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  1. Nous sommes le 28/12, TIME LIMIT ouvre officiellement ses portes ! Vous pouvez dors et déjà vous inscrire, débuter la création de votre personnage et nous rejoindre sur le discord ! Avec ceci nous vous annonçons que 4 prédéfinis et 3 scénarios sont disponibles, chacun avec leur lot d'avantage, n'hésitez pas à aller y jeter un coup d'oeil !
    28/12/22
  2. Une nouvelle annonce est disponible ! Trois nouveaux scénarios et un prédéfini ont été ajoutés, ainsi que de nouveaux défis et upgrades. Pensez cependant à aller la lire pour pouvoir vos recenser avant le 9 avril en cliquant ici !
    26/03/23
  3. Fermeture temporaire du forum. Plus d'explications ICI !
    26/09/23
WANTED

Apolonia
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Helios
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LUMOPOLIS
2047
Anciennement Las Vegas ▬ Nevada, États-Unis d’Amérique. Les mégacorporations dominent la vie citoyenne et politique tandis que la population goûte les joies des améliorations cybernétiques et autres modifications corporelles. Livrés à vous-mêmes dans la ville de tous les plaisirs, vices et excès vous pouvez ici vivre ; et surtout être tout ce qui vous fait envie !

Bienvenue à Lumopolis, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ou préférez-vous regarder des hordes d’Icares se brûler les ailes ?
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Bienvenue à Lumopolis en 2047, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ?
 
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don't let me get me (andrea) - terminée
Andrea Reed
Andrea Reed
Popularité : 15000
Gif : don't let me get me (andrea) - terminée Profil10
Onyx : 95
Occupation : Psychologue
Faceclaim : Pharah, Overwatch
Pronoms : she/her
Trigger Warning : SA
Double Compte : ////
Upgrades & Inventaire : upgrades
— vision thermique intégrée à la rétine
— propulseurs

inventaire
— pistolet électrique
— lame rétractable
Andrea Reed
Ven 10 Fév - 19:10
@_Khamsa


@_khamsa
identité
Nom: Reed
Prénom: Andrea
Âge: 31 ans
Date de naissance: 18/01/2016
Origine(s): Israël
Genre: Féminin
Or. sexuelle: Bisexuelle
Groupe: Players
Métier: Psychologue
Faceclaim: Pharah, Overwatch



MENTAL
C’est torturée par ton passé, la tête pleine d’images que tu cherches à oublier, que tu affrontes ton quotidien. C’est avec les épaules lourdes de remords et l’estomac tordu d’une peur qui ne partira jamais totalement que tu vis, constamment. Avec cette impression d’étouffer. Une pression sur ta poitrine.

Tu vis sans vraiment vivre.
Jamais vraiment dans le présent.

Du moins, c’est le cas lorsque tu ne sens pas ton coeur battre dans tes oreilles. Lorsque tu ne sens pas l’adrénaline parcourir tes veines. Il n’y a que lorsque tu joues que tu te sens vivante. Que lorsque tu prends des risques. Lorsque ta vie se fait plus fragile, ton avenir incertain. Il n’y a qu’à ces moments là que tu te sens vraiment exister. Que tu as l’impression de sortir de cette torpeur dans laquelle tu t’es plongée des années plus tôt. De faire autre chose que de ressasser tous ces regrets. De cesser de contempler tout ce sang qui est venu tâcher tes mains.

Toutefois difficile d’y croire qu’il y a autant de tourments derrière tes prunelles sombres. Tu as toujours ce doux sourire compréhensif sur les lèvres. Toujours ce regard empli de compassion. Tu es de ceux qui ont su prendre leur vie en main. Ceux qui ont une carrière. Un bel appartement. Ceux qui savent ce qu’ils font de leur vie. Ces adultes responsables qui ne craignent plus vraiment le quotidien, apprenant à vivre calmement.

À profiter du silence.

Un silence auquel tu n’as pas le droit, constamment brisé de ces hurlements qui te déchirent le coeur. Les tiens. Ceux que tu as poussé près de dix ans plus tôt. Tu n’as pas le droit au calme. Pas dans ton esprit, du moins. Pas le droit au calme, lorsque tu fermes les yeux.

