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  1. Nous sommes le 28/12, TIME LIMIT ouvre officiellement ses portes ! Vous pouvez dors et déjà vous inscrire, débuter la création de votre personnage et nous rejoindre sur le discord ! Avec ceci nous vous annonçons que 4 prédéfinis et 3 scénarios sont disponibles, chacun avec leur lot d'avantage, n'hésitez pas à aller y jeter un coup d'oeil !
    28/12/22
  2. Une nouvelle annonce est disponible ! Trois nouveaux scénarios et un prédéfini ont été ajoutés, ainsi que de nouveaux défis et upgrades. Pensez cependant à aller la lire pour pouvoir vos recenser avant le 9 avril en cliquant ici !
    26/03/23
  3. Fermeture temporaire du forum. Plus d'explications ICI !
    26/09/23
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Apolonia
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LUMOPOLIS
2047
Anciennement Las Vegas ▬ Nevada, États-Unis d’Amérique. Les mégacorporations dominent la vie citoyenne et politique tandis que la population goûte les joies des améliorations cybernétiques et autres modifications corporelles. Livrés à vous-mêmes dans la ville de tous les plaisirs, vices et excès vous pouvez ici vivre ; et surtout être tout ce qui vous fait envie !

Bienvenue à Lumopolis, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ou préférez-vous regarder des hordes d’Icares se brûler les ailes ?
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Bienvenue à Lumopolis en 2047, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ?
 
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(end) clean heart & dirty hands • victoria
Léo N. Abberline
Léo N. Abberline
Popularité : 150000
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Onyx : 423
Occupation : vendeur dans un fast-food + dealer
Faceclaim : Ivan Krasny — The Red King ; Andy Biersack
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Léo N. Abberline
Ven 31 Mar - 23:31
@misfit
clean heart & dirty hands
Foutue soirée. Ça faisait un moment qu’ils ne s’étaient pas vus, avaient décidé de se la couler douce le temps d’un soir. Fumer quelques pilons et s’enquérir des nouvelles de ses potes, ça n’a jamais tué personne, Léo le fait de bon cœur, apprécie sincèrement la personnalité de la masse qui conduit à toute allure dans les rues de la ville. Il ne lui reprochera pas ça, a déjà eu l’occasion de concourir contre elle, la gomme n’aura jamais autant fumée sur le bitume que lorsqu’ils se sont affrontés. Ça devait être amical et puis l’ego a peu à peu repris le dessus, chacun pas vraiment convaincu par l’idée de laisser l’autre gagner et s’en vanter pendant des mois.
Ouais, ce sont deux sales gosses avec un appétit pour l’épinéphrine bien trop souligné. La vie ne s’apprécie que si on est en belle compagnie, avec Baal c’est différent il n’y a pas de jugement de valeur, les deux amis n’ont que faire d’une telle perte de temps ; ils savent qu’au besoin, ils peuvent compter sur l’autre, demander de l’aide pour enterrer un corps ne serait pas un problème.

Les rues défilent sous les yeux du brun, elle est venue le chercher avec sa Lexus flambant neuve, n’a pas pris beaucoup de temps pour repartir aussi vite qu’elle était arrivée. Un peu à l’ouest, il ne fait pas attention au chemin qu’elle emprunte, n’a aucune idée d’où elle les mène, s’en moque autant que possible, tant qu’elle lui laisse le loisir de fumer et de vider sa tête.

— T’énerves pas sur la route, y a pas le feu. Dit-il dans un soupir, lassé

Les dernières semaines n’ont pas été les plus arrangeantes pour le Britannique, les émotions se sont bousculées autant que les plans bourbiers, les rencontres imprévues ça commence sincèrement à l’agacer, quand bien même elles se sont toujours bien terminées. Sa sœur est revenue dans sa vie, la rose aussi, trois fois – deux fois de trop – même s’il l’aime bien. C’est bizarre, parce qu’il n’a jamais pris l’habitude de rappeler ses conquêtes, n’avait jamais eu de leurs nouvelles d’une quelconque manière, mais elle avait réussi l’exploit. Toujours avec la hargne du début de conversation, le feu qui est éteint aussitôt qu’il est allumé.
Au départ, ça l’avait fait sourire, un bon moment avec la douce, une nuit d’union qui ne devait pas se reproduire. Pourtant ils ont fauté de nouveau, la faute à l’adrénaline sûrement, la peur de foutre sa vie en l’air en une fraction de seconde ; les barrières ont cédé naturellement, trop naturellement avec elle. La troisième fois, ils n’ont pas fauté, ont même appris à s’apprécier mutuellement en compagnie du rescapé à quatre pattes. Ouais, au final il l’aime bien, c’est bizarre. Son œil inattentif a bloqué sur un élément du décor, aperçoit un rassemblement et surtout la voiture du rouquin. Le brun voit rouge, pour ce qu’il a fait, pour l’avoir mise en danger alors qu’elle n’avait rien avoir avec tout ça.

— Arrête la caisse.

Elle n’est pas à pleine balle, alors il n’attend pas vraiment, ouvre déjà la portière pour sortir de la voiture, les yeux fixés sur Weasley ; la rage au cœur.
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Victoria B. Strutt
Victoria B. Strutt
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Occupation : Majord'homme
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Un paquet de clopes, un paquet de feuilles et de la marijuana
Victoria B. Strutt
Lun 17 Avr - 3:45
@Baal_zebi


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Dirty hands


Dirty hands


Dirty hands





   
Fuck,
Ça faisait longtemps. Qu’on ne s’était pas montées dessus avec tant d’ardeur. Que le simple regard de la rose ne m’a plus transpercée de part en part ; au point que j’en aie presque peur de respirer. Que ses lèvres ne m’avaient pas avidement happés les doigts, frustrées qu’elles sont de ne pouvoir s’attaquer aux miennes. Que nos souffles se mélangent et s’enflamment, alors qu’elle pose un coude contre le mur ; contrainte –comme la bête en rut qu’elle est- à l’obéissance par la main ferme qui la tire par la cravate.

