Nous sommes le 28/12, TIME LIMIT ouvre officiellement ses portes ! Vous pouvez dors et déjà vous inscrire, débuter la création de votre personnage et nous rejoindre sur le discord ! Avec ceci nous vous annonçons que 4 prédéfinis et 3 scénarios sont disponibles, chacun avec leur lot d'avantage, n'hésitez pas à aller y jeter un coup d'oeil !
28/12/22
Une nouvelle annonce est disponible ! Trois nouveaux scénarios et un prédéfini ont été ajoutés, ainsi que de nouveaux défis et upgrades. Pensez cependant à aller la lire pour pouvoir vos recenser avant le 9 avril en cliquant ici !
26/03/23
Fermeture temporaire du forum. Plus d'explications ICI !
Plus qu'une upgrade en soit, le drone de cargaison est un véritable moyen de locomotion à part entière. Celui-ci est tellement imposant qu'il est obligé d'avoir sa propre place dans un garage et permet à son utilisateur de se déplacer librement dans les rues de Lumopolis.
date inconnue— Ancien paramédic dans l'armée
date inconnue— Ash change vite de voie et apprend la programmation en autodidacte
date inconnue— A détourné un drone de transport de cargaison pour son usage personnel
date inconnue— A commencé à filmer les défis des Players et Prisoners contre rémunération
2046-2047— Revend régulièrement les images où les Players décèdent à D-VICE pour se faire du fric facile pendant que l'appli couvre ses traces.
Permet de de cacher son apparence en une bouillie de pixels à toutes caméras ou toute personnes dotées d'une puce. Elle peut également choisir de se rendre visible auprès de ceux qu'elle souhaite.
date inconnue— Naissance dans un bidonville du Mexique.
date inconnue— Naissance de Jared, son petit frère, dans un bidonville du Mexique.
2023; date flexible— Adoption de la fratrie par un riche politicien de l'état de New York.
2023-2040— Les enfants McMiller évoluent dans la haute société américaine, Orlane s'adaptant très bien au Monde de faux-semblants et de luttes d'influences
2040— Le père McMiller tombe dans un scandale qui ruine sa réputation et sa carrière. Orlane se forme alors en informatique et devient hackeuse pour gagner sa croûte -et de l'influence. Elle développe ainsi son brouilleur visuel pour cacher son identité La même année, Orlane trafique la puce de Magnus Werner. L'opération rate, et au lieu d'être simplement caché du réseau, l'autrichien peut copier les infos biométriques de tous les gens qu'il croise. Par sécurité, la mexicaine s'assure que Magnus ne peut pas recopier les données de sa puce à elle.
2041— Mieux rodée à la modification d'upgrade, Orlane crée le transformateur vocal de Jared.
2045— Orlane est approchée par une organisation voulant monter une nouvelle application coopérative: D-VICE. Séduite par le projet, la Hackeuse commence à programmer pour l'application. Toujours prudente, elle travaille à distance et via son pseudo; ne divulguant aucune info personnelle à l'organisation.
2046— Quand BlackSwan lui demande de griffer la puce d'Apolonia Werner, Orlane accepte: avoir quelqu'un chez D-VICE qui lui doit une aussi grosse faveur ne peut que lui servir.
2046— Quand deux mois après le lancement de D-VICE, l'organisation demande à Orlane de taire les décès dus à l'appli en plus de trafiquer le casier de Prosperity pour y ajouter des crimes qu'elle n'a pas commis, la mexicaine refuse et quitte D-VICE. En partant, elle offre anonymement à Prosperity son projecteur holographique, espérant permettre à la jeune femme de regagner plus facilement sa liberté
2047 — Orlane continue à bosser dans l'ombre pour rectifier les torts de D-VICE, et ses upgrades et implants griffés sont devenus quelques uns des trésors les plus recherchés du marché noir. A ce jour, seul Jared McMiller alias Sentinel connaît le visage et l'identité d'OrLayzOn.me.
Les quatre bras qui composent le dispositif lui servent aussi bien à être dévastateur que précis. Il doit se servir de ses bras en permanences pour se soutenir à cause du poids de ces derniers. Son énergie est vite drainée par la fatigue que son corps et ses nerfs accumulent poussent le porteur à prendre des pauses plus régulières.
Réputé pour être l'un des médecins les plus respectés de sa génération d'un point de vu militaire.
Envoyé au front en 2034 pour sauver un maximum d'homme après qu'il se soit fait greffé les quatres bras métalliques qui composent maintenant son squelette.
Ses yeux ont été opérés de force car il a reçu des éclats d'obus qui lui ont fait perdre la vue lors d'une de ses missions. Il porte des lunettes pour cacher ce qui lui sert à voir aujourd'hui.
