nouveautés
  1. Nous sommes le 28/12, TIME LIMIT ouvre officiellement ses portes ! Vous pouvez dors et déjà vous inscrire, débuter la création de votre personnage et nous rejoindre sur le discord ! Avec ceci nous vous annonçons que 4 prédéfinis et 3 scénarios sont disponibles, chacun avec leur lot d'avantage, n'hésitez pas à aller y jeter un coup d'oeil !
    28/12/22
  2. Une nouvelle annonce est disponible ! Trois nouveaux scénarios et un prédéfini ont été ajoutés, ainsi que de nouveaux défis et upgrades. Pensez cependant à aller la lire pour pouvoir vos recenser avant le 9 avril en cliquant ici !
    26/03/23
  3. Fermeture temporaire du forum. Plus d'explications ICI !
    26/09/23
WANTED

Apolonia
disponible

Helios
disponible
LUMOPOLIS
2047
Anciennement Las Vegas ▬ Nevada, États-Unis d’Amérique. Les mégacorporations dominent la vie citoyenne et politique tandis que la population goûte les joies des améliorations cybernétiques et autres modifications corporelles. Livrés à vous-mêmes dans la ville de tous les plaisirs, vices et excès vous pouvez ici vivre ; et surtout être tout ce qui vous fait envie !

Bienvenue à Lumopolis, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ou préférez-vous regarder des hordes d’Icares se brûler les ailes ?
VOTEZ POUR TL

Bienvenue à Lumopolis en 2047, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ?
 
Le Deal du moment :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à ...
Voir le deal

 ::  :: Présentations :: Lumopolites Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Saya no Uta (TW : violence)
Sayaka Koike
Sayaka Koike
Popularité : 15000
Gif : Saya no Uta (TW : violence) 63f93bf13906418d1370b6999e64666a456a8d6b
Onyx : 70
Occupation : Garde du corps / Tueuse à gages (?)
Faceclaim : Maki Zen'in - - - Lee Joo-young
Pronoms : Elle
Trigger Warning : Violence à la lame / Sang / Assassinat
Double Compte : ////
Upgrades & Inventaire : Prothèses de combat
Propulseurs
(idée future : base d'implant Sandevistan)
Sayaka Koike
Lun 27 Fév 2023 - 23:19
@_BlackSad


@_BlackSad
identité
Nom: Koike
Prénom: Sayaka
Âge: 35 ans
Date de naissance: 11/09/2012
Origine(s): USA
Genre: Féminin
Or. sexuelle: Hétérosexuelle
Groupe: Citizens
Métier: Garde du corps - Tueuse à gages (pour le compte de ses patrons)
Faceclaim: Maki Zen'nin - Jujutsu no Kaisen (mettre, le cas échéant, un éventuel feat IRL)



MENTAL
P. : Après la revue de vos bilans, passons à des sujets plus personnels. Dites-moi comment allez vous depuis notre dernière entrevue, Saya-chan.
S. : ...
P. : Des nouvelles de vos parents depuis les funérailles de votre frère ? Ont-ils tenté de vous recontacter.
S. : Non.
P. : Je vois ... et les contacter. Ne pensez-vous pas que cela serait un piste envisageable ?
S. : Non.
P. : Pouvez-vous me dire pourquoi, selon vous ?
S. : [long silence, ne fait que regarder les billes de la pendule de Newton qui vont et viennent entre leurs frappes] Parce que je ne leur doit rien.
P. : Vous ne leur devez rien. Mais ce sont vos parents.
S. : Regardez-moi docteur. Et dites moi ce que vous voyez depuis votre foutu hologramme. Est-ce que j'ai la gueule de quelqu'un qui peut faire du sentiment ?
P. : Votre travail vous convient-il actuellement ?
S. : Oui.
P. : Des activités en dehors de celui-ci ?
S. : Musculation. Bar.
P. : Au bar vous vous sentez bien ?
S. : [Long silence, tourne sa tête vers l'holo et dévisage] ...
P. : Vous m'aviez dit qu'une réunion d'anciens combattants de votre escadron se tiendrait bientôt. Vous comptez toujours y aller ?
S. : Sûrement.
P. : Ce serait une possibilité intéressante  de revoir d'anciens collègues, vous remémorer des souvenirs communs ...
S. : Il n'y a qu'un putain de citoyen pour dire ça. [Se lève et paie sa note de frais sur l'écran] Dans deux semaines ?
P. : Oui à dans deux sem ... [La porte claque]