La suite est floue. Trouble. Agitée. Humide. C’est les crocs fermement plantés dans un oreiller, le regard perdu entre le cendrier et le firmament que le joint qui y trône est censé aider à atteindre, que Baal reçoit la notification du coin de l’œil. La rose grogne. Elle oublie toujours de désactiver les alertes non vitales, quand elle se branle. Tu m’diras, c’était pas prévu. Les opales retrouvent leur couleur naturelle, alors que la mécano range la puce mémorielle dans son rangement et colle une gommette violette à côté de son numéro d’identification. Pas qu’elle soit d’un naturel pudique, mais se mettre à tremper le canapé de la maison-close comme si elle voulait les lessiver lui a servi de leçon : Les pastilles mauves, c’est pour le kink. Et le kink, c’est perso.

« -Bon. », murmure la majord’homme en déroulant d’un regard en coin la notification. Baal essuie le filet de salive qui la lie jusqu’alors à un oreiller qui n’avait rien demandé –ou qui kiffe, chacun son kink. Et le kink, c’est ? C’est ? C’est perso, bravooo ! Donc on juge pas !

Bref. Les mirettes bleu glace de la jeune femme s’habillent d’une lueur espiègle –et d’un clignotement violacé- alors qu’elle répond à Léo. Bien sûr, qu’elle est dispo ! Déjà, parce que c’est elle qui est à court de matos. Ensuite, parce qu’il la connaît bien : Qu’il soit dispo ou pas, Baal aura sa came avant la fin de la journée. Et pour finir, comme elle le lui dit via sa puce : « -Quitte à faire du fric, autant que ce soit aux copains ! »

Quand la Lexus s’arrête en bas de chez le dealer –enfin, là où il crèche en ce moment-, Baal pousse un sifflement admiratif. C’est qu’elle a pris cher, la Polo. La rose émet un bref rire gras en voyant la gueule de son propriétaire.
« -J’te demanderai pas si ça va, mais tu sais que je préfère ta p’tite gueule quand tu souris, Bébou ! », se contente une Vicky avec une voix plus grave que ses problèmes d’attachement. Elle est comme ça, avec Léo. Ils savent qu’ils ne se toucheront jamais –no zob in job, dit souvent la rose. «-J’mets plus ma bite dans les folles furieuses », répond à chaque fois Léo. Fair, en même temps. Don’t stick your dick in crazy. Et la bitch est crazy. Checks out.
Bref, l’irlandaise s’amuse avec bonhomie à agir comme la plus insupportable des petites amies démonstratives avec Léo. Son rêve est de voir un jour son attitude lui niquer le plus grand coup de tous les temps. Oh, ouais, Baal a déjà passé l’envie à quelques jolies donzelles de goûter au dealer. Mais c’était parce qu’elle voulait se les taper elle ! Je m’égare…

La jeune femme ricane à la remarque de Léo. Lui lançant un regard torve, Victoria tombe un rapport sans même compter ralentir, juste pour le plaisir de faire rugir le V10 un bon coup avant de repasser la vitesse supérieure.

« -T’es la dernière personne qui a le droit de me dire ça, Abberline. Je fais beaucoup moins de courses que toi, maintenant ! », raille l’armoire à glace avant de s’exécuter. En soit, ils sont pas pressés. Ils vont papoter, trouver un endroit où goûter la came, et elle va lui en acheter de quoi passer le mois. En fumer un quart. Et ils finiront par comparer leurs conquêtes pour savoir qui s’est tapé la plus bonne de ses copines depuis la dernière fois.

Sur ordre du brun, Vi arrête la voiture. Il descend avant même qu’elle ne tire le frein à main, et est surprise de voir l’intention et la concentration avec laquelle Léo descend de la voiture.

« -Bah alors Bae, le rouquin t’as refait le cul et t’as jamais rappelé, c’est ça ? », lance la rose, assise sur la portière chauffeur, les coudes sur le toit de la lexus. C’est en voyant le premier coup de poing partir que le rictus de petite conne se fait un peu plus virulent.

Elle sort complètement de la caisse, bondit par-dessus le capot et lance un grand pied-bouche au pote de poil de carottes qui essayait de choper Léo.

« -Abberline. Tu m’expliques pourquoi t’essaie de péter la gueule à un type monté comme un pinceau de modélisme ? », commence Baal sur le ton de la menace. La bagarre oui, mais prendre les gens en traître, c’est non. Et il est censé la connaître assez pour le savoir.