Après avoir été rapatrié, il arrête complètement sa carrière, se met à développer des upgrades dans son atelier et au fur et à mesure, il a fini par développer son marché.
Aujourd'hui il passe plus de temps à étudier la possibilité des upgrades demandées par le gérant du marché noir, mais il lui arrive encore de travailler au black pour installer des upgrades sur des clients prêts à en payer le prix.
Permet de transformer sa voix à volonté et par extension de reproduire celle de n'importe quel individu. L'utilisateur ne peut toutefois pas réellement copier la voix, il ne pourra que tenter d'imiter celle-ci par ce qu'il a pu entendre.
date inconnue— Naissance dans un bidonville du Mexique où il apprend à se débrouiller -set surtout à voler avec sa grande sœur Orlane.
2023— Adopté avec Orlane dans la grande famille McMiller par un père politicien.
2023-2040— Élevé dans la haute société New-Yorkaise, Jared s'y adapte beaucoup moins bien que sa sœur. Brillant à l'école, le mexicain a cependant en sainte horreur le Monde de faux-culs et de petites frappes dans lequel il évolue. L'enfant enchaîne donc les quatre cents coups, au grand dam de son paternel et sa grande sœur. Il collectionne presque les métiers, allant de barman à mécanicien en passant par athlète de parkour semi-professionnel, pilote de course ou encore pilote de voltige et instructeur de parachute.
2041— Orlane lui installe un transformateur vocal préparé par ses soins.
2046— Véritable adrenalin junkie, Jared est immédiatement séduit par le principe de D-VICE et s'inscrit extrêmement vite.
2047 — Jared nourrit une rivalité aussi comique que virulente avec Kaiserr, au point de vouloir, pour enfin assurer sa supériorité en tant que Player; accepter un défi top1. Sentinel le réussit, et entre dans la légende en tant que premier Player ayant réussi un défi top1. Jared est aussi la seule personne à Lumopolis qui connaît la véritable identité d'OrLayzOn.me. En même temps, c'est sa grande sœur. Ça aide.
Humain dont la conscience a été, dans son intégralité, téléchargée dans sa puce biométrique. Celle-ci a ensuite été intervertie avec celle d’un androïde. Bien que la conscience puisse se servir du corps, ce dernier est néanmoins toujours bloqué par les 3 lois d'Asimov. Upgrade personnalisée: Insensibilité à la douleur. L’insensibilité à la douleur inclut aussi toutes les sensations désagréables comme les brûlures, nausées et autres désagréments. Elle n’empêche cependant pas le corps d’androïde de subir des dégâts.
Humain dont la puce est défectueuse, impossible pour lui d’être repéré par aucun élément biométrique. Mieux, même: Avec le défaut de fabrication de la puce, il est possible à son possesseur d’importer des données biométriques depuis n’importe quelle autre puce. Upgrade personnalisée: copycat biométrique. Pour fonctionner, le copycat biométrique doit avoir un accès direct à la puce qu’il copie. Il faut donc soit un contact direct avec la puce de l’autre personne, soit télécharger les données via un lecteur de puces.
Humain qui s’est vu proposé de travailler pour D-VICE en s’occupant des players ayant décidé de moufter. Ici, les balances vivent la vie dure et le chien de chasse est là pour vous la faire vivre. Profiling et tortures seront les armes principales de celui qui viendra réduire au silence ceux qui ont trop voulu en dire. Upgrade personnalisée: fléchettes tranquillisantes. Permet d’assomer quasiment n’importe qui pendant deux bonnes heures.
L’idol à la voix d’ange, la coqueluche des fans et des médias! Personne ne résiste à ses vocalises, et certains disent même que sa voix peut vous ensorceler… Upgrade personnalisée: prothèses vocales sirène (séduire par des paroles trompeuses et flatteuses). La Loreleï doit utiliser sa voix directement pour faire effet: un enregistrement ne fonctionne pas; cependant un contact visuel direct comme lors d’un concert, par exemple, peut suffire à ensorceler la foule.
Humain travaillant dans la police et qui enquête personnellement sur D-VICE après avoir entendu de nombreuses personnes en parler. Les rumeurs ne l’ont pas laissé de marbre, il a décidé de mettre les pieds dans le plat. Même si ses collègues ne le suivent pas du tout sur cette affaire, il utilise tout son temps libre pour comprendre ce qu’il se passe dans les rues de Lumopolis. Upgrade personnalisée: Détecteur de mensonge. Utilisable uniquement à proximité de la cible, impossible de l’utiliser sur plusieurs personnes en même temps. Pour que le détecteur puisse fonctionner, il faut que la question ai été posée par l’utilisateur, impossible donc de vérifier une information lancée à l’improviste.