Alors tu combats le feu par le feu.
Et si tu n’as pas le droit à la paix, c’est une guerre que tu vas livrer.

Une guerre que tu livres contre toi-même, derrière ces jolis masques que tu montres aux autres. Il y a docteur Reed, celle qui accueille d’un sourire chaleureux tous ses clients. Cette psychologue si présente. Si compréhensive. Celle qui n’a jamais un mot plus haut que l’autre, toujours dans l’empathie et l’écoute des autres. Et il y a Andrea. Celle qui ne se montre pas. Celle qui se cache dans la honte. Et l’horreur. Celle qui pleure et qui hurle. Celle qui revit ces événements sans savoir comment s’en débarrasser. Celle qui a connu le désespoir et qui pourtant ne peut pas s’empêcher d’y ressombrer à nouveau.

Tu as été aux premières loges, pour assister à ta propre déchéance. Et aujourd’hui ? Aujourd’hui tu recommences. Tu recommences comme une pauvre conne qui n’a pas appris de ses erreurs. Constamment à la recherche de ton fixe. De ce besoin viscéral que de te sentir vivante.

Car au final, c’est tout ce qu’il te reste.
Cette vie que tu as volé.

Cette vie qui n’est que mensonge offert au reste du monde. Qu’un jeu de prétention qui t’ennuie mais auquel tu tiens. Celui qui ponctue ton quotidien. Parce que nul ne peut savoir. Parce que tu ne comptes pas laisser personne voir ce sang qui n’est pas le tien. Et tu aurais pu t’en contenter. Te contenter de cette petite vie tranquille. Si tu n’étais pas si faible. Si désespérée.

Si en manque.
En manque de vivre.
UPGRADES
— Vision thermique intégrée à la rétine
— Propulseurs

INVENTAIRE
— Pistolet électrique
— Lame rétractable

Connaissance de
D-VICE: oui

son vrai nom est Sivan Al-Jamil ; addiction sévère aux jeux d'argent ; plus récemment au danger, aussi ; a peur de voir son passé remonter à la surface si elle gagne trop en popularité ; mais veut gagner en popularité pour plus d'argent ; elle aime collectionner les beaux bijoux même si elle n'aime pas les porter ; dit être accroc à la cigarette ; aime surtout la routine de prendre sa cigarette avec son petit-déjeuner ; a une vie somme toute assez tranquille ; du moins, hors du jeu ; est sombrée fort dans d-vice et veut atteindre les sommets ; sa couleur préférée est le vert ; il y a donc beaucoup de plantes dans son cabinet ; elle fait bien attention à ne pas les laisser mourir ; elle prend plus soin de ses plantes que de sa propre personne ; elle a appris à se battre, dans le bidonville où elle a grandi ; elle n'est pas très forte mais rapide et agile ; n'éprouve aucun remord à blesser les autres ; n'hésiterait pas à tuer pour sa propre survie ; ironique alors qu'elle a déjà attenté à sa propre vie ; se dit parfois qu'une petite vie tranquille n'est pas trop mal ; mais ne tient pas bien longtemps si rien ne se passe ; elle dépense beaucoup de son argent en nourriture fraîche ; a peur de mourir ; ou, enfin, elle a peur de leur refaire face dans la mort



IRL
Pseudo: Welzy
Disponibilité: Variable
Triggers Warnings: SA
RP [+18] (violence, sexe, sang...) ?: À discuter



HISTOIRE
La guerre de ressources, tu ne l’as que très brièvement connue. Née à Jérusalem, il n’a cependant pas fallu longtemps pour que tes parents se décident à vous amener loin de là. Loin de la violence. Loin de ces armes qui étaient prises pour tenter de préserver un semblant de vie décente. Tu devais avoir à peu près cinq ou six ans lorsque tu as quitté le sol du Moyen-Orient pour arriver en Amérique du Nord, quittant ainsi la chaleur étouffante du désert pour atterrir ailleurs. Là où tu ne parlais pas la langue.