Banlieue de Lumopolis + Avril 2047 + Baal & Bae




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Léo N. Abberline
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Léo N. Abberline
Mar 25 Avr - 23:35
@misfit
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La soirée aurait pu se passer sans souci, ça devait être une virée en ville, de quoi discuter entre potes autour d’un pilon, comme ils avaient l’habitude de faire. Elle a tenté de lui remonter le moral par quelques blagues, mais ça ne fait pas effet. Le cœur n’y est pas, le brun grince à propos de l’allure que sa collègue prend, ça l’a fait rire, évidemment. Bien sûr elle lui lance qu’elle a probablement le cul plus propre que lui sur ce sujet, pour seule réponse un grincement de dents. Il n’est pas irrité par la réponse de la masse de muscles côté conducteur, non c’est cette tignasse orange qui lui donne envie de mettre le feu. Il n’a tout simplement pas digéré la dernière course, habituellement il aurait laissé courir s’il s’agissait d’un pilote ordinaire prêt à tout pour gagner la course. Weasley n’a rien d’un pilote tout court.
La colère prend le dessus sur l’apathie du Britannique, sans aucune autre forme de tact il ordonne à ce qu’elle arrête la voiture, mais il ne prend pas le temps de l’attendre. Le pied déjà sur le bitume avant même que le véhicule ne s’arrête, fixé sur son objectif, prêt à faire couler le sang. Vengeance. Œil pour œil, dent pour dent comme on dit. Le rouquin a tenté de l’envoyer dans le décor, mis en danger la rose qui n’avait rien avoir là-dedans ; les principes ont la vie dure. Enfin, il ne le fait plus vraiment par principe, avec Toast qui est entré dans l’équation, il a fini par se mettre à l’apprécier. Oui, ils ont fauté une fois de trop, mais ils vont être amenés à se revoir et la discussion a eu du bon. La douce n’est pas toujours un volcan en éruption, même si on peut lui prêter qu’elle est très forte à cela, discuter avec elle devient facile, l’un comme l’autre ne connaît pas de filtres. Malgré tout, il a l’impression d’avoir quelque chose à se faire pardonner.
Léo avance à grands pas vers le roux, lance simplement un doigt d’honneur à Baal par-dessus son épaule, son objectif toujours gravé dans la rétine. Sa cible le repère, mais il ne comprend pas tout de suite, joue le coup de la provocation comme à son habitude, mais ça ne passe plus. Poing fermé, aiguisé par les prothèses, le nez de l’adversaire est réduit en bouillie d’os et d’hémoglobine. Il ne le voit pas, mais un des membres du rassemblement tente d’arrêter le brun, vite arrêté par la fureur rose. Évidemment, elle pense que c’est le bon moment de demander des comptes, mais il n’entend rien, les oreilles bouchées par la haine.

Les battements de cœur vrillent ses tympans, le regard noir pourtant il voit rouge. Les coups pleuvent, son adversaire n’oppose pas beaucoup de résistance, bien trop concentré sur le fait de se tenir le nez et de reprendre sa respiration, mais le brun n’en a pas fini avec lui. Un bruit sourd résonne contre les côtes du rouquin, le souffle coupé alors que le Britannique continue de l’enchaîner. Affalé sur le capot, il n’y a pas grand-chose à faire pour lui, si ce n’est attendre que le déluge passe, mais il n’en est qu’au début.

— T’as perdu la voix Weasley ? Dommage.

Il le relève pour mieux le jeter de nouveau contre le véhicule qui tentait de les envoyer dans le mur quelques jours plus tôt. Le pare-brise explose sous le maigre poids du rouquin. Prêt à continuer à jeter de l’huile sur le feu, le brun se fait arrêter en plein élan, un type qui s’est décidé à porter ses couilles pour sauver son pote. Cent-quatre-vingts degrés et un coude placé dans le menton, tout ce qu’il faut pour l’assommer, lui remettre les idées en place et lui passer l’envie de revenir tenter sa chance. Son adversaire a à peine eu le temps de retomber sur le sol, encore rampant au sol.

— Si je revois ta sale gueule un jour, je termine le travail, c’est clair ?

Un dernier coup part, la tête du roux résonne entre la portière et le tibia du Britannique, les sirènes finissent par s’entendre, les lumières bicolores se rapprocher. Léo soupire, déçu de ne pas pouvoir lui balancer ses quatre vérités et lui donner une leçon sur comme on traite une femme, le temps lui manque malheureusement. La haine n’était pas dirigée seulement par le danger qu’il leur avait fait encourir, mais également la manière dont il a pu traiter la rose, foutu clébard.

— Baal, on se casse !
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Victoria B. Strutt
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Mar 9 Mai - 15:23
@Baal_zebi


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Dirty hands


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Dirty hands




Mais c’est que ça commençait super bien, cette histoire. A peine dix minutes en bagnole, et elle se retrouve déjà à refaire le portrait à des inconnus. Baal se savait chaotique et rapide à la détente. Mais Léo ? C’en est presque flippant, de voir un type qui en a si peu à foutre de tout ce qui lui arrive dans sa vie s’énerver simplement en voyant la gueule d’un mec. Certes, il est roux, mais tout de même !

Chassés par les sirènes de police –toujours en retard, ces cons-, le brun et la rose reprennent la route, accompagnés par la symphonie du V10 atmosphérique. Après un silence un peu trop long au goût de la rose, cette dernière décide de reprendre la parole.

« -Du coup, tu comptes m’expliquer pourquoi t’avais tant besoin de lui refaire le portrait ? », lâche Baal en jetant un regard vers le rétroviseur. Ils ne semblent pas être poursuivis. Elle s’engage sur l’autoroute, puis file vers un de ses spots préférés. Un vieil immeuble désaffecté en bordure de la banlieue est, dont le parking, situé sur le toit, offre une vue imprenable sur Lumopolis et ses lumières éternelles.

Les ronronnements du moteur s’éteignent bientôt, et le rock alternatif poussé à mi-voix par les haut-parleurs peut –enfin !- s’exprimer. Victoria s’allume un joint, tire quelques barres et le tend sans un mot à l’autre. Elle appuie ses mains et son menton sur le volant de la Lexus, ses opales absorbées dans la contemplation de cette écrasante journée de printemps. Il faudrait, d’ailleurs, qu’elle change son liquide de refroidissement. Les jours ne vont devenir que de plus en plus chauds pendant quelques mois.