Vous avez toujours fait fortune, la négociation n’a aucun secret pour vous et votre charisme est à toute épreuve… C’est donc tout naturellement que vous êtes à l’origine du marché noir de Lumopolis. C’est vous qui décidez qui vend et vous gérez ce business d’une main de fer. Vous êtes reconnu par les acheteurs et vendeurs bien que discret et vous êtes activement recherché par la police. Upgrade personnalisée: Surchargé. Armé jusqu’au bout des dents avec l’un des prototype aboli de Sandevistan. Deux énormes fusils attaché directement aux cuisses, l’équivalent d’un 9mm sur un avant bras, ainsi qu’une lame de combat rétractable au niveau du poignet.
D-VICE vous fait assez confiance pour mettre en péril les recherches des forces de l’ordre sur l’organisation que vous cherchez à protéger. Brouillage de piste, rapports bidons écrits pour menacer les prisoners, tout est un bon moyen pour que votre emploi soit en sécurité. Peu importe ce qui concerne la véritable justice: la seule chose qui importe c’est ce que ça rapporte. Upgrade personnalisée: Passe Partout. Aucune serrure ne lui résiste, rentrer dans un bureau fermé pour y glisser de faux indices pour incriminer quelqu’un d’autre est devenu simple. Les verrous mécaniques ne nécessitent que quelques secondes en insérant son doigt au niveau de la serrure, les verrous électroniques quant à eux n’opposent aucune résistance. Les seuls systèmes de verrouillage qui s’opposent à lui sont les scanners rétiniens ou à empreinte digitale.
Vous n’avez pas été engagé par D-VICE pour votre pacifisme ou votre bonté de cœur… Non, car c’est vous qui êtes en charge de la surveillance des players et prisoners. Si l’un d’eux cafte, vous n’êtes qu’à un ordre d’envoyer un nettoyeur lui régler son compte. Upgrade personnalisée: Piratage sans limite. Votre puce peut se connecter à n’importe quel serveur informatique sans encombres, passant à travers n’importe quelle barrière de protection, vous permettant entre autre de vous connecter aux caméras de surveillance de Lumopolis.
Apolonia
disponible
Helios
disponible
LUMOPOLIS
2047
Anciennement Las Vegas ▬ Nevada, États-Unis d’Amérique. Les mégacorporations dominent la vie citoyenne et politique tandis que la population goûte les joies des améliorations cybernétiques et autres modifications corporelles. Livrés à vous-mêmes dans la ville de tous les plaisirs, vices et excès vous pouvez ici vivre ; et surtout être tout ce qui vous fait envie !
Bienvenue à Lumopolis, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ou préférez-vous regarder des hordes d’Icares se brûler les ailes ?
Bienvenue à Lumopolis en 2047, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ?
☽ INVENTAIRE ☾
- Clopes, briquet
- Clefs du shop
- Mort subite
- Karambit
Helios S. Gallagher
Mar 17 Jan - 15:11
@_Syndr0m3
Il fallait un monstre dans chaque histoire, tout récit et conte apporte son lot d’antagonistes au lore. Babines relevées, griffes acérées ; l’aube bien passée d’un sentiment d’imposteur, celui de ne pas être à sa place, de ne pas mériter ce que les marées ont fini par ramener.
« L’on pas idée de faire souffrir un homme de cette façon. » Mais si tu souffres, c’est peut-être que l’histoire est finie.
Et que tu es vaincu, que la Princesse peut enfin relever la tête.
Si les cieux avaient décidé qu’Apolonia devait t'oublier, c’était finalement peut-être pour son bien. Ils savaient la personne que tu allais devenir, dépendant des vices les plus sombres, prêt à donner ce qu’il faut pour un moment auprès des nuages. La finalité est donc ta perte du bonheur, elle sa libération du méchant.
Est-ce vraiment ce que tu mérites ?
Le regard que tu portes sur toi aime bien raser le sol ; Se joindre au bitume, aux graviers de la ville.
Tu as bien pensé à lui envoyer un message, les mains tremblantes ; est-ce vraiment ce qu’elle mérite ?
Tes doigts avaient finalement décidé d’envoyer un message ; oui, mais pas à la personne concernée.
000
Mercredi.
Il est loin d’être le soleil de tes journées, il est plutôt la pomme que tu croques en sachant très qu’elle ne t'apportera jamais satiété. Mais il est ton grand ami, il est toujours là, il prend sa place. Et après la journée d’hier bien trop chargée en émotions tu as besoin d’un peu de compagnie, peu en importe la finalité, juste être avec quelqu’un et pouvoir toucher cette personne.