Conclusions : Plus sociable que la dernière fois - Taiseuse - Colère enfouie - Carapace - Rancunière - Alcoolique (?) - Traumatisme profond - Possibilité de nouveau contact avec sa famille Liens rompus avec ses parents - Observatrice - Hyperacousie palliée avec bouchons atténuateurs de bruits sur mesure, moins sensible aux bruits de mon pendule - Solitaire - Méfiance - Pulsions violentes - Réaction notée : crispation de la mâchoire concernant ses heures de sommeil -> Troubles ? - Vérifié après tentative d'hypnose : stress post traumatique.
UPGRADES
— Prothèses de combat
— Propulseurs


INVENTAIRE
— Katana Tamahagane
— Couteau tactique

Connaissance de
D-VICE: oui

Ancienne cheffe d'escadron ; Lors d'une reconnaissance dans un village, une bombe explose. Son corps restera à jamais marqué ; malgré le dégout que procure ses cicatrices à autrui, elle décide de les garder ; elle a depuis une hyperacousie, qu'elle calme avec des bouchons d'oreille atténuateur de bruit ; Sans pitié avec ses cibles ou ceux tentant de toucher à ses patrons, elle n'hésite pas à les planter et les torturer ; Elle entretient son corps, autant par des joggings réguliers que des passages à la salle ; Sayaka entretient un lien particulier avec le vétéran Georges Harrington. C'est elle qui s'occupe de lui quand elle peut passer dans le mouroir installé pour les blessés de guerre. Elle paie aussi ses soins ; Son frère, devenu cyberpsycho, est mort récemment ; Le contact avec ses parents est rompu. Son père a même tenté de la gifler durant les funérailles de son frère, mais il a tenu à maintenir les apparences ; Les enfants qui hurlent dans les transports en commun se taisent quand elle les dévisage ; A fait peur à ses nouveaux voisins de pallier, quand ceux-ci l'ont vue pour la première fois le jour d'Halloween ; Réputée pour être un bourreau de travail ; A reçu son katana de son maître d'armes ; anecdote ; anecdote ; anecdote ; anecdote ; anecdote ; anecdote ; anecdote ; anecdote ; anecdote ; anecdote ; anecdote ; anecdote



IRL
Pseudo: Hipponoé
Disponibilité: Généralement les week end (pour le moment, ça dépendra des ajustements de mon travail)
Triggers Warnings: Violence, gore, humiliation
RP [+18] (violence, sexe, sang...) ?: Violence, assassinat, sang, torture, sexe, insultes



HISTOIRE
Koike Sayaka, sortie dans les meilleurs de sa promo au National War College. Fille de bonne famille. Père travaillant pour une corporation en tant que chef de recherches et développement, Mère créatrice d'implants cosmétiques. Introvertie dans son enfance et plutôt calme, elle est tout le contraire de son frère Takumi. Malgré ses résultats et son comportement, Takumi est le préféré. Sayaka ne dit rien concernant ses addictions et son envie de toujours plus se chromer. La seule fois où elle a élevé la voix (lorsqu'elle a été accusée d'avoir volé la carte de crédits de ses parents, alors qu'il s'agissait de son frère), son père l'a giflée. En réponse, elle abandonne les cours de piano imposés et s'intéresse de plus en plus aux sports de combat. À dix huit ans, a refusé de s'intégrer dans le moule exigé par ses parents. Elle est jetée de la maison, et part en école militaire. Lors de ses vingt ans, alors que la réconciliation avec ses parents était en bonne voie, a cassé le nez de son frère lorsque celui-ci a eu le bon ton de mettre en pièces tous ses anciens vêtements ou meubles. Nouvelle rupture.

Victime de sexisme, elle ne se laisse pas pourtant marcher sur les pieds et gagne peu à peu le respect de ses camarades, comme de ses supérieurs. Elle monte les échelons, faisant preuve d'un grand sens tactique sur le terrain lors des mobilisations américaines sur le sol africain, mais aussi une capacité à évaluer les besoins nécessaires à la cohésion de son escadron.