« -Fume un coup, détends-toi et raconte. Parce que j’peux pas te montrer la bombasse que j’ai soulevée la dernière fois si t’es encore toute chafouine, bébé. »
   



Banlieue de Lumopolis + Avril 2047 + Baal & Bae




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Léo N. Abberline
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Léo N. Abberline
Jeu 18 Mai - 22:11
@misfit
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Sa grosse pute de mère la chienne. Les sirènes retentissent dans les rues, les halos bleus se rapprochent dangereusement de la cohue qui s’est formée. Un goût amer reste néanmoins collé au palais du Britannique, le cerveau capitonné dans une colère noire, il lui a fallu quelques secondes pour se reconnecter à la réalité, se rendre compte de la situation dans laquelle il s’est lui-même mis. Il hurle immédiatement à sa comparse qu’il faut partir au plus vite, en profite pour asséner un dernier coup à son adversaire, broie le visage entre portière et tibia. Il n’oubliera pas cette raclée de sitôt, probablement jamais, selon ce que les médecins arrivent à réparer. Certains des bons copains du rouquin tentent de rapatrier le blessé avant de se faire prendre, mais le brun et sa comparse ont déjà pris la poudre d’escampette.
Il ne faut évidemment pas bien longtemps à la rose pour faire fumer les pneus et creuser l’écart entre les voitures de patrouilles et la Lexus. Elle pourrait faire comme si de rien n’était, ça n’est pas la première fois que l’un d’eux vient jouer des poings en compagnie de l’autre, d’habitude il n’y a pas besoin d’explication, parce que la situation est bien assez expressive, mais aujourd’hui ça n’est pas le cas. Pour lui, c’était mérité, mais pour sa camarade, ça sortait de nulle part, ils auraient pu éviter le conflit, continuer de naviguer entre les rues à la recherche d’un spot sympa, mais la haine a pris le dessus sur la raison. Aucune réponse ne lui vient en tête, aucune qui impliquerait d’autres questions, des remarques de sa collègue qui lui donnerait envie de sauter du véhicule en marche.

— Y a réellement besoin d’une explication ?

Il jette son regard sur les lampadaires qui défilent sur les bords de la voiture, grimace légèrement en sentant la douleur commencer à pointer le bout de son nez. A cogner avec autant de hargne, ses mains ont pris une teinte violacée qui dénote légèrement des traces de sang de son adversaire. Elle l’emmène jusqu’à un endroit qu’ils connaissent bien, un parking qu’ils ont visité en long, en large et en travers. Le brun ne sait pas vraiment ce qui a toujours fasciné sa camarade dans la vue de Lumopolis depuis cet endroit ; la seule chose qu’il imagine devant ce tableau: un feu qu’il rêve d’allumer.
L’odeur du THC vient titiller ses narines, autant que Victoria qui n’a définitivement pas perdu l’idée de lui faire cracher le morceau. Il récupère le bâton qu’elle lui tend, le porte à ses lèvres, prend une longue bouffée de fumée, la recrache et en avale une seconde. Elle va dire qu’il ne devrait pas s’attarder pour la moindre meuf avec qui le courant passe bien, parce que dans tous les cas, ça ne mènera jamais à rien de plus. Il le sait. Ça l’enrage.

— Y a quelques semaines il a enfoncé ma caisse. J’avais une passagère clandestine, le genre qui est pas vraiment à sa place aux courses.

Il lève les yeux au ciel, rend le joint à la conductrice, ses doigts s’acharnent à garder une contenance, alors qu’elles sont encore prises de légers tremblements. Non, la rose n’avait rien à foutre à cette course, non elle n’aurait jamais dû être en danger. Il a beau retourner la chose dans tous les sens, même si Weasley est un fils de pute par excellence, c’est pourtant Léo qui a lancé les hostilités. Rien de tout ça ne serait arrivé s’il n’avait pas allumé un feu dont les conséquences étaient courus d’avance.

— Le truc, c’est que j’ai ouvert le bal aux insultes, plutôt que de répondre, il a préféré jouer le lourdaud qui peut avoir tout ce qu’il veut, parce qu’il a des thunes. Dans la finalité, on a réussi à gagner la partie, mais il voulait notre peau. L’ambre finit par rejoindre les deux billes de sa camarade. Fallait bien que quelqu’un lui explique comment ça fonctionne, non ?
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Victoria B. Strutt
Mer 14 Juin - 1:57
@Baal_zebi


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Dirty hands


Dirty hands





Le brit’ est réfracaire. Comme toujours, en fait. C’est fou comme ce p’tit con n’aime pas parler de lui. Baal ne daigne pas répondre, laissant le silence signifier à Léo que oui, ya besoin d’une explication. Le crissement de la pierre qui n’amasse pas mousse. Le discret et étouffé souffle de la flamme qui jaillit. Le crépitement du papier qui s’allume. Le murmure des têtes qui prennent feu. Dans une symphonie de sons et d’odeurs, les deux s’enfoncent, loin dans leurs fauteuils ; loin des soucis de la vie, loin du temps.

« -Ca m’emmène loin d’ici et toute sa crasse », avais-je dit à Baal alors qu’elle semblait juger ma prise d’ecstasy. Elle qui n’en prend, d’habitude, que pour faire la fête et baiser des heures durant ; n’a pas l’air de comprendre mon besoin de sortir. D’ici. De ma vie. De ma propre tête.

