Nous sommes le 28/12, TIME LIMIT ouvre officiellement ses portes ! Vous pouvez dors et déjà vous inscrire, débuter la création de votre personnage et nous rejoindre sur le discord ! Avec ceci nous vous annonçons que 4 prédéfinis et 3 scénarios sont disponibles, chacun avec leur lot d'avantage, n'hésitez pas à aller y jeter un coup d'oeil !
28/12/22
Une nouvelle annonce est disponible ! Trois nouveaux scénarios et un prédéfini ont été ajoutés, ainsi que de nouveaux défis et upgrades. Pensez cependant à aller la lire pour pouvoir vos recenser avant le 9 avril en cliquant ici !
26/03/23
Fermeture temporaire du forum. Plus d'explications ICI !
Plus qu'une upgrade en soit, le drone de cargaison est un véritable moyen de locomotion à part entière. Celui-ci est tellement imposant qu'il est obligé d'avoir sa propre place dans un garage et permet à son utilisateur de se déplacer librement dans les rues de Lumopolis.
date inconnue— Ancien paramédic dans l'armée
date inconnue— Ash change vite de voie et apprend la programmation en autodidacte
date inconnue— A détourné un drone de transport de cargaison pour son usage personnel
date inconnue— A commencé à filmer les défis des Players et Prisoners contre rémunération
2046-2047— Revend régulièrement les images où les Players décèdent à D-VICE pour se faire du fric facile pendant que l'appli couvre ses traces.
Permet de de cacher son apparence en une bouillie de pixels à toutes caméras ou toute personnes dotées d'une puce. Elle peut également choisir de se rendre visible auprès de ceux qu'elle souhaite.
date inconnue— Naissance dans un bidonville du Mexique.
date inconnue— Naissance de Jared, son petit frère, dans un bidonville du Mexique.
2023; date flexible— Adoption de la fratrie par un riche politicien de l'état de New York.
2023-2040— Les enfants McMiller évoluent dans la haute société américaine, Orlane s'adaptant très bien au Monde de faux-semblants et de luttes d'influences
2040— Le père McMiller tombe dans un scandale qui ruine sa réputation et sa carrière. Orlane se forme alors en informatique et devient hackeuse pour gagner sa croûte -et de l'influence. Elle développe ainsi son brouilleur visuel pour cacher son identité La même année, Orlane trafique la puce de Magnus Werner. L'opération rate, et au lieu d'être simplement caché du réseau, l'autrichien peut copier les infos biométriques de tous les gens qu'il croise. Par sécurité, la mexicaine s'assure que Magnus ne peut pas recopier les données de sa puce à elle.
2041— Mieux rodée à la modification d'upgrade, Orlane crée le transformateur vocal de Jared.
2045— Orlane est approchée par une organisation voulant monter une nouvelle application coopérative: D-VICE. Séduite par le projet, la Hackeuse commence à programmer pour l'application. Toujours prudente, elle travaille à distance et via son pseudo; ne divulguant aucune info personnelle à l'organisation.
2046— Quand BlackSwan lui demande de griffer la puce d'Apolonia Werner, Orlane accepte: avoir quelqu'un chez D-VICE qui lui doit une aussi grosse faveur ne peut que lui servir.
2046— Quand deux mois après le lancement de D-VICE, l'organisation demande à Orlane de taire les décès dus à l'appli en plus de trafiquer le casier de Prosperity pour y ajouter des crimes qu'elle n'a pas commis, la mexicaine refuse et quitte D-VICE. En partant, elle offre anonymement à Prosperity son projecteur holographique, espérant permettre à la jeune femme de regagner plus facilement sa liberté
2047 — Orlane continue à bosser dans l'ombre pour rectifier les torts de D-VICE, et ses upgrades et implants griffés sont devenus quelques uns des trésors les plus recherchés du marché noir. A ce jour, seul Jared McMiller alias Sentinel connaît le visage et l'identité d'OrLayzOn.me.