Mais c’est fort peu guilleret, aux cernes bien présents, lecœur encore serré ; que tu lui ouvres la porte. Inconsciemment tu lui tends la main comme un appel à l'aide, attendant qu'il l'attrape pour le prendre dans tes bras.
de par ses paroles muette, de par ce qu’il semblait te crier alors que ses mots ne font qu’apparaître sur l’écran de ton téléphone brisé à certain endroit, il alluma ce qui grondait à l’intérieur de toi.
de par ton corps qui se mouvent, de par tes gestes qui devenait routine, qui devenait accoutume, tu te sors du confond de tes draps en cette journée ou tu peux profiter de ta paisible existence, aka t'emmerder toute la journée, ce fut un certain courant électrique qui courut dans ton être alors que tu attrapais le nécessaire.
pas grand chose. tu le savais. lorsqu’il y avait ce genre de moment avec hélios, tout ceci n’allait pas finir en film barbie à 1am. non non. absolument pas. mettant la main sur la bouteille de vodka spécial que tu avais gardé pour vos prochain expérience, de fût sans attendre que tu disparaisse dans les rues.
ton coeur battant, ton appréhension te jouant du pied, tu es impatient.
de par ce qui se dessinait dans un futur proche pour toi, c’est avec cette certaine hargne que tu arrives rapidement chez lui.
car tu n’allais pas attendre une seconde de plus. un millième de seconde de plus. ton temps étant plus important que tous ceux que tu avais pus croiser sur ton chemin et que tu avais sans aucune honte bousculer pour te rendre jusqu’içi, tu es à deux doigts d’ouvrir la porte sans l’attendre réellement, mais voilà qu’il fait son apparition.
et de par son visage d’enterrement, tu sus tout de suite que tu allais devoir le satisfaire.
et tu ne doutais absolument pas de ta réussite.
— bah alors ptit hélilios, tu en tire une de ces têtes. est-ce que ton poisson rouge flottait à la surface dans ton bocal ? tinquiète pas mon coeur, je te trouvais un pihranna la prochaine fois.
que tu siffles en tes dents alors qu'il te serre contre lui.
posant l'une de tes mains sur sa tête, tu l'obligas à déposer son visage contre ton épaule et c'est en lui chuchottant à l'oreille que tu lui offris la suite de tes paroles.
— allez si je n'arrive pas a te faire rire d'ici cinq minutes, tu as le droit de me faire faire un truc con, deal ?
☽ INVENTAIRE ☾
- Clopes, briquet
- Clefs du shop
- Mort subite
- Karambit
Helios S. Gallagher
Mer 25 Jan - 23:24
@_Syndr0m3
Il est impossible de décrire la relation entre Mercredi et toi.
Un je t’aime moi non plus, beaucoup de peau et peu de beaux mots.
Mais c’est suffisant, tu n’as pas besoin de plus, tu n’as pas ce genre de sentiments pour lui. Elle est bien trop présente pour laisser ton cœur s’enticher d’une autre personne.
Tu rigoles doucement à son bonjour bien trop détaillé.
« Hâte que tu débarques avec un piranha dans un sachet en plastique. Ramène moi un chien plutôt, j’pourrais le caresser sans y laisser un doigt. »
Et l’accolade, amèrement, te fais du bien. Un câlin rassurant, que tu sais plein d’arrière-pensées, mais tu n’en avais que faire. Inviter Mercredi chez toi signifie ne pas savoir où la nuit se termine, ni comment, ni dans quelle tenue. Tu faisais donc toujours attention à ce qu’Hades ne soit pas présent dans ces moments-là… Parce-que tu voulais ce que tu n’avais plus, tu voulais croire que l’espace d’un instant, quelqu’un pouvait se donner entièrement et uniquement à toi
« Deal. Fais moi rire, Credi'. »
dis-tu en rompant votre embrassade, laissant quand même un petit baiser dans son cou.
« Est-ce que tu as ramené tes trucs à boire dégueu là ? Je t’accompagne dessus ce soir. »
Tu le laisses entrer et ferme derrière lui à clef, sachant très bien que vous ne sortirez pas d’ici tout de suite. L’entrée mène directement au salon-cuisine ; tu en ouvres le frigo pour y prendre une bière.
« Mais laisse moi boire ça avant quand même. Je t’en propose pas une, je sais que tu me diras non. »
Tu fais glisser un verre devant lui sur le comptoir. Ouvre ta bière, attends pour trinquer avec lui.
Simplement vêtu d’un jean noir et d’un débardeur blanc, tu t’adosses contre le plan de travail, tu brises tout de suite la glace.