Elle chasse les souvenirs d’autrui en reprenant le joint en main, prête à écouter le récit du brun. C’était… Ces sensations, ce sont celles de Mikasa. Elles commencent à s’immiscer dans son esprit même sans se fourrer les puces mémorielles dans la nuque. Baal ricane légèrement, en entendant que Léo a ouvert les hostilités. « -Toi ? Commencer une embrouille ?! Jamais ! » une lueur espiègle pétillant au coin des opales, la rose met devant sa bouche une main faussement offusquée. « -Continue, je t’en prie ! », reprend-elle. ‘Faudrait pas le vexer.
Après, il se braque.

Plusieurs choses clochent dans l’histoire du brun. Déjà, une passagère clandestine ? Depuis quand il embarque des gens en passager quand il fait la course ? C’est pas un rallye, ‘la pas besoin d’un copilote. Ensuite, l’a sûrement eu affaire à deux-trois couillons dans son genre, nan ? C’est censé se régler sur la piste, ce genre de différents. Une fumée opaque emplit l’habitacle, comme pour donner substance au long soupir poussé par la rose.

« -Déjà, t’es con. » elle lui passe le joint. « -Ensuite, j’espère que tu l’as baisée la donzelle, parce qu’une réputation de sanguin sur et en dehors des circuits, c’est le meilleur moyen de ne plus se faire proposer de courses. » L’ancienne mécano lance un regard résigné au britannique.

« -Et donc c’est simplement pour ça que tu as décidé de lui exploser tous les os du visage ? T’es amoureux de la donzelle, ou quoi ? »


Banlieue de Lumopolis + Avril 2047 + Baal & Bae




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Léo N. Abberline
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Léo N. Abberline
Ven 16 Juin - 16:38
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Il y a bien des choses que les deux brutes se sont dites depuis qu’ils se connaissent, bien qu’ils n’aient pas forcément abordé les parties les plus importantes. Victoria est au courant de tous les vices du Britannique, de tous les maux qui l’ont accompagné durant son enfance, mais ils n’ont pas la même vision du monde. Étonnement, des deux c’est probablement elle qui gère le mieux son impulsivité, même si on est tenté de croire l’inverse quand on vient discuter avec elle, alors forcément quand elle entend l’histoire, elle se moque de lui. Personne n’est étonné de savoir qu’il a lancé les hostilités, parce que son arrogance naturelle ne saurait se cacher sous de jolis mots, tout en lui transpire la colère et l’insolence ; parce qu’elle l’a déjà vu en action à bien des reprises.
Le joint passe d’une main à l’autre, la discussion continue, il extériorise enfin la raison pour laquelle il a vu rouge quand il a vu la crinière rousse, ouais forcément ça fait chier pour la caisse, mais ce qui l’a foutu en rage, c’est d’avoir mis une innocente dans le sillage de son bordel. Réparer ses erreurs, apprendre une leçon, à lui-même comme à l’autre connard, c’est comme ça qu’il faut faire selon lui, qu’importe la bien-pensance ; faut bien commencer quelque part, il paraît.

La fumée ne met pas longtemps à envahir l’habitacle, à faire écho au flou dans lequel le brun se trouve lui-même confronté. Sa collègue l’insulte, lui rend le joint et reprend son discours de coureuse de jupons sans oublier de lui balancer une leçon de morale à la con. Il est bien conscient des risques que cela implique, que sa réputation va en prendre un coup, qu’on aura un peu moins de facilité à le ramener aux courses et par extension à gagner sa croute. Pourtant il s’en moque, perdre quelques billets faciles ça vaut toujours mieux pour lui que d’apercevoir le visage de son échec, des valeurs qu’il a promis à sa mère de protéger envers et contre tout.

— Je suis un grand garçon, t’en fais pas pour moi.

Elle n’est peut-être pas fière d’où elle est, mais elle ne pourra jamais lui reprocher d’avoir mal été éduqué par rapport au comportement à adopter avec les femmes, le roux ne peut pas en dire autant. Fallait lui remettre les idées en place, lui rappeler sa place et l’y faire rester jusqu’à ce que les coups enfoncent définitivement les derniers neurones qu’il lui reste.
Faut dire que les mecs dans son genre, ceux nés avec une cuillère en argent dans la bouche, ceux qui n’ont jamais été obligés de se saigner les mains et qui pensent que tout leur est dû, ça a le don de le mettre hors de lui. Alors en sa présence, en permanence il faisait mine de l’ignorer, de tempérer le démon en lui, mais quand il a vu la rose avec lui, il a senti que quelque chose n’allait pas et a décidé de mettre les pieds dans le plat. Sa comparse se moque de lui, imagine que la seule raison qui aurait pu pousser le brun à se déchaîner sur son adversaire pouvait avoir rapport à de l’amour mal placé, c’est bien mal le connaître. Un coup sans animosité part dans l’épaule de son amie pour ranger les pensées absurdes qu’y peuvent traverser son esprit.

— Ta gueule, tu sais aussi bien que moi que ça risque pas. Il souffle la fumée dans la voiture pour remplir un peu plus l’aquarium dans lequel ils se sont cloitrés pour discuter. Mais puisque tu veux tout savoir, ouais on a baisé, même si c’était pas le plan initial.

Sa main libre se tord nerveusement, ne cesse pas de se couvrir un peu plus de rouge, à force de frapper il n’a pas fait couler que le sang de son ennemi, le sien s’y est mêlé à chaque impact. Il n’a aucune idée de s’il reverra le visage qu’il a creusé avec ses poings, mais espère que le message sera passé ; une fois on lui passera, deux fois et il sera éjecté pour sûr de n’importe quel circuit avant que sa Golf ne fasse le tour du pâté de maisons.