Les quatre bras qui composent le dispositif lui servent aussi bien à être dévastateur que précis. Il doit se servir de ses bras en permanences pour se soutenir à cause du poids de ces derniers. Son énergie est vite drainée par la fatigue que son corps et ses nerfs accumulent poussent le porteur à prendre des pauses plus régulières.
Réputé pour être l'un des médecins les plus respectés de sa génération d'un point de vu militaire.
Envoyé au front en 2034 pour sauver un maximum d'homme après qu'il se soit fait greffé les quatres bras métalliques qui composent maintenant son squelette.
Ses yeux ont été opérés de force car il a reçu des éclats d'obus qui lui ont fait perdre la vue lors d'une de ses missions. Il porte des lunettes pour cacher ce qui lui sert à voir aujourd'hui.
Après avoir été rapatrié, il arrête complètement sa carrière, se met à développer des upgrades dans son atelier et au fur et à mesure, il a fini par développer son marché.
Aujourd'hui il passe plus de temps à étudier la possibilité des upgrades demandées par le gérant du marché noir, mais il lui arrive encore de travailler au black pour installer des upgrades sur des clients prêts à en payer le prix.
Permet de transformer sa voix à volonté et par extension de reproduire celle de n'importe quel individu. L'utilisateur ne peut toutefois pas réellement copier la voix, il ne pourra que tenter d'imiter celle-ci par ce qu'il a pu entendre.
date inconnue— Naissance dans un bidonville du Mexique où il apprend à se débrouiller -set surtout à voler avec sa grande sœur Orlane.
2023— Adopté avec Orlane dans la grande famille McMiller par un père politicien.
2023-2040— Élevé dans la haute société New-Yorkaise, Jared s'y adapte beaucoup moins bien que sa sœur. Brillant à l'école, le mexicain a cependant en sainte horreur le Monde de faux-culs et de petites frappes dans lequel il évolue. L'enfant enchaîne donc les quatre cents coups, au grand dam de son paternel et sa grande sœur. Il collectionne presque les métiers, allant de barman à mécanicien en passant par athlète de parkour semi-professionnel, pilote de course ou encore pilote de voltige et instructeur de parachute.
2041— Orlane lui installe un transformateur vocal préparé par ses soins.
2046— Véritable adrenalin junkie, Jared est immédiatement séduit par le principe de D-VICE et s'inscrit extrêmement vite.
2047 — Jared nourrit une rivalité aussi comique que virulente avec Kaiserr, au point de vouloir, pour enfin assurer sa supériorité en tant que Player; accepter un défi top1. Sentinel le réussit, et entre dans la légende en tant que premier Player ayant réussi un défi top1. Jared est aussi la seule personne à Lumopolis qui connaît la véritable identité d'OrLayzOn.me. En même temps, c'est sa grande sœur. Ça aide.
Humain dont la conscience a été, dans son intégralité, téléchargée dans sa puce biométrique. Celle-ci a ensuite été intervertie avec celle d’un androïde. Bien que la conscience puisse se servir du corps, ce dernier est néanmoins toujours bloqué par les 3 lois d'Asimov. Upgrade personnalisée: Insensibilité à la douleur. L’insensibilité à la douleur inclut aussi toutes les sensations désagréables comme les brûlures, nausées et autres désagréments. Elle n’empêche cependant pas le corps d’androïde de subir des dégâts.
Humain dont la puce est défectueuse, impossible pour lui d’être repéré par aucun élément biométrique. Mieux, même: Avec le défaut de fabrication de la puce, il est possible à son possesseur d’importer des données biométriques depuis n’importe quelle autre puce. Upgrade personnalisée: copycat biométrique. Pour fonctionner, le copycat biométrique doit avoir un accès direct à la puce qu’il copie. Il faut donc soit un contact direct avec la puce de l’autre personne, soit télécharger les données via un lecteur de puces.
Humain qui s’est vu proposé de travailler pour D-VICE en s’occupant des players ayant décidé de moufter. Ici, les balances vivent la vie dure et le chien de chasse est là pour vous la faire vivre. Profiling et tortures seront les armes principales de celui qui viendra réduire au silence ceux qui ont trop voulu en dire. Upgrade personnalisée: fléchettes tranquillisantes. Permet d’assomer quasiment n’importe qui pendant deux bonnes heures.