« Je vais pas bien. J’ai pas envie d’en parler. Comment s’est passé ta journée, grand fou ? »
(c) kitty from the moon
Invité
Invité
Jeu 26 Jan - 12:12
Invité
play pretend
♫ — it was only the beginning, but it was already too good.
de par son visage parfait, de par sa voix frissonnante et sa vulnérabilité.
tu as envie de le manger tout rond.
de par son besoin de toi, de par ses mains qui se joignent dans ton dos, tu profites de ce moment où tu étais le centre de son monde et écoute ses paroles comme si elles étaient la dernière chose que tu entendrais de ta vie. elle et les bruits que vous ferez sûrement dans quelques heures.
et tu ne peux te retenir de le taquiner.
— quoi ? un chien ? tu trouves pas que tu as assez de merde dans ta vie, faut que tu en ajoutes une sur patte ? dude come on. pirhanna ou rien.
parce que c’était facile. parce qu’il le méritait. car le cœur brisé de ton petit être méritait de revoir les étoiles.
— ah ouais ? c'est si grave que ça ? bah putain. écoute, au moins, tu pourras pu penser à rien bientôt.
t’exclames-tu en laissant un rire glisser entre ton sourire en coin. déposant ton bac de sport sur le comptoir, le bruit du verre répond à sa question précédente et c’est en lui tirant une fausse gueule offensé que tu l’observes prendre sa bière alors que tu avais amené tes petites merveilles.
merveilles que tu dévoiles alors que tu les sors de ton sac.
— vodka au bacon, bière au chanvre, vin au pissenlit et du gin au larme de licorne. j'espère que tu as pris congé demain et après demain parce que, on va bien crever.
que tu ajoutes avant qu'il ne souffle ses dernières paroles. et c'est sans attendre que tu lui servis un fond de verre de vodka au bacon avant de lui faire un clin d'oeil aguicheur.
— allez, bel créature, montre moi de quoi tu es capable.
☽ INVENTAIRE ☾
- Clopes, briquet
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- Mort subite
- Karambit
Helios S. Gallagher
Ven 27 Jan - 21:39
@_Syndr0m3
C’est trop dur de ne pas rigoler quand il s’agit de mercredi, trop compliqué de penser aux problèmes, aux emmerdes de la vie. C’est donc tout naturellement que ton visage se tire par un sourire à son insistance sur ton futur piranha de compagnie.
Contrairement à toi et ton humeur massacrante du jour, tu voyais que l’homme était pressé de passer à l’attaque.
« C’est rien, t’inquiète. »
lâches tu en le regardant sortir ses bouteilles du démon de ses affaires. Fort heureusement pour toi tu es effectivement en repos demain et compte bien profiter un maximum de ta soirée et de ton invité.
Horrifié, tu le vois te servir un verre de vodka “au bacon”. Conciliant, tu aphones ta bière. Tu as bien dit le suivre ce soir, peu importe de quel alcool il s’agirait. Ta bouteille vide vient taper ton comptoir, ton poignet essuie d’un revers rapide tes lèvres et tu attrapes ce qui t’es si gentiment offert.
« À la tienne, beau gosse. »
dis-tu en trinquant ton contenant dans le sien.
Et tu comptais bien boire, À ne plus en pouvoir,
Jusqu’à ne voir que cet homme, Au moins jusqu’au lendemain.
Tu bois d’une traite et t'installe assis sur ton plan de travail avant de te resservir, non sans une nouvelle grimace, de sa vodka.
« Mais comment tu fais bordel pour boire ce genre de chose like it’s fucking water ? »
Tu lui avais déjà posé la question plusieurs fois, à croire que peu importe le nombre de fois où il allait te l’expliquer, tu ne comprendrais toujours pas.
« Et larme de licorne ?? Expliques, vraiment. »
dis-tu en lui faisant signe de la main de se rapprocher de toi.
Loin de toi les idées frivoles de Mercredi, Tu voulais simplement qu’il soit proche de toi.
En sachant parfaitement ce que lui avait en tête, comme toujours.
(c) kitty from the moon
Invité
Invité
Dim 29 Jan - 16:30
Invité
play pretend
♫ — because it’s more funny to get wasted on trash than on super expensive things.
que tu siffles, que tu laisses entendre alors qu’un sourire s’allonge sur son visage après l’avoir vu prendre son premier verre vers la décadence.
saveur souligné, alcool taquinant tout sur son passage, tu n’attends pas non plus. le liquide remplissant de nouveau son verre, remplissant maintenant pour la première fois ton verre, tu pourrais bien garder un compte que tout ce qui serait ingéré, mais le capacité a gardé son attention la dessus finira bien par glisser.
parce qu’il s’installe là.
sur le comptoir, percher de ton perchoir, le corbeau observe le renard au sol et le canidé se lèche les lèvres.
pas à l’idée de lui voler son fromage. non. à l’idée de dévorer de corvidé.
alors, tu t’approches.
ton verre en main, tu t’impose dans son escape alors que tu te mets entre ses jambes pendent du comptoir.
ton regard s’imposant dans le sien, ton visage est le théâtre de la fourberie et l’appréhension de votre soirée. et c’est sur ses cuisses que tu poses l’une de tes mains alors que tu cales ton deuxième verre. te raclant la gorge par la suite, le piquant de la boisson te taquinant le corps, c’est l’esprit qui finira pas désire qu’une seule choses épicés, mais tu prends ton temps. tu veux pouvoir le dévorer du regard avant qu’il ne finisse dans ton assiette. encore.
— tu constateras bien vite que, lorsque tu verse le liquide dans ton verre, tu pourras y voir des glimmer comestiques ! à croire que le mec devait être bien défoncé pour vouloir avoir plus d'étincelles dans sa fucking vie.
que tu lui réponds en ricanant. et tu n’attends pas avant de poursuivre.
— et je le comprend parfaitement.
que tu viens murmurrer à son oreille alors que, l'être se trouvant devant toi était l'une de tes petites étincelles.
☽ INVENTAIRE ☾
- Clopes, briquet
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- Karambit
Helios S. Gallagher
Dim 29 Jan - 18:09
@_Syndr0m3
Tu aurais menti si tu avais dit que tu n’attendais pas que Mercredi se place face à toi. Il y a bien longtemps que vous ne vous faites plus prier pour quoi que ce soit, la gêne est révolue et il suffit d’un rien, d’une toute petite étincelle pour que tout dégénère.
Et son regard dans le tiens confirme ta pensée, tu sais très bien ce qu’il a derrière la tête. Tu te sais faible, tu le sais irrésistible. Son corps entre tes jambes, sa main sur ta cuisse, ses yeux plein d’appétit plantés dans les tiens…
Tu le dévorerais.
Mais pas tout de suite. Tu veux t’amuser avant.
Tu veux penser à autre chose.
À sa phrase tu répondrais bien une bêtise ; mais l’ambiance venait soudainement de changer alors qu’il se rapprochait de ton oreille, susurrer ses derniers mots à celle-ci. Et tu sais bien, Helios, de quoi il parle. C’est donc avec beaucoup de douceur que tu viens glisser tes doigts dans sa chevelure ; puisant dans tes plus profondes ressources de retenu pour ne pas les empoigner et ainsi accèder plus facilement à son cou.
« Montre-moi ça, alors. »
dis-tu, ton autre main habillé de ton verre, celui-ci à ta bouche et ta voix ainsi résonnante. C’est alors un jeu classique qui s’installe entre vous, celui qui fera craquer l’autre, celui qui allumera en premier la mèche.
En général, c’est toi. Sans aucune honte.
Car tu préfères mille fois l’entendre se révulser dans les draps que de tourner en rond trop longtemps.
« Mais fais ça bien. »
(c) kitty from the moon
Invité
Invité
Jeu 2 Fév - 0:50
Invité
play pretend
♫ — if i’m the cocaine in your mind, you are my addiction.
de par nos fourberies, de par nos regards qui s’échangent et se comprennent sans mots, c’est dans cette univers de débauche que l’on se retrouve à chaque fois.
face à face, stratosphère contre stratosphere, on entre en collision alors que sa main vient chercher tes cheveux et c’est un bigbang qui se déroule dans ton esprit.
car tu les aimais différents.
tu les aimais allumé, tu les aimais enflammé, tu les aimais spontanée et exigeant.
qu’il te remettent à ta place.
alors, sans rien demander, sans en avoir l’obligation, tu te lèches les lèvres d’un air aguicheur alors que tu te saisis de ta bouteille des licornes. ouvrant la bouteille, tu lui fais un rapide clin d’oeil avant de prendre une gorgé et de joindre tes lèvres sur les siennes.
un partage bien chaud, un baiser qui se veut bien mouillé alors qu’un filet de liquide te glisse de la commissure des lèvres, tu ne quittes pas un instant son regard avant que tu ne te détaches de lui.
et c’est de nouveau sans rien demander que tes mains se posant sur la ceinture de son jean qui, maintenant, te semblait de trop. beaucoup trop de trop.
— bien ou pas, ça finira de la même façon. met du tien aussi, petit roi sur son trône.
☽ INVENTAIRE ☾
- Clopes, briquet
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- Mort subite
- Karambit
Helios S. Gallagher
Jeu 2 Fév - 22:24
@_Syndr0m3
Tu le laisses faire alors qu’il attrape sa bouteille scintillante, ne tardant pas à replonger tes doigts dans ses cheveux. Car au final, ils y sont à leur place.