— C’est pas comme si ce clébard méritait la moindre sympathie de toute manière. Nouvel échange de main à main. Ça aboie pendant dix piges et ça sait pas encaisser quand on lui montre réellement les crocs. Tu passes ta vie à jouer le garde du corps pour éviter que des mecs dans son genre n’emmerdent les meufs, tu devrais pouvoir comprendre ça.
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Victoria B. Strutt
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Victoria B. Strutt
Mar 20 Juin - 22:23
@Baal_zebi


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 Un grognement satisfait secoue les cordes vocales de Baal, l’habitacle de Grace et les volutes de fumée quand le brit admet avoir nourri le hérisson de la belle. Comme si c’était un mystère. Tous les mêmes : quand il y a un joli minois et un bon ptit cul, ils deviennent bêtes. Victoria elle-même n’échappe pas à la règle, d’ailleurs. Elle s’est fait sortir de boîte pour une jolie donzelle et son amie emmerdée. Enfin, c’est ce qu’elle se dit. La vérité est simplement que la rose était en manque de bagarre.
Nouveau rire, lorsque Léo peste contre les caniches. Ces gens qui aboient, insultent et font monter la pression sans jamais assumer ni mettre à exécution leurs menaces. Elle hausse simplement les épaules.
« -Ouais, et ? Les p’tites frappes, yen a plein. Il faut savoir les faire détaler sans les tabasser, sinon tu fais que ça de tes journées. »

La rose envoie son coude dans les côtes du pilote, n’ayant pas l’intention de le laisser s’en tirer si facilement.
« -Mais sinon, beau brun… Dis-m’en plus sur cette petite poulette ! A quoi elle ressemble, déjà ? Et comment tu t’es retrouvé à faire une course avec elle dans ta caisse ? »

Parce que quand t’es dans une lexus LFA, que t’as un V10 devant toi et un pet’ à la main, ya pas à chier, faut parler cul. Et Léo va pas y échapper.



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Léo N. Abberline
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Léo N. Abberline
Sam 1 Juil - 20:14
@misfit
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Le duo ne cesse pas de noircir leurs poumons et d'enfumer le véhicule, le temps de discuter, de mettre les choses à plat, de s'expliquer sur les raisons qui ont poussé le brun à broyer le visage de Weasley. D'habitude, il n'a pas besoin de donner des détails, entre sanguins on se comprend, elle n'est pas bien placée pour lui faire des leçons de morale, bien au contraire. Elle tente bien de lui donner un conseil, de lui faire passer l’envie de casser les dents de devants de n’importe quel clébard qui veut un peu trop jouer avec le feu, mais elle devrait savoir depuis le temps que ça n’est pas vraiment la question. Non, évidemment le Britannique n’a pas la moindre envie de passer sa vie à ça, ce soir c’était particulier, parce que c’était lui qui avait lancé les hostilités, parce que ça avait mis en danger quelqu’un qu’il a appris à apprécier, malgré tout.
Parce que ouais, elle a beau avoir son caractère, ne pas être capable de se taire, péter une durite tous les quarts d’heure, malgré tout ça, elle est sympa, elle a de la conversation et surtout elle est pleine de surprise. Alors oui, forcément ça lui fait bizarre de se dire qu’après la convalescence du chien, ils seront amenés à se voir plus souvent, parce que leur relation a démarré sur les chapeaux de roue, qu’ils ne savent pas faire sans se lancer des piques visant à faire céder l’autre, mais ils ont l’air d’être sur la même longueur d’onde. Ça serait une bêtise de recommencer, ça l’était déjà la seconde fois et ça ne serait qu’apporter des problèmes en plus dont ils ne veulent pas ni l’un ni l’autre. Pourtant il ne peut pas dire que son regard sur elle n’est pas différent de leur première rencontre, la première fois c’était purement physique, mais elle a su être là pour parler, pour le soigner, alors qu’elle avait probablement d’autres choses à faire. Il a commencé à l’apprécier et voir celui qui l’a mis en danger, ça l’a mis hors de lui, parce qu’il s’est dit que quelque part, ça aurait été sa faute s’il n’avait pas pu se rapprocher d’elle, que Toast n’aurait peut-être pas pu être sauvé à temps sinon.

Le Britannique grogne doucement lorsqu’il reçoit un petit coup dans les côtes, quand Baal lui demande plus d’infos sur la jeune femme. En temps normal, ça ne l’aurait pas dérangé d’en parler, mais aujourd’hui, c’est différent, parce qu’ils sont amenés à se revoir, pas pour reproduire les idées saugrenues qui peuvent venir en tête à l’armoire à glace à côté de lui et si elle est au courant, elle ne va pas le lâcher. Elle va lui dire que c’est une idée de merde, il le sait, ça l’énerve, mais il ne peut pas en plus se permettre de bouffer leçon sur leçon pour lui rappeler ce qu’il sait déjà. Alors il cache un peu son jeu, décide qu’il n’est pas forcément une bonne idée de lui dévoiler réellement à quoi elle ressemble, parce qu’avec le nombre de personnes que sa comparse a accumulé dans son lit et le fait que la rose ne passe pas inaperçue, il imagine sans mal que sa collègue fera le lien un jour.

— Imagine la fusion d’Arès et Aphrodite et tu te rapprocheras de l’idée. Il sourit bêtement par rapport à sa propre vanne, parce que ça n’est pas si loin de la vérité. Je t’ai dit, j’ai ouvert les hostilités avec l’autre connard, elle était avec lui à la base, mais il l’a mal pris, a pensé qu’il pouvait se servir d’elle comme il en avait envie. Alors elle l’a envoyé chier, sauf qu’elle avait pas meilleur endroit que ma caisse pour se réfugier et c’était à charge de revanche.