Le sang s'écoule sur le sol. Autour, c'est un mélange d'asphalte, de viande de porc cramée, de poussière et de métal chauffé. De la peau arrachée, un lambeau à vif, rouge, couvert de poussière et de graviers. La chair pulse, les pics ne font que s'enfoncer quand un membre bouge. Une pointe de lame s'enfonce, seul moyen de retirer l'éclat qui menace d'empirer la situation. Impossible de sentir où la douleur se situe, car tout brûle. Un oeil en sang, l'ouvrir est pénible. C'est comme si une fente avait mis à vif la peau de la paupière. Ramper ou même ne serait-ce que bouger est pénible, chaque respiration, chaque son, tout devient désagréable. Même un gémissement, un râle. Les doigts raclent sur la terre, les herbes séchées, un tremblement puis un frisson, long, glisse du bras au corps.
Il y a le lieutenant Jacoby qui se tient la jambe, touché en pleine cuisse. L'ingénieure Phyllis qui est ventre à terre. Davis tire dans le vide, Mallone a une lame coincée dans son épaule. Harrigton a la jambe droite de déchiquetée. De la toux, du sang mêlé à la salive dans un roulement laborieux de la langue.


On dit que la guerre, ça change un homme. Que ça le renforce, l'élève au rang de héros de la nation. Pourtant, ils sont plus de 400 000 à traîner dans les rues. Sans abris, alcooliques, sans suivi psychologique les amenant dans les rangs de la dépression ou de la folie. Pas de travail, pas de logement parce qu'ils sont sales, ils font peur. Ils font peur car ils savent manier ce que l'Homme a fait de pire : de quoi tuer et détruire. Digne d'un comics, sauf que c'est la réalité. Les héros ne sont pas adulés, choyés. On a peur d'eux, on ne les accepte pas car ils sont plus que différents.

Après cet épisode traumatique, Koike Sayaka passe six mois en hospice, à jamais marquée, brûlée. Elle vagabonde ensuite pendant deux ans dans les rues de plusieurs villes, en survivant grâce à ses implants encore fonctionnels. Ses parents ne lui viennent pas en aide, trop occupés à gérer les crises psychotiques de Takumi. C'est son ancien maître d'armes qui, au détour d'une rue, la reconnait, alors que ses lunettes sont brisées, ses cheveux coupés courts et le corps parcouru des cicatrices de ses brûlures. Bouteille en main, elle manquera de l'agresser dans une hallucination due à son PTSD. Il la prend sous son aile, l'aide à redevenir un tant soi peu humaine. Elle reprend ses entraînements à la lame, bien que la Sayaka avant la bombe a disparu sous la violence, les traumatismes non dits et la sauvagerie que lui a inculqué le fait de devoir survivre dans la rue. La méditation, la musculation mais aussi le maniement des lames apaisent un peu son âme, mais cela ne suffit pas. Le besoin de violence est toujours présent. Alors son maître d'armes l'intègre à un programme préparant des gens rompus à l'exercice physique et une certaine rigueur militaire, à devenir agents de sécurité ou bien garde du corps pour nombre de corporations.

Les mains sont lavées consciencieusement. Le sang s'échappe en filins par endroits, pendant que l'eau coupe de son bruit le pesant silence. Le corps se retourne ensuite, pendant qu'une serviette sert au séchage, afin de jeter un œil au siège se trouvant plus loin. Sur ce siège de charcudoc, une femme est assise, regard tourné vers un écran. Ses implants de jambes ont été enlevés, tailladés à l'aide d'une lame assez tranchante pour mettre à mal la structure métallique. Ses doigts, dépourvus de ses ongles stylisés, tremblent par intermittences.

- Tu vois, Barbara, au final le temps leur aura donné raison.

Les mains s'emparent d'un bol, dans lequel se trouve une espèce de soupe phô. On s'avance vers cette femme qui n'a pas la capacité de s'échapper, et que l'on a laissé volontairement consciente après de tels sévices. La bouche de la femme est ouverte avec force, et une cuillère de la nourriture lui est donnée sans douceur. La personne dans les ombres s'avance un peu, pendant que l'autre continue de gaver la suppliciée.