Dans ce bidonville où les moins fortunés se retrouvaient à vivre. Deux ou trois familles dans une maison assez grande pour en accueillir le quart, mais qui devaient s’en contenter pour ne pas se retrouver à la rue. Ton enfance n’a donc pas été idéale, certes loin de la guerre mais pas loin de la misère, étrangère dans ce pays dont tu ne connaissais rien. Tu t’exprimais d’un anglais cassé, les mots difficiles, les expressions plus encore, il t’a fallu plusieurs années pour parvenir à maîtriser la langue. N’ayant jamais vraiment été à l’école, c’était encore le cas ici, apprenant seulement ce que les enfants et adolescents plus vieux daignaient t’enseigner et tentant de combler ici et là avec ces quelques bouquins sur lesquels tu as pu mettre la main.

Tu as toujours été débrouillarde. Capable de te démerder seule. Après tout, tu as souvent été livrée à toi-même, et ce, malgré les efforts faits par tes parents pour vous élever, tes soeurs et toi. Une soeur aînée, qui a un peu plus eu conscience que toi de ce que vous avez laissé derrière vous, au Moyen-Orient. De la guerre que vous avez fuit. Et une soeur cadette, celle-ci trop jeune pour garder quelconque souvenir du désert. De la chaleur.

De la soif.
De la famine.

Débrouillarde, donc. Tu as beaucoup appris en autodidacte. Pas les mathématiques et encore moins l’art des lettres, mais le fonctionnement du monde. L’argent. La puissance qu’il était possible d’obtenir, le pouvoir atteignable, avec seulement un peu plus d’argent. À peine l’adolescente atteinte que tu as cherché à en obtenir plus, de l’argent.

Petite. Pas très grande. Un foulard autour du visage. Tu étais discrète. Vive. Agile. Et à chercher, tu as fini par trouver des façons de te faire de l’argent facile. Facile, ça, c’était à tes yeux. De la livraison de colis, qu’ils t’ont dit. Des petits colis. Des petites boîtes. Parfois des sachets. Des enveloppes un peu épaisses. Que tu devais amener d’un point A à un point B. Tout simplement, qu’ils t’ont dit. Rien de très compliqué, que tu as constaté. Il te suffisait de faire attention, lorsque tu quittais les rues mal famées des quartiers pauvres pour retrouver celles un peu plus fréquentées des beaux quartiers.

Car c’était eux, tes clients.
Ceux qui vivaient dans ces beaux quartiers.

Tu as donc commencé à faire de l’argent. Un peu, au début. Puis un peu plus, lorsque tu as commencé à prendre plus de risques. Plus encore sur un coup de chance, un pari qui s’est bien passé pour toi. Quelques dollars lancés avec l’espoir de plus pour finalement obtenir largement plus que ce que tu aurais pu envisager. Tu as vu les zéros se succéder, tu as compté plus d’argent que tu n’en as jamais détenu par le passé et tu t’es dit que ça, c’était facile. Qu’il suffisait de bien miser. De bien jouer, aussi, lorsque tu t’es mise aux cartes.

D’avoir un peu de chance.

Et de la chance, tu en as eu, pendant un temps. Des petits gains ici et là. Des mains qui n’auraient pas dû l’emporter mais qui s’en sortaient tout de même victorieuses, autour d’une table où les cartes étaient déposées. Tu as appris à mentir, avec ces cartes entre les mains. À prétendre. À ce qu’ils ne puissent pas lire dans ton jeu. Et vraiment, pendant un temps, ça a fonctionné. Tu as laissé tomber les livraisons et pourtant, tu t’en sortais mieux qu’avant. Pour moins de risque. En t’amusant plus, même, que tu oserais dire. Car tu y as pris goût, aux jeux.

Tu y as pris goût, aux victoires.
Tu y as pris goût, jusqu’aux problèmes.