L’idol à la voix d’ange, la coqueluche des fans et des médias! Personne ne résiste à ses vocalises, et certains disent même que sa voix peut vous ensorceler… Upgrade personnalisée: prothèses vocales sirène (séduire par des paroles trompeuses et flatteuses). La Loreleï doit utiliser sa voix directement pour faire effet: un enregistrement ne fonctionne pas; cependant un contact visuel direct comme lors d’un concert, par exemple, peut suffire à ensorceler la foule.
Humain travaillant dans la police et qui enquête personnellement sur D-VICE après avoir entendu de nombreuses personnes en parler. Les rumeurs ne l’ont pas laissé de marbre, il a décidé de mettre les pieds dans le plat. Même si ses collègues ne le suivent pas du tout sur cette affaire, il utilise tout son temps libre pour comprendre ce qu’il se passe dans les rues de Lumopolis. Upgrade personnalisée: Détecteur de mensonge. Utilisable uniquement à proximité de la cible, impossible de l’utiliser sur plusieurs personnes en même temps. Pour que le détecteur puisse fonctionner, il faut que la question ai été posée par l’utilisateur, impossible donc de vérifier une information lancée à l’improviste.
Vous avez toujours fait fortune, la négociation n’a aucun secret pour vous et votre charisme est à toute épreuve… C’est donc tout naturellement que vous êtes à l’origine du marché noir de Lumopolis. C’est vous qui décidez qui vend et vous gérez ce business d’une main de fer. Vous êtes reconnu par les acheteurs et vendeurs bien que discret et vous êtes activement recherché par la police. Upgrade personnalisée: Surchargé. Armé jusqu’au bout des dents avec l’un des prototype aboli de Sandevistan. Deux énormes fusils attaché directement aux cuisses, l’équivalent d’un 9mm sur un avant bras, ainsi qu’une lame de combat rétractable au niveau du poignet.
D-VICE vous fait assez confiance pour mettre en péril les recherches des forces de l’ordre sur l’organisation que vous cherchez à protéger. Brouillage de piste, rapports bidons écrits pour menacer les prisoners, tout est un bon moyen pour que votre emploi soit en sécurité. Peu importe ce qui concerne la véritable justice: la seule chose qui importe c’est ce que ça rapporte. Upgrade personnalisée: Passe Partout. Aucune serrure ne lui résiste, rentrer dans un bureau fermé pour y glisser de faux indices pour incriminer quelqu’un d’autre est devenu simple. Les verrous mécaniques ne nécessitent que quelques secondes en insérant son doigt au niveau de la serrure, les verrous électroniques quant à eux n’opposent aucune résistance. Les seuls systèmes de verrouillage qui s’opposent à lui sont les scanners rétiniens ou à empreinte digitale.
Vous n’avez pas été engagé par D-VICE pour votre pacifisme ou votre bonté de cœur… Non, car c’est vous qui êtes en charge de la surveillance des players et prisoners. Si l’un d’eux cafte, vous n’êtes qu’à un ordre d’envoyer un nettoyeur lui régler son compte. Upgrade personnalisée: Piratage sans limite. Votre puce peut se connecter à n’importe quel serveur informatique sans encombres, passant à travers n’importe quelle barrière de protection, vous permettant entre autre de vous connecter aux caméras de surveillance de Lumopolis.
Apolonia
disponible
Helios
disponible
LUMOPOLIS
2047
Anciennement Las Vegas ▬ Nevada, États-Unis d’Amérique. Les mégacorporations dominent la vie citoyenne et politique tandis que la population goûte les joies des améliorations cybernétiques et autres modifications corporelles. Livrés à vous-mêmes dans la ville de tous les plaisirs, vices et excès vous pouvez ici vivre ; et surtout être tout ce qui vous fait envie !
Bienvenue à Lumopolis, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ou préférez-vous regarder des hordes d’Icares se brûler les ailes ?