Comme ses lèvres sur les tiennes, brûlantes. L’émanation de l’alcool sucré, associée à votre impatience, celle de vous toucher, celle de le faire hurler. Tes doigts se resserrent sur son crâne alors qu’il te fait boire au meilleur des verres, son regard planté dans le tiens, insistant, lubrique.
Il te quitte, Tu t’en lèche les lèvres.
Ses mains serpentent sur tes cuisses, s’arrêtant sur les multiples fermetures de ton jean.
« Il n’y pas de bien ou non, Mercredi. »
lui réponds-tu instantanément, ramenant son visage vers le tiens, l’interdisant presque de regarder ailleurs. Toute son attention doit être sur toi quoi qu’il arrive, tu ne permettrait pas que ses yeux glissent des tiens.
« Tu n’oserais pas faire ça mal… Car tu sais ce que ça implique. »
Ton regard oscille entre ta ceinture et ses yeux, lui faisant comprendre qu’il devait continuer là où il s’est arrêté, rapidement. Ta mâchoire s’ouvre, tes dents capturent sa muqueuse inférieure pour y laissant trace, ton emprise toujours un peu plus forte dans les cheveux du brun. Ton autre main elle s’en va se placer dans son dos, le ramenant à toi brusquement, laissant son bas-ventre atterrir à hauteur de ton entre-jambe où la place était désormais amoindrie.
« Petit prince entre mes cuisses. »
(c) kitty from the moon
Invité
Invité
Mar 14 Fév - 0:58
Invité
play pretend
♫ — with him, it was always a game and he made his first move.
de sa main qui s'agrippe encore plus, de ton cuir chevelu qui accueille son impatience avec la même fièvre, ce sont nos flammes que nous échangeons alors que le brasier ne se calme pas.
matériaux en combustion, tout s'allume d'un coup après que tu lui ait ouvert la gasoline de tes lèvres et c'est avec un sourire en coin que tu observe l'incendie alors qu'il te garde contre lui.
proche, bien proche, le tissue étant la dernière barrière à franchir, tu allais te déplacer pour t'affairer sur son excitation visuel, mais ce sont ses yeux qui veulent te dévorer avant toute chose.
et c'est avec la même hargne que ton regard répond au sien alors que tu détaches ce qu'il retient de son membre et c'est avec tes deux mains que tu le frotte alors que ton bassin participe à cet instant.
car s'il ne pouvait attendre, tu ne le pouvais pas plus.
tu voulais qu'il te dévore en laissant ses brûlures sur ton être.
☽ INVENTAIRE ☾
- Clopes, briquet
- Clefs du shop
- Mort subite
- Karambit
Helios S. Gallagher
Dim 19 Fév - 17:04
@_Syndr0m3
Ce qui est attirant chez Mercredi, c’est qu’il est prévisible dans son jeu et en même temps, tu seras toujours surpris de chacune de ses actions.
Tu ne comptes plus le nombre de fois où tu as abîmé ces lèvres, où tu as agripper cette peau parfaite, les innombrables supplices que vous vous faites vivre à chaque rencontre fortuite. Et c’est un jeu que tu apprécies, tu ne le raterais jamais.
Il s’affaire, Brûle l’espace, Fait disparaître le monde. Disparaître tes problèmes, Apaise tes douleurs.
Ses mains t’embrassent doucement, sa voix emplit le silence, Son regard est un million de lames.
Ta langue glisse sur ses lippes, Ton souffle se pose sur son visage.
Et ta main se saisit une nouvelle fois plus fort de sa crinière, force le chemin vers là où ses mains s’amusent déjà à te frustrer. Il est celui sur qui tu n’a aucune retenue, la porcelaine que tu brises à chaque utilisation.
« Tu as raison, parles maintenant avant d’avoir la bouche pleine. »
Et ce qui te plait encore plus chez lui, C'est qu'il aime ça.
alors que notre impatience se fait beaucoup plus présente, beaucoup plus visuelle, beaucoup plus physique, elle captive, elle hypnotise elle prend toute la place et ne laisse rien derrière. rien.
mais rien que tu ne voulais pas.
de par son obligation, de par sa position, il ne te donnait pas le choix, mais tu ne te plies pas cette fois.
sa main venant chercher la sienne, tirant, obligeant, tu n’étais pas de ces putes qui se casseraient en deux pour satisfaire qui que ce soit. alors, c’est sur le divan du salon que tu le fais tomber et de tes genoux rejoignent le sol.
sol qui t’accueilles, sol qui devient spectateur, comme lui pour toi, tu ne quittes pas son regard et laisse le moment s’éterniser quelque peu.
pour qu’il observe, qu’il admire, qu’il t’admire.
parce que tu étais ce joyau à sa disposition.
obéissant de ses caprices, addiction de plus, tu lui bousille le cerveau et c’est avec l’intention de lui faire perdre la tête que tu t'affaires maintenant sur son impatience physique.
mais ce ne sont pas tes mains qui y retournent. non.
alors, c’est dans une attention soulignée que ton visage disparaît contre son bassin alors que tu le pris en bouche pour ce qu’il devait attendre depuis le début :
☽ INVENTAIRE ☾
- Clopes, briquet
- Clefs du shop
- Mort subite
- Karambit
Helios S. Gallagher
Dim 5 Mar - 23:50
@_Syndr0m3
Ton dos frappe les coussins, Amené doucement sur celui-ci par ton aîné, Les iris graveleux, le sourire trop fier.