Tu étais jeune. Jeune et un peu conne même, que tu dirais, si tu étais parfaitement honnête avec toi-même. À peine majeur et née d’une famille terriblement pauvre, tu n’as jamais vraiment appris la valeur de l’argent. N’as jamais vraiment appris à comment le gérer de façon responsable. Alors tu l’as dépensé, cet argent. Tu as beaucoup dépensé. Pour tout, pour rien. Pour des cadeaux ici et là à ta famille. Pour des plus beaux vêtements.

Tu as dépensé.
Et tu as continué de jouer.

Jusqu’à ne plus rien avoir.

Une erreur de calcul qui t’a fait perdre beaucoup. Pas tout, mais beaucoup. Alors tu as retenté, dans l’espoir de remplacer ce qui a été perdu. Et tu as perdu. Encore. Et encore. À chaque tentative, toujours un peu plus bas. À chaque tentative, les zéros qui s’effaçaient, jusqu’à ce qu’il ne te reste que ça, un zéro. Tu aurais pu t’arrêter là. Chercher ailleurs. Chercher un vrai travail, par exemple. Ou retourner à l’ancien travail qui rapportait pas trop mal. Ou n’importe quoi, finalement. Or, ce n’est pas ce que tu as fait. Tu t’es tournée vers tes anciens contacts, certes, mais pas pour qu’ils te filent du taff. Non. Tu leur as demandé de l’argent. D’abord juste un peu.

Et tu l’as perdu, cet argent.
Alors tu as demandé plus.

Jusqu’à demander trop.

Tu as fait beaucoup de promesses. Encore une semaine, que tu leur disais. Promis, l’argent arrive bientôt. Puis après les promesses, tu as supplié. Tu as supplié, lorsqu’ils ont commencé à répondre avec des menaces. Tu as plaidé ta cause, les genoux au sol et des larmes plein les yeux. Juste encore un peu de temps. Le temps que les choses se replacent. Que tu parviennes à l’emporter. Juste une fois. Il te suffisait de juste une fois, lors de ces paris risqués. De ces partis que nul ne gagne.

Juste une fois et ce serait bon.

Ils ont fini par cesser de menacer. De cesser de venir te voir. Ils t’ont laissé tranquille. Et toi, tu as naïvement cru que c’était fini. Qu’ils avaient accepté tes trop nombreuses demandes. Qu’ils avaient accepté de te laisser pour la énième fois un peu plus de temps. Juste assez longtemps pour gagner, que tu leur as dit. Alors qu’assez longtemps, tu leur demandais depuis des mois déjà.

Et que ça avait duré assez longtemps. Trop à leur goût. Et là où tu croyais qu’ils t’avaient laissé tranquille, eux se sont contentés de te laisser espérer. Que tu retrouves un semblant de calme d’esprit. Que tu sois presque sereine. Car sereine, tu l’étais, lorsque tu as ouvert la porte de cette misérable maison occupée par toi-même ainsi que tes parents et ta soeur cadette. Cette maison misérable dans laquelle tu as grandi. Dans laquelle que vous viviez, tous ensembles. Dans laquelle ils gisaient désormais sans vie, balles logées dans leur crâne tandis que du sang avait tâché le papier peint.

La suite ? La suite est encore aujourd’hui assez floue dans ton esprit. Tu te souviens des larmes. Tu te souviens du mal de gorge tant tu as hurlé. Tu te souviens des corps sans vie. Te souviens du sang. Des expressions terrifiées, sur leur visage. Tu te souviens avoir pris la fuite, embarquant avec toi tout ce qui pouvait rentrer dans un petit sac. Quelques vêtements à peine. De quoi survivre quelques jours, ne sachant pas vraiment où est-ce que tu allais t’arrêter. Et tu es partie. Tu es partie sans un regard vers l’arrière. Tu es partie en ne sachant pas où aller, la peur aux tripes et l’estomac retourné. Tu es partie, trop terrifiée pour être accablée par la tristesse.

Tu aurais tout le temps de les pleurer plus tard.
Lorsque toi-même tu seras en sécurité.

Tu as fuis, donc. Tu as pris le premier bus qui passait par là, direction le sud du continent.