- Et elle est le temps. Le temps qui te fait comprendre ton erreur. Celle qui te rappelle que tu n'aurais jamais dû jouer les salopes, avec tes petits airs de sainte nitouche chrétienne. Je t'avais prévenu que te la jouer syndicaliste et opportuniste allait te retomber sur la gueule.

Une nouvelle bouchée est forcée, accompagnée de gargarisme de la part de la dite Barbara. On lui donne à manger avec force, sans aucun état d'âme pour sa personne.

- Du coup, on s'est dits que ce serait bien qu'après tout ça, on te fasse manger de ta propre soupe. Du coup, ça fait quoi ... de manger de sa propre soupe.

L'homme sort des ombres et sourit, pendant que la femme se contorsionne en voyant enfin celui qui lui parle, pendant que cette femme au visage parcouru de brûlures, lui enfonce la cuillère jusqu'à la glotte.

- Ton mari sera heureux d'ailleurs. Lui qui voulait avoir des yeux partout, il en aura sur ton intérieur.

Et là Barbara comprend. Elle comprend que cette soupe phô n'en avait que le nom. Que le salé et la consistance de ces boulettes n'avaient rien de boulettes. Elle veut vomir, mais on l'en empêche en lui pinçant le nez, en gardant la courbe de la cuillère contre sa langue et en penchant sa tête en arrière d'une poigne ferme sur ses cheveux. Ses yeux écarquillés cherchent un repère, un espoir, alors qu'elle avale, avale ... Et tout ce qu'elle voit, c'est ce visage déchiré, brûlé, coupé. Un visage de femme. Elle espère de la solidarité féminine, mais pour Sayaka, elle n'est qu'un objet; bientôt un déchet. Les gargarismes, les ébats de bras ou de jambes (ou du moins ce qu'il en reste) ne la font pas flancher. Pire, elle serait capable d'enfoncer cette cuillère au fond de la gorge de la torturée. Pas de frissons, pas d'empathie quand celle-ci se met à geindre ou tourner de l'oeil. Elle doit avaler. Et quand c'est fait, Sayaka se redresse, puis s'avance vers l'homme, qui lui tend alors une mallette.

- J'ai mis plus en extra pour la soupe
- Merci. Bonne soirée.

Sayaka prend la mallette et remet sa veste. Puis, elle part sans se retourner, sans avoir ne serait-ce qu'une once de regret pour avoir laissé la femme dépourvue de jambes avec son tortionnaire principal. Pour elle, c'est normal. Cette nana a voulu jouer les salopes avec ses patrons, elle en paie le prix.


Les mois passent. Sa prise de fonction en tant que garde du corps, mais aussi tueuse à gages pour ses patrons, lui donnent de nouveaux points de repères. Suivi psychologique régulier. Prend plus soin d'elle. Refuse une pose de prothèses esthétiques qui cacheraient ses blessures de guerre. Loyale envers ses employeurs. Efficace, discrète. Impitoyable. Sans doute plus machine qu'un androïde. Connaissance de D-Vice par la force des choses; elle a éliminé quelques prisonners et players pour le compte de ses patrons. Ici aussi, c'est une zone de guerre. Mais cette fois, la mort des gens ne vient pas la hanter durant ses nuits car ... elle prend du plaisir à tuer ceux du même rang que ceux qui l'ont rejetée. Œil pour œil, dent pour dent.






Revenir en haut Aller en bas
Helios S. Gallagher
Helios S. Gallagher
Popularité : 322000
Gif : Saya no Uta (TW : violence) 1625a69f804e174394648465176
Onyx : 506
Occupation : Tatoueur
Faceclaim : Vanitas — KH ; Zayn Malik
Pronoms : he / him
Trigger Warning : ///
Double Compte : Felicy Doughall
Upgrades & Inventaire : ☽ UPGRADES ☾
- Vision thermique
- Paumes aimantées
- Poignés rotatifs
- Crocs hallucinogènes

☽ INVENTAIRE ☾
- Clopes, briquet
- Clefs du shop
- Mort subite
- Karambit
Helios S. Gallagher
Lun 27 Fév 2023 - 23:29
@_Syndr0m3
WOAH.
Woaaaaaah ?

Alors déjà bienvenue.
Ensuite, COMMENT ?