Bienvenue à Lumopolis en 2047, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ?
La période est difficile, éreintante. S’il ne ressent pas la douleur, il souffre malgré tout de cette fatigue qui l’étouffe progressivement. De nature à dormir peu, c’est sans compter sur les séances de sport intensives et les heures à poser par tous les temps pour vendre des articles qui ne seront bons qu’à faire rêver les plus pauvres. Son travail n’est que d’attiser la convoitise du petit peuple, de les faire espérer qu’un jour ils pourront s’offrir une de ces pièces somptueuses et… non, ça n’arrivera clairement jamais. Aujourd’hui, c’est jour de repos. Entre un shooting et les essayages pour le prochain défilé de ce couturier en vogue que tout le monde s’arrache, il avait besoin de se vider la tête, de penser à autre chose. De voir ses amis, de s’occuper. Pas de flashes, pas de sourires factices. Il fallait qu’il soit avec des gens qui le connaissent, qui le comprennent et qui ne le jugeront pas s’il finit vautré dans un coin, son verre à la main et la tête en vrac. Discutable comme manière de se détendre vous me direz, mais chacun ses habitudes plus ou moins saines.
Noah a dormi jusqu’à une heure avancée. Le soleil était désormais couché, et pourtant il traînait encore au lit sur son téléphone. Faire défiler sur son écran des images pour lesquelles il n’a pas le moindre intérêt, mettre quelques “like” pour signifier son passage et susciter l’excitation chez quelques fans. Des commentaires bien placés pour ouvrir l’imagination des plus curieux. Puis enfin, son téléphone sonne. Un message, une invitation à rejoindre un ami dans un club. Exactement ce dont il avait besoin. Et pourtant, Noah lâche un profond soupir et lance son téléphone plus loin, avant de laisser sa tête retomber sur l’oreiller. Sa main glisse sur son visage pour finir par se perdre dans ses cheveux brun qu’il ramène en arrière. Ses prunelles sombres scrutent son plafond un bon moment avant qu’enfin, il ne décide à sortir de son cocon. Entièrement nu, car il s’en voudrait de ne pas profiter de la sensation de ses draps en soie sur sa peau.
Direction douche, rapide et efficace. Serviette nouée autour de la taille, une caresse offerte à Ruby en passant avant de se perdre dans son dressing. Trop grand, trop fourni, trop… peu importe. Ça sera un jean noir déchiré aux genoux, une chemise transparente assortie qu’il habille d’un harnais en cuir et une paire de rangers. Un bomber brodé d’un dragon dans le dos pour faire office de veste, cigarettes et portable dans la poche, et le voilà à quitter son appartement. Le chauffeur est déjà en bas de l’immeuble, hors de question qu’il s’embête à conduire. L’adresse est donnée, et le voilà à allumer sa cigarette sans même se dire qu’il pourrait incommoder l’humain qui le supporte pourtant au quotidien. Son regard se perd sur la ville baignée de lumière factice, tous ces humains perdus à courir dans la rue pour un shoot de bonheur éphémère. Ses onyx remarquent un immense écran publicitaire à son effigie sur un building et il n’y aura qu’un léger ricanement qui échappera à ses lèvres pincées.
Enfin, le club. Pas un mot ni un regard pour le chauffeur lorsqu’il s’échappe du véhicule. Un vague signe de la main lorsque le vigile s’écarte pour le laisser rentrer. Habitué des lieux, il n’a que faire de ce qu’on pourrait penser de lui. Il est parfait, rappelons-le. Son regard se perd sur la salle, en direction du salon VIP. Il traverse la salle sans prendre soin d’éviter ces corps brûlants qui s'échauffent sur la piste et attrape un serveur au vol par le bras sans se dire qu’il est sûrement occupé.
