêve de mondanité, il se moque bien de son nom, mais ce qu’elle fait ici est plus important. La jeune femme lui répond qu’elle fait probablement ça pour les mêmes raisons que le brun, mais il n’y croit pas. Non, il n’est pas familier avec l’art, pourtant il sait reconnaître la différence entre ce qui est fait dans la rue et ce qui est retranscrit sur le papier. Non, ça n’a pas la même valeur, ça ne veut pas dire la même chose. Son regard se fait plus doux alors qu’elle se rapproche de la scène, délaisse son propre matériel pour venir peindre sur la toile du brun. Il ne comprend pas tout à fait, mais ça l’amuse. Qu’importe ce qu’il dessine, il ne fait ça que pour se défouler.

Sa camarade lui demande de montrer pourquoi il fait ça lui, un petit sourire naît aux lèvres du Britannique. Il s’applique à continuer son œuvre, la laisse travailler sur son côté de la mini fresque. Ça l’amuse d’imaginer ce à quoi cela pourrait bien ressembler à la fin, mais pour l’heure, il ne sait pas réellement comment lui montrer.

— Ça faisait longtemps que j’avais pas fait ça.

Les vagues se font un peu plus fines au fur et à mesure qu’il les travaille avec sa bombe, les tentacules elles deviennent de plus en plus menaçantes, il y ajoute des épines, celles de la rose avec laquelle pour la seconde fois il a fauté. Il préfère laisser le sort de l’embarcation à sa partenaire, qu’importe ce qu’elle en fera, il apprécie le mélange des deux arts.

— Ça me vide la tête, c’est comme quand j’étais gamin. Il jette un léger coup d’oeil à la jeune femme sans quitter son ouvrage. T’as pas vraiment répondu à la question que je t’ai posée. C’est quoi ton truc ?
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