C’est là-bas que tu as refait ta vie. Las Vegas. Loin de là d’où tu venais. Loin de cette maison que tu as laissé derrière toi. De ces criminels à qui tu as emprunté trop d’argent. C’est là-bas que tu as retrouvé une certaine tranquillité d’esprit, parvenant à faire changer ton nom alors que, malgré tes erreurs de jeunesse, ton dossier criminel apparaissait, lui, comme encore parfaitement vierge. Tu as trouvé du travail, là-bas. Qui ne payait, certes, pas très bien, mais qui était légal et ne te demandait pas de retirer tous tes vêtements. Et c’est grace à ce travail, au sein d’une petite boutique tenue par une gentille femme tenant mordicus à faire comme avant, que tu as pu payer tes études.

D’abord pour rattraper tout ce que tu n’as pas appris. Puis, pour étudier en psychologie. Enfouissant au plus profond de ton esprit tout ce que tu as laissé derrière toi, tu t’es engourdie dans le travail et les études, avec cette supposée volonté de vouloir faire le bien. De vouloir aider les autres. De pouvoir accompagner ceux en difficulté. Ceux ayant besoin de support. Car face à l’horreur que peut être le monde aujourd’hui, tu t’es dit qu’il vaut mieux ne pas être complètement livré à soi-même.

Tu te dis que si quelqu’un t’avait accompagné, peut-être que tu n’en serais pas arrivée là.

Peut-être qu’eux seraient encore en vie.

Et c’est là où tu en es aujourd’hui. Andrea Reed, psychologue ayant son petit cabinet dans un grand bâtiment de Lumopolis. Une jeune femme comme il y en a d’autres. Une jeune femme tranquille. Le genre de jeune femme qui prend son café le matin en relisant des dossiers pour se préparer à sa journée qu’elle dédit à ses patients. Le genre de jeune femme qui termine sa journée avec le sourire et qui se prend un bon repas devant la télévision avant de profiter d’une bonne nuit de semaine.

Ou, enfin.
C’est là où tu prétends en être aujourd’hui.

Car tu es une femme torturée par ton passé, aux nuits trop courtes et trop agitées. Une femme qui ne tient pas en place. Qui aime son travail, certes. Qui aime être là pour les autres, les écouter, les aiguiller, mais peut-être pas pour les bonnes raisons. Qui y trouvent une fascination presque dérangeante, finalement, dans leurs vices.

Dans ces vices qu’elle-même a enterrés.

L’envie de plus. D’une vie plus haute en couleur. L’envie de jouer. L’envie d’y goûter à nouveau, à l’adrénaline. À ton coeur qui débat. À l’euphorie qui coule dans tes veines. Celle que tu ressentais à chaque victoire. À chaque fois que plus d’argent débarquait dans ton compte. À ces sommes indécentes que tu brûlais avec la conviction qu’il en aurait toujours plus.

C’est ça ton vice à toi. Pour certains c’est la drogue. Pour d’autres le sexe. La violence.
Pour toi, c’est le jeu.

Et désormais ?
C’est d-vice.





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Anael Hyde
Anael Hyde
Popularité : 15000
Gif : don't let me get me (andrea) - terminée NBkn9s5
Onyx : 63
Occupation : barman ○○ intermédiaire pour criminels
Faceclaim : obi-wan kenobi (star wars) ○○ ewan mcgregor (irl)
Pronoms : comme-vous-voulez-really
Trigger Warning : //
Double Compte : //
Upgrades & Inventaire : UPGRADES
— programme pirate
— prothèses de combat

INVENTAIRE
— collection de lames dissimulées sur toute sa personne
— kit de soin d’urgence
— de quoi crocheter une serrure
— set de clés et de cartes d’accès
— objets divers et variables
— beaucoup trop de poches.
Anael Hyde
Sam 11 Fév - 12:47
@_Preencess
woh.
woh, woh, woh.
les gens présents sur le discord peuvent témoigner j'ai. un peu hurlé sur ta fiche.
(d'accord bôcoup)(et encore je me suis retenue et me suis contenté sagement de like, juste citer un petit passage, parce que sinon)(eh bien disons juste que mon doc de quotes pour le forum is in pain and me with it.)

mais du coup, hum, que dire.
don't let me get me (andrea) - terminée 1963026247
j'ai tout miom avec une vitesse assez indécente. andrea est incroyable. et vraiment cette vibe d'enfant brisé du désert je mange ça à la petite cuillère et j'en redemande. andrea tape vraiment dans une de mes plus grosses faiblesses niveau character and vraiment (oui je vais radoter to death) aaaaaa — i love her so much. et y a vraiment (again) quelque chose dans ta plume qui juste grab. squish. et nous plaque au sol et nous emporte jusqu'au bout et c'était. vraiment (xème edition) une lecture terriblement cool.

and andrea
(sivan?)(son vrai nom est si si joli btw)
is
really hot
don't let me get me (andrea) - terminée 1303361128

un très grand bienvenue à toi et toutes mes congratulations pour avoir tout terminé du coup !! you rocks. (et si jamais tu need help pour le pseudo hésite pas à pop sur le didi suis sûr que les gens seront ravis de proposer des trucs)

don't let me get me (andrea) - terminée 2643125871 don't let me get me (andrea) - terminée 2643125871
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Ambrose Yuan
Ambrose Yuan
Popularité : 32000
Gif : don't let me get me (andrea) - terminée Fcae760c2f947911bab63a66ae6b62dc5a93cc9e
Onyx : 474
Occupation : TDS en grève
Faceclaim : Xiao - Genshin Impact + Jeff Satur
Pronoms : Ambrose : il / Moi : elle
Trigger Warning : Suicide
Double Compte : ////
Upgrades & Inventaire : Upgrade : taser intégré
Inventaire : couteau suisse, menottes à fourrure
Ambrose Yuan
Sam 11 Fév - 15:37
@gimmesugar
Quelle dualité fascinante entre la psychologue qui aide les autres et le human wreck qu'est Andrea lkfdjgglkjfd Non vraiment, ça crée une tension super intéressante et ça a quelque chose de touchant aussi et I root for her pour qu'elle ne brûle pas ses ailes au soleil
Bienvenue <3
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Magnus Werner
Magnus Werner
Popularité : 45000
Gif : &#39;Twas los, schlampe?
Onyx : 261
Occupation : Con artist
Faceclaim : Loid Forger — SpyXFamily ; Ryan Gosling
Pronoms : Whatevs
Trigger Warning : None
Double Compte : ////
Upgrades & Inventaire : Copycat Biométrique
Prothèses de combat
Magnus Werner
Dim 12 Fév - 5:33
@Kaiserr
validé

Alors le truc fun, avec les snipers de fiche que sont Anael et Ambrose; beh c'est que ya plus rien à dire sur la fiche, hein! don't let me get me (andrea) - terminée 3961838799 Je peux donc, en toute liberté, fangirler tout en ayant une excuse imparable. Ainsi:

OMG OMG OMG OMG OMG YAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAASSS don't let me get me (andrea) - terminée 3499926361
Dans l'ordre: Pharah don't let me get me (andrea) - terminée 2768305713 (parce que fut un temps, j'étais un Mercy main et GODDAMN Pharmercy forevah) ensuite un personnage du Moyen-Orient don't let me get me (andrea) - terminée 441639777 Les persos de ce fofo sont si cosmopolites comparés à d'autres city, j'en suis toute chose cébo
La plume. Oh grands dieux, cette plume je- don't let me get me (andrea) - terminée 1303361128

Ah oui, évidemment le personnage a l'air TROP BIEN, aussi. D'une dualité terrifiante, cachant une tristesse et des peurs apocalyptiques tout en continuant simplement à la force de son envie de vivre pitié qu'on en lise tous les jours des persos comme ça

Ahem. Du coup, bonne validation, et si j'ai pas un lien d'ici une semaine je glisse dans tes dm avec un flingue et un paquet de cartes. Allez bises don't let me get me (andrea) - terminée 1454974273

Maintenant que tu es validé, n'hésites pas à aller ouvrir des rps ou de venir sur le discord, si ce n'est pas déjà fait !

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