D'où ça sort des fiches comme ça hyper prometteuses avec des personnages hypers prometteurs que je vais certainement stalk comme une folle en RP ?? C'est interdit par ici. Céfo bien sur termine vite cette fiche que je puisse la lire que dis-je la BOIRE.

Si tu as besoin de quoi que ce soit n'hésites pas un seul instant, bon courage pour la fin de cette fiche que j'attend avec impatience pour la dévorer à nouveau. ♥

Saya no Uta (TW : violence) 2643125871
Revenir en haut Aller en bas
Anael Hyde
Anael Hyde
Popularité : 15000
Gif : Saya no Uta (TW : violence) NBkn9s5
Onyx : 63
Occupation : barman ○○ intermédiaire pour criminels
Faceclaim : obi-wan kenobi (star wars) ○○ ewan mcgregor (irl)
Pronoms : comme-vous-voulez-really
Trigger Warning : //
Double Compte : //
Upgrades & Inventaire : UPGRADES
— programme pirate
— prothèses de combat

INVENTAIRE
— collection de lames dissimulées sur toute sa personne
— kit de soin d’urgence
— de quoi crocheter une serrure
— set de clés et de cartes d’accès
— objets divers et variables
— beaucoup trop de poches.
Anael Hyde
Mar 28 Fév 2023 - 4:22
@_Preencess
alors
oof
que dire.
parce que oof est le terme really je-
/essuie son front/
tout d'abord le gif dans ton profil make me feels things goddamn what an irl-
et le feat illustré du coup ?? le feat illustré a juste l'air incroyable ? toutes ces cicatrices je- gros gros faible pour les personnages marqués en général mais encore plus sur time limit parce qu'avec l'avancée de la science et de la médecine et les secours qui peuvent pop /claque des doigts/ like that si tu en as les moyens, être marqué veut forcément dire something, et dans le cas de sayaka quel something indeed.

comme helios je suis déjà terriblement hype par tout ce que je vois et j'ai qu'une hâte : en voir plus Saya no Uta (TW : violence) 2768305713

(et vraiment mon cerveau étant tout de suite like soup je peux pas assez rendre honneur à tout ça mais : toute la partie floutée de la story est incroyablement écrite, les anecdotes sont a treat et l'entrevue dans le mental is chef kiss)


un grand bienvenue à toi, bon courage pour la suite, et je confirme que le peuple attends la dite suite with moult hype Saya no Uta (TW : violence) 2643125871 Saya no Uta (TW : violence) 2643125871

(bonjour, je suis le peuple)
Revenir en haut Aller en bas
Apolonia W. A.-Werner
Apolonia W. A.-Werner
Popularité : 150000
Gif : Saya no Uta (TW : violence) Kennedy-walsh
Onyx : 477
Occupation : étudiante & vlogueuse + mi-temps dans un café à thème
Faceclaim : Kanroji Mitsuri — KNY ; Kennedy Walsh
Pronoms : she/her
Trigger Warning : le responsive
Double Compte : Léo + Belladona
Upgrades & Inventaire : UPGRADES
— Taser intégré
— Programme pirate
— Retour sur image

INVENTAIRE
— Spray au poivre
— Nécessaire à maquillage (pour toujours se refaire une petite touche)
Apolonia W. A.-Werner
Jeu 2 Mar 2023 - 13:25
@PurePink
validé

Eh beh, Sayaka est loin d’être une douce (et j’aime beaucoup), ça va parfaitement bien avec le feat, la plume est simple à lire et l’histoire de la jeune femme désastreuse, je veux dire bon dieu ce qu’on lui a mis dans les dents avec les années oof. La petite scène avec Barbara était rough asf, mais ça montre bien la dureté du personnage, donc un régal.
J’ai pas grand-chose à dire de plus, si ce n’est que Sayaka risque de faire un carnage à Lumopolis et j’ai hâte de voir ça ! (Ceci dit, la partie Trigger Warning et RP+18 sont là plus pour demander ce qui peut te déranger toi inrp et si tu acceptes de faire des RP+18, pas ce qu’il pourra probablement se retrouver dans tes rps, voilà, voilà)

Maintenant que tu es validé, n'hésites pas à aller ouvrir des rps ou de venir sur le discord, si ce n'est pas déjà fait !

Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Page 1 sur 1
Sauter vers: