nouveautés
  1. Nous sommes le 28/12, TIME LIMIT ouvre officiellement ses portes ! Vous pouvez dors et déjà vous inscrire, débuter la création de votre personnage et nous rejoindre sur le discord ! Avec ceci nous vous annonçons que 4 prédéfinis et 3 scénarios sont disponibles, chacun avec leur lot d'avantage, n'hésitez pas à aller y jeter un coup d'oeil !
    28/12/22
  2. Une nouvelle annonce est disponible ! Trois nouveaux scénarios et un prédéfini ont été ajoutés, ainsi que de nouveaux défis et upgrades. Pensez cependant à aller la lire pour pouvoir vos recenser avant le 9 avril en cliquant ici !
    26/03/23
  3. Fermeture temporaire du forum. Plus d'explications ICI !
    26/09/23
WANTED

Apolonia
disponible

Helios
disponible
LUMOPOLIS
2047
Anciennement Las Vegas ▬ Nevada, États-Unis d’Amérique. Les mégacorporations dominent la vie citoyenne et politique tandis que la population goûte les joies des améliorations cybernétiques et autres modifications corporelles. Livrés à vous-mêmes dans la ville de tous les plaisirs, vices et excès vous pouvez ici vivre ; et surtout être tout ce qui vous fait envie !

Bienvenue à Lumopolis, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ou préférez-vous regarder des hordes d’Icares se brûler les ailes ?
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Bienvenue à Lumopolis en 2047, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ?
 
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someone's flesh is rotting tonight - m.m priest
Invité
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Invité
Jeu 29 Déc - 21:21
Invité


@rotten_egg
identité
Nom: priest
Prénom: maria magdalena
Âge: vingt-cinq ans
Date de naissance: 18/06/2022
Origine(s): brésilienne d'un côté, irlandaise de l'autre
Genre: femme cisgenre
Or. sexuelle: lesbienne
Groupe: watchers
Métier: charcudoc + antiquaire à temps partiel dans un coin fade de lumopolis
Faceclaim: chainsaw man - makima



MENTAL
— qu’est-ce qu’un nom, si ce n’est qu’une pierre tombale ?
on t'a nommé Magdalen(a)
et depuis toujours
tu brilles dans la lumière grandiose du seigneur, astre allumé pour notre salut à tous.
depuis le grand bain,
tu es
sainte.

et dans ta folie la plus soudaine, tu commenças à avoir faim.

plutôt, tu crèves de faim.

bambin à peine sorti du ventre, tes membres tremblants
désespérés
guettant quelque chose
à te mettre
sous la dent.

tes crocs,
sortis de leur logis,
guette le moindre bout de peau à arracher.

rien n’est jamais très joli avec toi. rien n’est jamais très stable quand tu es là. tes aigreurs brûlent et pourrissent, ta peau s’écaille et laisse des plaies béantes, nécrosantes, masse sombre sur ta peau d'albâtre. ta hargne détruit et arrache les muqueuses, ton corps enroulé dans la discorde la plus absolue.

chaotique, tes ailes brûlent à chacun de tes pas.
névralgique, ton halo brille, incandescent et fragile.

une certaine amertume bouillonne dans ton âme. tu donnes trop vite l'urgence d'agripper tes propres côtes des deux mains pour fracturer le thoracique, exposer à cœur ouvert
saigner de qui l'on est, auprès de toi tu te sens d'être sans limites. visage arrogant, visage aux traits raffinés, tu brilles sous les projecteurs ((ou les flammes de l’enfer)) jusqu’à ce que ton énergie soit vidée, à sec, showtime terminé.
derrière la scène, tu n’es plus que griffures saignant dans le cou et les pommettes, même sourire, il reste plaqué sur ton visage
tes doigts tiennent tes joues
jusqu'à s'accrocher fermement, ne rien lâcher, jusqu'à les faire céder, jusqu'à les faire plier, fléchir.

jusqu'à les briser.