Un long soupir sort des lèvres du brun, guide la fumée un peu plus vers le pare-brise, espère y voir un peu plus clair lui-même. Parce que c’est pas complètement faux, mais si elle est montée, c’est aussi parce qu’il lui a déjà prouvé qu’il n’était pas un mauvais bougre, qu’elle serait en sécurité dedans ; pourtant ce soir-là, il a failli lui prouver le contraire quand la Golf s’est fait percuter.

— Ceci dit, t’as l’air d’avoir des histoires plus intéressantes que moi à raconter, donc elle ressemble à quoi, la bombasse dont tu t’es occupée ?
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Mar 4 Juil - 22:56
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Un rire gras secoue les épaules de la rose. Bizarrement, elle se fait une idée très claire du genre de femme dont Léo parle. Leur énorme Jean-Louis arrivant à sa fin, Baal commence à en rouler un deuxième, alors qu’elle ouvre la fenêtre conductrice de la voiture. Un peu d’air ne fera pas de mal. Et puis, puisque le brun veut soir la sublime créature que Baal a amenée dans son lit la dernière fois –principalement pour arrêter de ressasser ses conneries, mais tout de même- ; Victoria ne peut que s’exécuter. Et ma fumée sera un obstacle non négligeable à l’observation de son fantastique boulard. Elle termine son joint d’un coup de langue expert, laissant sa lippe s’étirer en un sourire équivoque. L’irlandaise lance au britannique un regard entendu, alors qu’elle tasse le bâton d’herbe magique.

« -Je veux bien te la montrer, mais tu me promets de pas tomber amoureux, hein ? », lance une Baal –presque- innocente.

L’idiote dégaine le compte de photos de charme de sa conquête. Les courbes du muffin s’étirent le long de l’écran, alors qu’elle ne peut réprimer un rictus lascif en repensant à la fermeté de la peau sous ses mains. Les râles de la belle sous ses baisers. L’ardeur de ses lèvres, alors qu’elle refuse ses baisers.

« -Mate. Moi. Ça. », souffle la brute. « -Je l’ai croisée en soirée, et on a discuté. On a fini par péter la gueule à un lourdeau, et c’était marrant. C’est une vraie furie au lit, un délice ! », finit la femme de main.

Elle fait défiler les  clichés, rapprochant le terminal de Léo pour qu’il puisse bien apprécier la beauté de la prise. « -Regarde-moi ça, sans déconner ! J’ai eu l’impression de bouffer la chatte à une statue grecque ! », pousse Baal entre deux lattes, avec un sourire plein d’entrain. Elle ne cache absolument pas sa fierté, ni son envie de voir le brun baver de jalousie devant une si belle créature.
   



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Léo N. Abberline
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Mar 11 Juil - 22:40
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L’avantage avec Baal, c’est qu’il ne faut pas grand-chose pour capter son attention et lui faire oublier ce sur quoi elle était quelques secondes plus tôt. Alors forcément, le brun en profite à sa guise, glisse en quelques mots à l’oreille de sa camarade, qu’il serait grand temps qu’elle lui montre le canon de beauté qu’elle a réussi à choper quelques jours plus tôt. À vrai dire, le Britannique n’est pas forcément fan dont son amie traite ses partenaires éphémères comme des trophées de chasse, comme s’ils n’avaient jamais été voués à la discussion, mais simplement au plaisir de la chair. Au moins, ça aura eu le mérite de rendre les questions de la jeune femme bien moins déplaisante qu’au tout début ; parce que le brun ne souhaite pas trop en révéler pour aujourd’hui, ça va faire mal quand ça sera le cas.

— Ça risque pas, encore moins d’une simple photo.

Qu’elle le remarque ou non, il s’en moque pas mal, c’était juste un peu de répit dont il avait besoin, pas de cacher à vie ce qui est en train de se dérouler, elle vous dira qu’elle n’attend que le moment où il fera la connerie pour lui en parler, lui qu’il s’en moque, mais ça serait mentir. L’ironie pourrait s’arrêter là, avec le second joint préparé par Baal, en ayant clos la discussion à propos de ce type qu’il vient de froisser, de pourquoi il l’a fait pour la rose, mais ça serait trop simple. Alors quand elle dégaine le téléphone pour lui montrer quelques images de la même fleur dont il parlait plus tôt, celles-là mêmes où les vêtements ne sont pas légions, un délice pour les yeux auquel il ne s’attendait pas. La situation est lunaire, qui aurait pu prévoir que le mannequin dont s’est entichée pour un soir l’armoire à glace n’est personne d’autre que la jeune femme avec qui il a fini par sympathiser autour de quelques points de suture.
Il manque de s’étouffer sur le joint en voyant des courbes qu’il a déjà touchées, les tatouages qui ne trompent personne, seuls les cris de plaisir manquent à l’appel. Forcément, la douche est glaciale, même s’il s’efforce de ne rien montrer, ses épaules se crispent légèrement, sa mâchoire un peu plus, lorsqu’il lui demande son nom. Il est impossible que cela soit une coïncidence, mais il ne veut pas le croire, parce qu’avec trois apparitions dans sa vie, sans aucune logique, ça serait la cerise sur le gâteau ; un gâteau bien amer.