“ Je veux deux bouteilles de champagne au salon VIP habituel. ”
Pas un regard, rien. Il se contenta de reprendre sa route jusqu’au dit salon. En vitesse, il retira sa veste qu’il lança sur un fauteuil avant de se glisser dans un dos qu’il connaît bien. Ses bras se nouent autour de sa taille qu’il enserre avec une certaine tendresse, avant que ses lèvres ne frôlent cette peau fragile à l’odeur exquise.
“ Je savais que je te manquais déjà, poison. ”
Il n’aura droit à aucun baiser, mais une légère morsure sera offerte à sa peau avant qu’il ne se décolle pour lui offrir le plus charmeur des sourires. Il avait besoin de se vider la tête, il choisissait la bonne compagnie pour ça.
entre les gens qui s’affairent, entre les souffles qui se perdent, de l’alcool ne fait que prendre plus de place, brume épaisse devant les yeux des pauvres mortels qui se mouvait en un amas de moutiques bruyants et suceur d’extasy, c’est dans ce cadre des plus grossiers que toi, tu y étais à l’aise.
habitué à tout ce bordel, tordu fascination pour ces pauvres gens qui n’étaient que de simple payan, toi, dans ton royaume, tu étais le tyran qui les jetaient aux crocodiles.
mais pas ce soir.
alors que l’envie de torturer quelques pauvres âmes avec tes défis que trottait en tête, ce fut pourtant une toute autre activité qui t’allumait davantage.
petit message rapide et maintenant, tu attendais.
que tu l’attendais.
lui et sa prestance, lui et sa taille de géant, lui et sa manie a toujours demander plus de ta part.
mais pas ce soir. non.
alors, lorsque tu entendis la porte du salon s’ouvrir, ce fut avec un sourire bien trop grand que tu ricanes pour toi-même alors qu’il vient se coller dans son dos. souffle chaud rempli de goût amer et d’épice agressante, tu siffles entre tes dents alors qu’il maltraite ta peau parfaite et c’est en lui attrapant la mâchoire que tu lui fais face pour répondre à son air de sale gosse.
parce qu’il ne pouvait y avoir qu’un seul fléau içi.
— bah écoute, ce n'est pas de ma faute si tu me foutais des regards d'ado vierge de 14 piges durant tout le long du photoshoot. tu sais qu'ils peuvent pas mettre de make up sur ton jean quand tu bande hein ?
que tu lui siffles, un sourire bien trop grand s'étirant sur ton visage alors que tu jeta un coup d'oeil furtif plus bas.
Toujours à grogner, toujours à se plaindre. Au fond de lui, il le sait très bien pourtant : il adore ça. Mais non, Monsieur a besoin de se donner un genre pour se rendre intéressant. Clairement, ce n’est bon qu’à agrandir ce sourire joueur qui trônait déjà sur ses lèvres si parfaites. Penchant légèrement la tête sur le côté en faisant la moue, il gonfle légèrement ses joues comme un enfant qui se serait fait disputer avant de se pencher sur lui pour déposer un frêle baiser sur le bout de son nez. Un peu de douceur pour contraster avec ses mots piquants.
“ Faut dire, c’est difficile à cacher. ”
Un clin d’œil pour ponctuer sa phrase, alors qu’il venait le récupérer dans ses bras. Puisqu’on était à ce genre de provocation, il prendrait ce qu’il avait envie de prendre. Pas besoin de demander puisque c’était ainsi. Noah l’attrapa par son collier pour l’attirer à lui et le fit basculer pour lui offrir un baiser d’une tendresse étonnante. Sa main vint glisser de sa hanche à sa cuisse qu’il frôla du bout des doigts, alors que ses dents attrapèrent cette lèvre qu’il ne se priva pas de torturer en douceur.
“ Tu parles trop pour ne rien dire trésor… t’as de la chance qu’on soit dans un endroit public, je t’aurais fait taire autrement sinon. ”
Un dernier baiser volé avant qu’il ne le redresse sans grande douceur et qu’il le lâche alors que le serveur faisait enfin son entrée dans le salon, les bouteilles joliment présentées dans le seau à champagne. Noah claqua des doigts pour lui faire comprendre qu’il devait se dépêcher et se laissa tomber sur le canapé sans grande élégance, les cuisses écartées. Ses prunelles sombres suivaient ce pauvre serveur, juste ce qu’il faut pour lui mettre un peu plus de pression encore, jusqu’à ce que les verres soient servis. Il releva le nez vers l’un des seuls humains capables de capturer son attention et lui tendit une coupe de champagne sans perdre son sourire.
“ Fait l’effort de boire quelque chose de correct ce soir. J’en ai marre de tes alcools bon marché là. ”
Si Noah avait fait l’effort de se déplacer jusqu’au club pour rejoindre Mercredi, il allait falloir trouver le moyen de le motiver à bouger parce que clairement, ainsi posé sur le canapé, on était loin de l’habituel chasseur qui tente de capturer ses proies. Ce besoin de se donner un genre, de ne pas avoir l’air intéressé. Toujours partagé entre l’envie de se lever, et celle de simplement plaquer Mercredi au canapé pour être son occupation de la soirée.
@ Charlie Reed
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Mer 1 Mar - 22:45
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sweet desire
♫ — don’t be caution, don’t be kind. because i’m your crime.
de par la situation, de par l’ambiance, ce qui t’installait alors que le chat semble avoir enfin prit au piège la sourie dans son piège, toi, tu ne perds pas ton sourire.
alors qu’il t’impose, alors qu’il s’impose, la saveur de ses lèvres taquinant tes papilles insatiable, il t'offre les miettes de ce qu’il finit par t’offrir.
mais tu n’étais pas là pour répondre à ses moindres caprices.
non. tu étais là pour satisfaire les tiens.
et tout put enfin commencé lorsque le serveur disparut de la pièce.
la porte se fermant, la porte étant la seule chose que tes yeux fixèrent, si tu ignores le verre qu’il te tend, c’est vers la sortie de tes pas te mènent, mais tu ne sors pas.
au contraire.
de par le déclic se faisant ensemble, la barrure s'installent pour quelques temps, c’est en ayant maintenant le contrôle de la situation que tout devient des plus jouissif.
car tu n’aimais rien de plus que de pouvoir choisir ce qui arriverait des pauvres âmes que tu prenais au piège dans ton filet. et c’est avec un vif désir de dévorer le plus grand des deux que tu fais maintenant ton chemin jusqu’à lui pour venir te poser à cheval sur ses cuisses.
car il était hors de question de quitter cet endroit. pas maintenant, pas dans une heure, pas avant d’avoir perdu la voix, pas avant que tout le quartier ne soit au courant de vos prises de tête corporelles.
car ils n’y avaient jamais vraiment de douceur entre nous.
pas lorsque deux narcissiques se rencontrent pour ne faire qu’un.
— public ou non, si je n'ai pas envie de boire ton bordel hors de prix, je ne le ferais pas. sauf si tu sais te montrer convainçant. et non, je ne buverais pas ton champagne par le cul, been there, done that.
que tu lui siffles en lui offrant un clin d'oeil avant d'éclater de rire.
Insupportable. Un sale gosse, rien de plus. La porte fermée, il aurait dû s’en douter. Le second verre est reposé sur la table par manque de patience. Cet air agacé qui trône sur son visage, Mercredi à l’habitude de le voir. À chaque fois qu’il ne marche pas dans son sens, le mannequin grogne un peu, surtout pour faire mine de. La contrariété n’est pas quelque chose qui reste très longtemps dans son esprit quand il s’agit de l’autre. Mais ça… n’allez pas le dire trop fort, il risquerait encore de prendre la grosse tête.
Ainsi installé sur ses cuisses, le mannequin le toisait du regard, restant immobile un moment. Ses mots lui arrachèrent un ricanement acide, avant qu’il ne porte son propre verre à ses lèvres. Ah, non, il n’avait pas envie de faire l’effort de lui accorder les caresses qu’il quémandait de manière muette, il préférait siffler son verre pour le moment.
“ Ce n’est pas du champagne que tu rêves d’avoir dans le cul. ”
Levant les yeux au ciel d’un air faussement exagéré, il reprit une gorgée de sa boisson qu’il garda en bouche avant d’attraper l’autre par la mâchoire pour le forcer à baisser la tête vers lui. L’attirant à ses lèvres, il ne se priva pas de lui offrir le liquide réchauffé par ses soins au goût légèrement acide et piquant. Ses doigts glissèrent dans sa nuque pour l’empêcher de reculer, jouant avec ses cheveux distraitement alors qu’il laissait sa langue caresser sa jumelle sans grande gêne. Et de sa main libre, il glissa ses doigts sous son haut pour caresser le creux de ses reins du bout des ongles.
“ Même comme ça, c’est meilleur que les merdes que tu consommes. ”
Enfin, un semblant de sourire revenait se tracer sur ses lèvres. S’il reposa sa coupe vide sur la table, il préféra se laisser retomber contre le dossier du canapé en soupirant. Son regard glissa sur le corps offert à ses mains qu’il gratifia de quelques caresses dans sa grande bonté. Ses doigts jouèrent sur ses cuisses distraitement, alors qu’il perdait sur ce visage qu’il aimait tant contempler. Même si ça aussi, c’était un secret.
“ Pourquoi c’est moi que tu as appelé ce soir ? Tu sais que je sors de shooting, je suis claqué en ce moment. ”
La musique n’était pas aussi forte que s’ils avaient été dans cette fosse pleine de corps en sueur. Noah se pense bien au-dessus de tout ça. Dans ce salon privé dominant toute la boîte de nuit, ils pouvaient bien faire ce qu’ils voulaient, ils étaient invisibles aux yeux des pauvres mortels. À l’exception du vigile, planqué derrière ses écrans vidéos, qui devait bien se faire plaisir dans ce genre de moment. Se laissant bercer par le bruit de fond, il oscillait entre l’envie d’abuser de son corps dans l’immédiat, ou bien juste le garder dans ses bras. La fatigue, il avait appris à la gérer avec le temps. Et il faut dire qu’il ingurgitait assez de substances discutables lorsqu’il était sur les rotules pour tenir le coup quoi qu’il arrive.
Sans réellement lui demander son avis, il lui fit quitter son trône en le faisant basculer sur la banquette, venant le surplomber de son corps. Se calant entre ses cuisses, il vint frôler ses lèvres des siennes, ses doigts se glissant sous son haut pour effleurer son ventre alors que sa main libre, elle, venait attraper ses poignets entre ses doigts pour les plaquer contre le divan au-dessus de sa tête.
“ T’as pas verrouillé la porte pour rien, mh ? ”
Il ne fallait pas être bien futé : ils avaient tous les deux le même fonctionnement.
de par la rapidité de la situation, de par la prise en charge alors que tout se mettait en place pour que l’abus et la chaleur s’installent dans la pièce, c’est en observant son plan se mettre en place que tu es là, assis sur lui avec ton sourire bien trop grand.
car il tombait dans ton piège.
de par l’envie égoisme qui t’avait prit la tête, de par l’impatience de la chose tout en étant sûr qu’il serait le parfait papillon de nuit devant la lumière que tu étais, ce fut avec la plus grande des satisfactions que tu accueillis ses moindres caprices alors, qu’au fond, c’était toi le gagnant.
gagnant de ton siège, siège qui te lance ses remarques, remarques qu'il porte sur tes goûts en alcool se glissant de nouveau dans votre conversation, tu n’en avais par contre rien à foutre et c’est docile que tu ouvres la bouche alors qu’il s’imposa sur la tienne.
liquide pétillant, boisson taquine, tu savoures le goût comme tu savoures le sien alors que ta langue accompagne la sienne et c'est dans ce tableau que la touche finale au tableau apparaît.
de par sa poigne sur tes cheveux, cette obligation dans son geste, ton corps frisonne par l'électricité qu'il te provoque et c'est avec une impatience visible que ton expression change alors que vous vous séparez.
inspirant, expirant, tu ricanes à son agacement et tu ne retiens pas tes mots.
— c'est beaucoup plus drôle de t'avoir dans cet état.
que tu lui réponds en lui faisant un clin d'œil taquin.
parce que tu n'aimais pas les petites douceurs. non. alors ce fut avec une certaine excitation que tu te laisses faire alors qu'il change votre position et c'est sans rien demander que tu t'apprête à mettre tes mains sur lui, mais il t'en empêche.
coincé, retenu, tu peux que réagir à son touché, ton corps frissonnant alors qu'il souligne les détails de votre future débauche.
— tout ceci ne serait pas drôle si ce n'était pas le cas, non ? et puis, y a rien de mieux que de sentir le beat de la musique tout en recevant le tien.
que tu lui siffle en lui adressant un sourire taquin avant que tu approches ta bouche de la sienne pour venir coincé sa lèvre inférieure entre tes dents.
et c'est en frottant son bassin contre le sien que tu lui offres un clin d'œil.
car tu n'étais pas ici pour être sage. de toute façon, tu ne l'as jamais été
Comme c’était à prévoir : il ne s’était pas trompé. L’être tout contre lui le provoque, cherche à le pousser dans ses retranchements. Pour quelle raison ? Il était stupide. Lorsqu’ils se retrouvaient tous les deux, les soirées finissaient souvent de la même manière. Et que cette porte ait été verrouillée ou non, il aurait fini coincé contre le divan de la même manière. Combien de corps ont bien pu s’échauffer sur cette pauvre banquette ? Combien de gémissements ont pu être étouffés par le bruit de cette musique oppressante ? Ah, il ne valait mieux pas y penser pour le moment.
Le mannequin préférait se concentrer sur sa proie. Ses doigts se resserrèrent un peu mieux sur ses poignets, alors qu’enfin il cédait à son caprice. Il vint lui offrir ses lèvres, sa langue venant danser contre sa jumelle pour le provoquer. Son souffle chaud, alcoolisé, se perdait dans cet échange alors que ses hanches répondaient aux siennes. Il venait frotter son bassin au sien sans une once de gêne, lui faisant sentir son envie grandissante, bien trop à l’étroit dans son pantalon devenu de trop. Trop de tissus, pas assez de sensations. Des deux côtés.
“ Tu n’es qu’une vulgaire catin. ”
Pourtant, un sourire amusé se traça sur ses lèvres. Sans lui demander son avis, il le relâcha et se redressa. Attrapant la bouteille dans le seau à champagne, il la porta à ses lèvres et en but quelques gorgées, laissant un fin filet s’écouler le long de son menton, terminant sa course le long de sa gorge. Là, installé à califourchon sur sa proie, il laissa un sourire carnassier se tracer sur ses lèvres. Il l’attrapa par le col pour le redresser, frôlant ses lèvres des siennes.
“ Lèche. Ça serait bête qu’il y aie de la perte…”
Et sans lui accorder plus d’attention, il reporta la bouteille à ses lèvres, souriant contre cette dernière en sentant enfin la langue de l’autre s’activer contre sa gorge. Une sensation à la fois douce et terriblement excitante qui fit naître chez le chasseur un goût de trop peu. Vraiment. Il l’attrapa par la mâchoire pour le forcer à le regarder dans les yeux, laissant son pouce retracer le contour de ses lèvres.
“ Occupe-toi de moi. Et peut-être qu’après je t’accorderais ce que tu réclames. ”
Cette fois, il quitta son trône. Incitant l’autre à s’asseoir correctement pour lui faire face, il détacha de lui-même sa ceinture et baissa la braguette de son pantalon qu’il baissa de juste ce qu’il faut pour dévoiler son sous-vêtement déformé par son désir. Mercredi n’était pas stupide, il savait ce qu’il avait à faire s’il voulait se faire prendre sur ce divan. Sinon, il irait se trouver quelqu’un d’autre pour la nuit.
Ses doigts glissèrent dans ses cheveux comme un encouragement muet, alors qu’il se mordillait la lèvre inférieure en le dévorant du regard. La suite de la soirée dépendait donc de lui, maintenant.