tu as tellement faim que tu mangerais un ange.
ton repas pourrait se constituer d’un de tes bras, magdalena, toi la sainte voix, la peste des étoiles
tes os, tu n’hésites pas à les briser
tes paroles, tu n’hésites pas à les crier
si tes pas sont d’argent, au moins
ta parole est d’or.

tu as faim.
et tu te délecterais bien de l’amour.
aveuglée, fragile et demeurée, tu pries pour qu’on t’aime
a b s o l u m e n t
tu pourrais y laisser un doigt, ou deux, tellement tu t’accrocherais à l’idée qu’on puisse enfin t’aimer.
tu aimes trop fort, trop grand
tu aimes avec des églises entières
pourtant, le problème est,
que tu chasses des mirages
oasis où l’eau ne se change pas en vin.
en vain
tu attrapes des poignets, tu caresses des cheveux, tu meurs d’envie qu’on te cajole, qu’on te murmure des mots doux. mais tu ne prends jamais le désir d’autrui, en compte. ils s’éloignent de toi. ils te fuient. tu les retiens et ils te crachent au visage.
tu aimes mal, c’est de l’adoration
tu crèves d’envie et d’obsession
((autant
essayer d’atteindre la lune
puisqu’il est impossible d’être aimé))

tu aimes tellement, que tu déchires les peaux et les muqueuses, que tu arraches les membres avec une hargne dont tu es la seule à en avoir eu les frais. tu aimes tellement que tu démolies les coeurs et les poumons, tu enflammes les bronches et illuminent tellement les globes oculaires qu'ils ne sont désormais plus capable de desceller la lumière des ténèbres.
tu aimes tellement, tellement mal, qu'aucune personne dotée de raison ne veut t'approcher.
tu as aimé avec passion, et pourtant ils savent, tous, que si tu les aimes, ils finiront en morceau dans ton congélateur. tu l'as dit pour rigoler, une fois. mais au fond tu le sens, qu'un jour, si on te donnait les moyens, tu finirais par remplir ton congélateur d'un amour incandescent et pourtant noirci par la haine.

et pour quelqu'un d'aussi attiré par l'amour,
tu manipules autrui,
tu tires les ficelles
dans l'espoir de nourrir le pêché sommeillant en toi.
tu veux blesser, tu veux brûler, des corps
qui ne rentrent pas dans tes critères.
trop riche, trop pauvre
trop arrogant, trop altruiste.
tu veux laisser le monde à ceux qui en valent la peine,
pas renflouer le monde avec des porcs qui méritent une peine qui a cessé d'exister.
tu leur mets la corde au cou en les utilisant,
en les soignant et leur faisant promettre
monts et merveilles.
tu veux être la marionnettiste
car, au moins, tu sais
que là est ta place.

tu entasses tes larmes de tes victimes dans ton petit coeur, fermé à clef, avant ce que tu n’imploses en un million de fragments d’étoiles. puis tu exploses. tu te déchaînes, tornade brûlante, dégâts massifs : tu te coupes les paumes, tu t’éclates le front. tu mords, tu déchiquètes, tu déchires. jusqu’à ce que le rouge teinte tes paumes. jusqu’à ce qu’un semblant de sourire satisfait trône sur ton visage. sourire carnassier, même. prête à semer l'inconfort. tu ne vis que dans l'ombre de la peur, et du mal. quand tu te surprends à marcher au soleil, tu brûles, tu fonds. il n'y a que dans les ténèbres que tu peux exister.

mais tu as toujours si faim
aujourd’hui tu mangeras les plaintes de demain.


UPGRADES
— vision thermique intégrée à la rétine
— programme pirate (pris au marché noir)


INVENTAIRE
— scalpel
— briquet débridé

Connaissance de
D-VICE: oui

boulimique d'amour ; se délecte de la douleur des autres ; rigole du malheur des autres ; adore écouter les coeurs battre, jusqu'à souvent qu'ils s'éteignent ; a une collection étrange (c'est des dents) ; très tactile, étonnamment ; beaucoup de cicatrices, surtout des brûlures comme laissées par des cigarettes ; a déjà tué un lapin pour le désosser et garder chacun de ses composants pour décorer son salon ; son congélateur a une odeur à en faire tomber plus d'un ; ne regardez pas à l'intérieur ; déteste les petits enfants ; adepte des jolies lames ; est allée de nombreuses fois à l'église et est convaincue d'être déifiée depuis quelques années ; adore les arachnides ; aime lire et apprendre de nouvelles choses ; garde des cadavres de corbeau dans son congélateur ; adore épier quiconque l'intéresse ; manipule avec des ficelles invisibles, elle les tire et vous fait croire qu'elle vous est bénéfique dans votre vie ; pourrait naturellement exécuter les actions de d-vice, mais elle trouve plus intéressant de manipuler et les voir se blesser ; se mord souvent l'intérieur des joues et adore le goût du sang ; sourit en permanence ; creepy control freak ; il est naturel pour elle de parler d'un ton mielleux pour amadouer tout le monde ; pourrait vous mordre affectueusement ; apporter la mort est un soulagement pour elle, un moyen de se détendre ; a tendance à avoir recours pendant certains soirs à la Mort Subite ; crée des anges sur les plus pauvres qui n’ont pas les moyens de voir un vrai médecin ; elle n’a aucun remord à charcuter de manière folle les pauvres gens ; ils crient pour arrêter ; et elle s’en délecte ; ses yeux à vision thermique ont une forme étonnante ; sa puce n'a de cesse de faire le bruit des cigales, mais est remplie de savoir comme dans une immense bibliothèque familiale ; garde tous les secrets pour pouvoir les ressortir et les utiliser pour manipuler les autres ; sourire macabre ; vous êtes comme des chiens pour elle ; mord ; brise ; sait tout sur vous ; a un palais mental en forme de forêt ;



IRL
Pseudo: stern
Disponibilité: souvent dispo, environ 5 jours par semaine
Triggers Warnings: non
RP [+18] (violence, sexe, sang...) ?: oui



HISTOIRE
'do.you.love.meat?'

i. tu entends les cigales qui chantent.
ton estomac se retourne.

tu es allongée sur ton lit, attrapée par plusieurs couvertures.
tu vois des anges devant ton lit.
pas ces anges chérubin tout menus, voletant.
des vrais anges, au dos charcuté pour faire des ailes de chair, plus d’yeux qu’il n’en faut sur le visage, nus et dégoulinant d’ichor.

tu sais très bien que ce n'est pas réel.
que c'est une machination de ton cerveau qui crie à la panique.
une simple paralysie du sommeil, comme tu as l'occasion de faire.

les anges rient.
c'est terrifiant.
tu pleurerais presque.
mais quelque part, c'est moins terrifiant que la solitude.
alors tu acceptes,
petite comme tu es
et tu pries avec eux
prières de chair et de sang.

depuis toute petite, tu as l'impression qu'une colonie de cigales a élu domicile sous ton épiderme.
alors que le sang sous tes ongles sèchent,
tu contemples les dégâts sur ta peau,
là où les cigales chantent tellement fort
que l'urticaire dépasse l'entendement.

ça fait mal.
c'est douloureux.
et tu as beau couper, inciser chaque morceau de peau rougeâtre
le bourdonnement n'a de cesse de reprendre, dans un concert effréné.

tu en as parlé, au médecin.
lui a demandé si la puce pouvait créer des problèmes dermatologiques, ou si la puce avait besoin d'un petit coup de pouce pour annihiler une infection pestilentielle.
— vous rigolez, j'espère ?

tu ne rigoles pas.
tu resteras remplie de cigales.
pourquoi ce n'était pas des lucioles...

juno lit beaucoup de documents sur les cigales,
même si elle a tendance de souffler et de dire que tu en fais trop. elle a peut-être même raison, sur bien des sujets.
mais juno ne comprend pas, le plus important.
qu'il faut a b s o l u m e n t que ton monde soit le plus proche possible de la perfection,
pour au moins
faire oublier que toi, tu ne l'es pas.
que tu peux contrôler ce monde et tous ces habitants,
par la force de tes petits bras.
tu grandiras,
sans cesse dans la lumière la plus sainte,
et ton halo brillera intensément
à aveugler les âmes frêles.

ii. tu te souviens de l'aire de jeu
abandonnée au milieu des arbres fendus par l'orage,
que la brume envahissait tôt le matin
dans le district de saõ paulo
pile à l'heure où tu allais t'y cacher pour effrayer juno.
elle a un grand coeur, juno,
peut-être même un grand estomac aussi.
elle a un petit problème, elle mange parfois ce qu'il ne faut pas
comme les baies de houx
et le poisson rouge
mais elle a si faim,
toi,
tu ne comprends pas,
la faim, tu ne la connais pas.
juno, elle avale tout ce qu'elle peut,
même les mensonges.

depuis ces passages à l'aire des jeux,
tu as appris qu'il fallait toujours avoir une longueur d'avance sur les autres.
tu ne peux leur faire confiance,
ils attendent le moment propice pour t'abattre.
alors il faut être prêt, mordre au bon moment, griffer et mettre hors d'état de nuire.

avant, tu n'avais pas cette notion,
alors tu as mordu la poussière.
tous riaient autour de toi, alors que tu toussais encore la terre hors de ta gorge.
puis tu as appris.
et tu les as manipulé avec plus de finesse que n'importe qui.
leur parler avec un grand sourire plein de venin,
leur faire cracher le morceau en jouant avec ce qui compte à leurs yeux.
se pâmant avec des objets contre lesquels ils pourraient mourir
objet que tu pourrais malencontreusement... briser. casser. laisser tomber.

tu aimais voir leurs regards flancher, leurs iris s'écarquiller, la terreur dans leurs yeux.
tu aimais avoir le dessus.
tu te délectais de ton pouvoir.

et tu t'es jurée, que plus jamais tu ne t'abaisseras aussi proche du sol que tu ne l'as été.
que tu les traiteras tous comme des chiens jusqu'au dernier.

tu commenças à apprécier infliger la douleur jusqu'à arriver aux portes de la mort, sur autrui, sur autre chose. des corbeaux, principalement. leur faire du mal. être dans le contrôle.
tu explosais d'un bonheur naissant, qu'aucun volcan n'eut l'audace d'égaler.

détruire autrui. car le malheur des autres est toujours ton plus grand bonheur.

tu te sentais vivante.
déchaînée,
impétueuse,
la folie exaltée.
et tu vivais à travers les malheurs que tu remuais. tu étais crainte, et ça te donnait envie de continuer, dans la pénombre rester cachée et pourtant dans la lumière tamisée ton arme pixelisée tu abattais.

tu en voulais plus.
toujours plus de pouvoir sur ces pauvres citoyens de nos jours.
toujours plus de corbeaux dans ton congélateur.
l’odeur des morts,
te donne l’irrésistible envie de les croquer.


iii. mère, brésilienne, peignait beaucoup.
ton visage, celui de juno.
chaque portrait que mère
(maman)
fait, hurle, pleure, crie—
ils te pointent du doigt, ils savent.

oh comme tu détestes les musées.
mais tu cherchais tellement à être aimée,
que même les peintures hantées
te donnaient des frissons.

les peintures se déplacent, te regardent
ils sentent les pêchés qui croulent sur ton dos.

et c'est à partir de ce moment que tu as chuté drastiquement.

puis la tempête a fait s'écrouler la maison des priest.
père s'est emporté, mère s'en est allée,
dans un nouvel appartement miteux qu'elle a réussi à dénicher dans un bidonville brésilien
loin des vieux problèmes gravitant autour de père et ton attrait pour le macabre.
— je n'ai pas donné naissance à un vautour.

père, lui, dort sur un vieux matelas amorphe, il a un problème
mais avec tes petits yeux tu ne peux le déchiffrer.
juno a l'air de comprendre, elle est douce juno
pleine d'amour,
contrairement à toi, qui bouillonne sans arrêt,
qui mord ses camarades et leur crée des poupées vaudou.

père descendait chaque jour dans la cuisine,
à boire de l'alcool, les lumières des puces éclairant la pénombre.
puis père, un soir, après trop avoir bu à nouveau, a perdu la raison. tu te souviens de sa tourmente, lui qui hurlait la nuit suite à divers cauchemars bien trop virulents. et un soir, la tourmente lui a brisé l'esprit. arraché entre les cauchemars et la fatale réalité, souffrant, il a balancé de l'essence dans tout l'appartement. tu te souviens de l'odeur au travers de ta porte. et les flammes, qui ont grandi, si vite, si belles.
flammes de l'enfer dévorant l'entièreté des habitants. et tu n'as pas su bouger.
tu as senti le feu te manger. te ronger.
tu t'es précipitée en dehors de la fenêtre, une chute magistrale. entourée de boucs et de cerfs. ils étaient là, regard fixe. et tu t'es sentie si proche de la mort, que tu en regrettais presque d'en être sortie vivante.
mais tes brûlures —
tu souffrais,
souffres,
souffres-
mais comme c'est beau...

tu manquas de près le train de la mort. tu en rêvais souvent, d'être à nouveau la proie des flammes. des cicatrices avaient gagné ton corps, et souvent tu entendais les médecins dans ton aile dire ceci :
— l’épiderme a été brûlé jusqu’à la troisième couche, et sa peau est maintenant aussi fragile que les écailles d’une carpe.
((ode à la peau écaillée))


ça te donnait des frissons.
et tu adorais ça.

on a pu te greffer très facilement des morceaux de peau. on est dans les années 2030's, après tout.

tu entends encore la phrase qui résonne dans ta tête quand les cigales se taisent.

'do.you.love.meat?'

iv. tu as grandi. tu as fuit ta ville natale.
tu as perdu ta soeur de vue,
et tu t'es noyée dans le pêché.
((tu ne comptais plus le nombre de dents dans ta veste
ni le nombre de plumes encore collées dans ton micro-onde))

tu te devais de tout contrôler.
tes fréquentations.
ton temps d'écran.
ton alimentation.
t o u t .

dès fois, tu faisais exprès de ne pas manger des jours durant.
tu sentais la force quittant ton corps,
et tu adorais ça.
sentir la faim tirailler ton estomac à un point où même les cigales cessent de chanter.
puis vient le moment fatidique où tu avales un morceau de fromage,
et elles reprennent leurs fredonnements.

puis tu devins docteur, après un travail acharné.
mais plus tu y réfléchissais, moins le métier faisait sens dans ton crâne.
tu donnais tellement, pour gagner quoi en retour ?
alors tu as décidé de charcuter dans les bidonvilles
en les manipulant afin d'avoir quelques choses en retour.
toujours.

tu faisais parfois des ablations entières, alors qu'elles n'avaient pas lieu d'être.
tu te délectais de la souffrance dans leurs visages,
et personne ne t'arrêtait, tu vivais dans le vice le plus absolu
et tu étais exaltée.
presque heureuse.
à découper un bras pour quelques vivres.
tu aimais ça.
tu adorais ça.

mais tu vivais, en contrepartie, incroyablement seule.
c'était un peu comme si..
des pêchés grimpaient sur ton dos.
tu veux nettoyer tous ces pêchés,
à coup d'eau de javel,
l'avaler
serait un coup mortel.
mais tu es tentée.
— je suis un hérisson. mes pics déployés, plus personne n'ose m'approcher.

tu vivais de scalpel et de sang.
tu ne pouvais pas rêver mieux, petit hérisson.
garde le sourire plaqué sur ton visage,
pour mieux les appâter.
tous rampant à tes pieds.

tu récréais les visions que tu avais étant plus jeune.
leur déchirer le dos pour en faire des ailes.
sang devenu ichor.
cette image était ancrée dans ta puce, qui n'a de cesse de grésiller au rythme des cigales.

ton esprit est une forêt, dont les arbres représentent un domaine de savoir en particulier.
tu as tout enregistré dans ta puce-forêt, sombre, lugubre, mais bien remplie
chaque feuille étant une notion
que ce soit en médecine, en géopolitique, en art
tu ne cessais d'emmagasiner toujours plus
et tu n'avais qu'à fermer les yeux pour surplomber ton palais mental.
yeux fermés, les mots flottaient les images volaient tout était mis en lumière dans un ordre bien précis
tout mis ensemble
pour trouver la réponse aux questions encore en suspens.

puis la nuit, tu passais ton temps à te débarbouiller,
et tu remarques juno dans le miroir, yeux bruns rayonnant dans la salle de bain miroitant.
elle tend son bras, mais tu ne peux l'atteindre.
elle murmure,

— tu te perds de vue. regarde-moi.

vous vous êtes perdues dans une réalité différente,
et la seule chose que tu puisses faire
est de nettoyer le miroir.

v. tu ne sais pas trop comment tu as atterri à lumopolis.
la ville brillait et tu y voyais une opportunité.
toucher un autre bassin à malades.
une nouvelle gamme de maladies que tu pouvais transpercer de ton scalpel.
construire de nouveaux anges.
la pauvreté est la même partout
et elle ne te choque pas.
tu ne vois en ces gens que des manières de les éviscérer, leur extorquer leurs biens les plus précieux et souvent leurs seuls biens.
un service..
une récompense.

puis, il faut dire que cette histoire de players, ça t'attirait.
voir des gens risquer jusqu'à leurs vies...
ça te fait plaisir.
voir le malheur des autres, c'est toujours une bonne boisson pour toi.

tu t'enfonçais dans les coins les plus sombres de lumopolis,
dans l'espoir de boire un bon shot de sensations fortes,
avant de te déposer devant ton écran pour voir les players s'écailler, se battre ou risquer d'être grièvement blessés.
tu aimes la violence.
tu aimes le malheur des autres,
tu les croques
comme un croque-mort.

puis certains soirs, tu finissais au marché noir
intriguée par tout le panel qu'on pouvait choisir.
tu n'y étais pas tombée par simple hasard,
tu écoutais les dires çà et là
les ragots
les petits secrets.
tu les as suivi, en filature
pour finalement arriver à destination, et en prendre plein les yeux.
un taser.. de quoi agrémenter ton corps bionique.
puis quelque chose attirait ton attention...
la Mort Subite.
tu en pris un petit paquet,
et seule chez toi,
tu te laisses allée
comme si tu volais dans l'espace et que tu perdais toute notion de ton propre poids...
un voyage spatial sensoriel, avec l'esprit brumeux, plus aucun mal résidant encore dans ton organisme.
puis le chute, elle était toujours un peu brutale,
comme si tu te cognais contre le sol en pierre.
l'envol vaut la chute.

souvent, la nuit, pour dormir
tu faisais une liste mentale des actions que tu pourrais proposer pour les players.
tu n'attendais qu'une chose : le lendemain pour les proposer aux autres watchers, qui un peu comme toi, résistaient difficilement au fait qu'il ne fallait proposer qu'un seul défi et non pas toute la liste.
la tentation est dure.
mais le jeu ne peut pas briser ses règles.
alors tu choisis, peu importe la difficulté de la chose.

mais cela dit, tu pensais que le nouvel air, le nouvel endroit
allait changer quelques choses pour ton problème d'insectes chantant
peut-être une bombe mentale d'insecticide.
mais rien à faire.

tu entends les cigales.
elles chanteraient presque une chanson,
entonneraient un rythme.
le tempo des cigales, ça te dépasse,
mais quand tu dors elles se collent à toi
comme si leurs vies en dépendaient.
c'est peut-être donnant donnant.
tu les sauves et elles te sauvent.
tu entends les cigales,
et aujourd'hui, tu chantes avec elles.







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Helios S. Gallagher
Helios S. Gallagher
Popularité : 322000
Gif : someone's flesh is rotting tonight - m.m priest 1625a69f804e174394648465176
Onyx : 506
Occupation : Tatoueur
Faceclaim : Vanitas — KH ; Zayn Malik
Pronoms : he / him
Trigger Warning : ///
Double Compte : Felicy Doughall
Upgrades & Inventaire : ☽ UPGRADES ☾
- Vision thermique
- Paumes aimantées
- Poignés rotatifs
- Crocs hallucinogènes

☽ INVENTAIRE ☾
- Clopes, briquet
- Clefs du shop
- Mort subite
- Karambit
Helios S. Gallagher
Jeu 29 Déc - 22:42
@_Syndr0m3
Slt toi someone's flesh is rotting tonight - m.m priest 3903162282
Je crois t'avoir déjà dis bienvenue mais je le refais... Bienvenue. someone's flesh is rotting tonight - m.m priest 1303361128
Ce début de fiche, je la bois avec une cuillère.

Magdalena a écrit:
a déjà tué un lapin pour le désosser et garder chacun de ses composants pour décorer son salon

J'aime. Soyons amis.
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Faye C. Abberline
Faye C. Abberline
Popularité : 15000
Gif : someone's flesh is rotting tonight - m.m priest 8s2t
Onyx : 273
Occupation : Nettoyeuse pour D-VICE
Faceclaim : Yor Forger — SpyXFamily ; Nina Dobrev
Pronoms : she/her
Trigger Warning : violences sexuelles
Double Compte : Lady J. Shelby
Upgrades & Inventaire : Lecteur de puces et Fléchettes tranquillisantes
— couteau Bowie
— KM2000
Faye C. Abberline
Jeu 29 Déc - 22:46
@BlackSwan
Hello someone's flesh is rotting tonight - m.m priest 3671317110

Madgalenouille a écrit:
TRIGGERS WARNINGS: tca, violence, drogues, blessures

Mais que fais-tu ici bébou! x)

Nan en vrai déjà tu as pris Makima en vava je luv. Ensuite, CE PSEUDO MAGGLE! OMG!

Cette fiche promet tellement, je suis trop hype par ton perso.

Bienvenue et bon courage pour la suite de ta fiche chou!
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Apolonia W. A.-Werner
Apolonia W. A.-Werner
Popularité : 150000
Gif : someone's flesh is rotting tonight - m.m priest Kennedy-walsh
Onyx : 477
Occupation : étudiante & vlogueuse + mi-temps dans un café à thème
Faceclaim : Kanroji Mitsuri — KNY ; Kennedy Walsh
Pronoms : she/her
Trigger Warning : le responsive
Double Compte : Léo + Belladona
Upgrades & Inventaire : UPGRADES
— Taser intégré
— Programme pirate
— Retour sur image

INVENTAIRE
— Spray au poivre
— Nécessaire à maquillage (pour toujours se refaire une petite touche)
Apolonia W. A.-Werner
Jeu 29 Déc - 23:29
@PurePink
someone's flesh is rotting tonight - m.m priest 2643125871 M A K I M A someone's flesh is rotting tonight - m.m priest 2643125871
bon qu'on s'entende, ton feat c'est littéralement l'un des persos qui me fait le plus vibrer, donc je valide FOOOOOORT
l'esthétique de la fiche est magnifique, sans parler de ta plume, je-
Revenir en haut Aller en bas
Magnus Werner
Magnus Werner
Popularité : 45000
Gif : 'Twas los, schlampe?
Onyx : 261
Occupation : Con artist
Faceclaim : Loid Forger — SpyXFamily ; Ryan Gosling
Pronoms : Whatevs
Trigger Warning : None
Double Compte : ////
Upgrades & Inventaire : Copycat Biométrique
Prothèses de combat
Magnus Werner
Ven 30 Déc - 4:26
@Kaiserr
Bienvenue. Je suis en carafe et j'ai pas la foi de lire ta fiche, mais ayant commencé celle-ci:

J'ai créé un channel dans le discord du staff dans le seul et unique but de réserver la validation de ta fiche. nuff said.
Donc votre plume, très chère, vous me la mettez dans un mixeur avec quelques glaçons et un peu de ginger beer, et je la bois à la paille someone's flesh is rotting tonight - m.m priest 2768305713

Allez, débizous! someone's flesh is rotting tonight - m.m priest 3441025823
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Invité
avatar
Invité
Ven 30 Déc - 4:39
Invité
je suis à -2 neurones à cette heure, mais je devais passer par ici- (et dieu que je remercie past!me d'avoir lu la fiche plus tôt dans la soirée my my)
mais j'adore ta plume ? c'est super imagé, très poétique et le caractère qui dépeint la, jsp comment le dire autrement, "sainteté" de magdalena dans toute sa splendeur horrifique, j'ai rien de pertinent à dire si ce n'est : o o f, 10/10
j'avoue que le feat (j'ai pas encore regardé csm) donne une certaine vibe creepy terrifiante de base, mais toute ta fiche amplifie et magnifie le feeling à un autre niveau, c'est super bien exécuté et prenant !!
bref bref bref
c'était vraiment un plaisir de la lire et j'ai trop hâte de la découvrir un peu plus en rp someone's flesh is rotting tonight - m.m priest 2643125871
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Invité
avatar
Invité
Ven 30 Déc - 6:51
Invité
@Helios S. Gallagher j'adore ton choix de feat vraiment vanitas aaaah
oui soyons amis ! dépeçons des cadavres de lapin ensemble, c'est ça la vraie amitié !

@Faye C. Abberline my bad je pensais à tort que c'était là où je devais mettre les potentiels triggers sur ma fiche je me suis trompée! j'ai modifié ça du coup c: c'est trop gentil merci je promets de finir vite ma fiche!

@Apolonia W. A.-Werner oui makima! je l'adore il me le fallait en feat, j'hésitais un peu avec un autre perso de csm mais makima m'a fait de l'oeil c: merci beaucoup pour ces compliments je promets de vite finir la fiche!

@Magnus Werner pas de soucis je mixe ma fiche et elle sera toute prête pour toi, easy!

@Cameron Kang merci beaucoup pour tous ces compliments ça me touche! ravie de savoir que ma fiche te plaît c:

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D-VICE
D-VICE
Popularité :
Gif : someone's flesh is rotting tonight - m.m priest Naip
Onyx : 379
Occupation : ////
Faceclaim : ////
Pronoms : ////
Trigger Warning : ////
Double Compte : ////
Upgrades & Inventaire : ////
D-VICE
Sam 31 Déc - 3:52
@GameMasterzzz
https://tl-rpg.forumactif.com
validé

Oui. Oui. OUI! O U I!!!!
Comme dit plus tôt; j'adore cette plume et cette fiche. J'aime le feat, -j'ai des yeux, duh- et surtout, surtout j'aime ce personnage! Magdalena est tout ce qu'il manque de dérangé, de malsain, de puissant et de pernicieux chez nos chers Lumopolites! C'est probablement le type de personnage que j'attendais personnellement en imaginant les watchers!
En un mot comme en cent: je jouis, cétrobi1  someone's flesh is rotting tonight - m.m priest 1303361128

Je profite de ta validation pour enlever le test de balise TW en bas de l'histoire qui n'est pas nécessaire, et je te prie, au nom du staff de TL de t'amuser à jouer ce perso jusqu'à plus soif!
N'oublie pas de rajouter le métier de Magda dans ton profil, et je file faire ta validation!

Allez, débizousbaveux  someone's flesh is rotting tonight - m.m priest 2643125871

Maintenant que tu es validé, n'hésites pas à aller ouvrir des rps ou de venir sur le discord, si ce n'est pas déjà fait !

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