Es-tu en contrôle de la situation ? Ou est-ce lui qui te le laisse bien volontairement ?
Question inutile, sans importance. Il n’y a rien de chaste dans cette relation, aucune logique, aucun pilier. Juste deux idiots bien trop appelés par le corps de l’autre, se laissant aller à l’un des instincts les plus vieux du monde.
Il ne panse pas ton coeur, Aucune réparation, Aucune touche de douceur,
Il profite des moments de faiblesse, Tu acceptes, te donne l’impression d’un rêve.
Il prend ce qu’il veut, Tu prends en retour bien volontiers.
Ses traits de visages t'agacent, sa bouche en cœur mérite d’être saccagée. Vision disparue, nouvelle lueur dans ton corps qui frissonne, rire étouffé dans un râle… Tu retrouves cette sensation, celle qu’il sait si bien te donner, celle qu’il se plaît à écraser sur toi pour t’envelopper de lui, lui et lui seul.
de par tout ce qui se passe, de par les secondes qui s'écoulent, la friction qui se crée, des sensations qui répète pour ouvrir la porte à tout ce qui était des plus animal, c'est en étant deux prédateurs que l'on se montre maintenant les dents.
de par les souffles qui lui glissent des lèvres, de par ta bouche qui s'appliquent et se fait insistante, nous étions une peinture des plus distinctives, mais il y avait beaucoup trop de neige présente et tu avais l'intention d'y remédier.
si l'une de ses mains est perdu dans tes cheveux, tes deux mains firent leur chemin jusqu'à rebord de ton haut et, si tu libère son membre l'instant de te refaire de ton t-shirt, l'obligeant ainsi à libérer tes mèches ebony, ce n'est toutefois sans attendre que tu te remis à la tâche alors que, cette fois, ce fut son pantalon que tu t'amuses à faire glisser de long de ses cuisses.
pourquoi ? parce que c'était assez plaisant de le voir se frustré alors que tu devrais être focus sur une seule et unique chose.
et un petit rire démasque ton amusement de la situation alors que son jean finit à ses chevilles.
parce que tu n'avais aucune race et l'alcool te rendait toujours pire qu'à l'habitude.
oui oui, ça existe pire que pire. tu en étais la preuve vivante.
☽ INVENTAIRE ☾
- Clopes, briquet
- Clefs du shop
- Mort subite
- Karambit
Helios S. Gallagher
Dim 19 Mar - 15:12
@_Syndr0m3
Il n’y a pas d’amour dans cette relation, c’est tout juste si votre amitié l’espace d’un instant est en standby et tous les coups sont permis. C’est un contrat mental entre vous, un accord non signé ; il fait ce qu’il veut de toi et tu en fais de même, les limites sont inexistantes et aucun de vous ne s’est jamais plaint du plan.
Les vêtements sont en trop, Ta main vole, son sourire s’égare,
Il se plaît à te perdre, à détourner ses intentions, il te sait impatient et en même temps tu chéris ces instants où il prend le dessus. Qui se plaindrait d’avoir pareille créature s’occuper de vous de la sorte ? Certainement pas toi, tu remues bien volontairement le temps qu’il faut pour lui accorder puissance.
Mais pas de trop, N’abusons pas.
Tu es un homme faible Helios, Calme ne fait pas partie de ton vocabulaire.
Tu ne le laisseras pas reprendre son chemin vers ton entre-jambe, tu te saisiras plutôt de sa nuque pour faire venir sa bouche à la tienne, appuyant sur son bas-dos d’une main pour laisser vos excitations se toucher. Tu ne perds pas de temps pour aller déboutonner ce pantalon, réussissant à l’abaisser à mi-cuisses pendant que tes lèvres dévorent les siennes.
Mais ce n’est pas assez drôle, Pas assez intense.
Alors tu mords, Déverse ton poison dans sa bouche, Dans cette plaie que tu viens de lui infliger.
Prend le temps d’en donner plus qu’à l’accoutumé, Suçote ce bout de chair meurtris.
Son boxer rejoint son pantalon, ta main s’empare de vos deux membres.