L’histoire de leur rencontre ne l’étonne pas plus, parce qu’il a l’impression de voir recommencer la sienne, ce soir où il a décidé de faire le bon choix plutôt que de prendre la poudre d’escampette et de la laisser se débrouiller par elle-même. Alors oui, elle vous dira qu’elle aurait été capable de gérer les quatre golios toute seule et il n’en doute pas, mais ça avait été plus fort que lui, même principe pour Weasley, même si les poings ont été guidés avec plus de rancœur encore. Évidemment, sa comparse à la crinière rose ne délaisse pas sa motivation, bien trop excitée à l’idée de lui présenter sous toutes ses coutures sa dernière conquête. Il n’y a pas une seule fois où il n’a pas eu l’impression d’apprendre un peu plus de choses sur elle, assez pour qu’il ne soit plus étonné par ses nouvelles découvertes ; ça lui donne au moins une meilleure idée de l’utilité que la jeune femme trouvait à tout l’équipement vidéo qui traine chez elle. Bien trop heureuse de dévoiler le contenu payant de celle qu’elle a fait crier, elle met presque l’écran dans le visage, que le Britannique s’empresse de décaler avec sa main.

— Tu viendras me parler de tomber amoureux, alors que t’as été jusqu’à payer pour voir son cul en 4k sur ton tel.

Enfin vient la comparaison divine et il faut avouer que la brute n’a pas tort avec celle-ci, de ce que pouvait se souvenir le brun, il n’a fallu que très peu de temps à l’intérieur des cuisses de la rose pour comprendre qu’elle n’a pas son pareil. Finalement, il se dit que ça n’est pas si éloigné de ce qu’il disait par rapport à la déesse de l’amour et celui de la guerre, qu’un corps aussi gracieux ne pouvait appartenir qu’à l’Olympe.

— Je comprends l’idée, ouais.

Il fait mine de ne pas réellement savoir de quoi il s’agit, quand bien même le goût de la statue n’a pas mis longtemps avant de satisfaire les papilles du jeune homme. Il ne sait pas trop ce que le caractère de la jeune femme pourrait donner au lit, puisqu’elle a passé plus de temps à être la receveuse qu’autre chose, mais une chose est certaine: elle se débrouille très bien là-dedans et bien heureux est celui qui aura le droit à du rab.
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Victoria B. Strutt
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Jeu 27 Juil - 1:18
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Le britannique voit la photo. Puis s’étrangle. Baal réprime un rire entendu, et adresse au brun un sourire dont elle a le secret.

« -Ouaip. Je sais même pas comment j’ai chopé une créature si délicieuse ! », lâche une ancienne mécano bien trop fière d’elle. Victoria rit à sa remarque : simplement parce qu’on a souscrit à un service de clichés et de vidéo de charme, on est amoureux ? La rose ricane.

« -Je croise assez de travailleurs du sexe pour savoir qu’admirer des beaux culs et payer pour est loin d’être amoureuse. Surtout quand on finit par y goûter ! Je la suivais déjà depuis quelques temps, et il s’avère qu’on a accroché en soirée ! » , continue l’irlandaise.

Rien ne pourra, décidément, mettre fin aux fanfaronnades de la femme de main. Et quel humain doté d’yeux fonctionnels pourrait la blâmer ? Nouvelle –graaaaande- bouffée de cannabis. Si elle ne le dira jamais, la jeune femme est heureuse d’avoir réussi à détendre une des légendaires colères du brun. Car s’il y a bien un putain de cliché britannique que Léo remplit, c’est celui d’être sanguin, par moments. C’est un miracle qu’il n’ait pas l’alcool mauvais.
Malheureusement pour le dealer, sa cliente n’est pas du genre à laisser partir un poisson qu’elle a ferré. Alors, Baal revient à la charge.

« -Par contre, tu m’as toujours pas montré la jolie fleur qui t’as fait perdre les pédales ! », renvoie une rose bien trop heureuse pour ne pas être chiante, « -Quelle est donc la créature qui t’as poussé à la faute, Abberline ? »

La cadette Strutt se penche vers le brun pour lui déposer quelques mots sonnant comme des menaces à l’oreille. « -Je ne te lâcherai pas avant d’avoir toutes les informations. »
   



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Léo N. Abberline
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Jeu 27 Juil - 16:50
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Elle lui répond avec toujours beaucoup trop d’enthousiasme, parce qu’il ne s’attendait pas à voir la rose apparaître sur l’écran du téléphone, très rarement vêtue sur la plupart des images qui ont défilé sous son ambre. Tout tourne autour d’elle depuis quelques semaines, alors évidemment, les questions s’amassent. Sa comparse le rembarre quant à sa remarque à propos d’être amoureux ou non, elle marque un point, même s’il a plus balancé ça histoire de se sortir d’affaire sans devoir s’expliquer. L’Irlandaise n’a pas son pareil lorsqu’il s’agit d’avoir une idée derrière la tête, source de nombreux ennuis partagés avec le brun ; ce soir c’est lui qui passe sous son joug.

— Ok, je t’accorde le point sur celle-là.

Les dents du brun se serrent lorsqu’il l’entend dire qu’elle attend toujours après lui, heureusement pour lui, il est toujours le seul à savoir qu’il a une photo de la douce ; c’est déjà ça d’avance pour perdre son interlocuteur. Les menaces ne font pas long feu avant de pleuvoir sur lui, alors qu’elle se rapproche pour prévenir d’à quel point elle est sérieuse et n’a pas l’intention de lâcher l’affaire de sitôt. Un long soupir résonne dans l’habitacle, de savoir si oui ou non ça serait une bonne idée de lui dire la vérité.
Ce n’est pas de la jalousie, il imagine sans mal que l’armoire à glace a dû par le passé être occupée avec les mêmes personnes que lui, non ce qui le dérange le plus c’est l’impression du destin qui semble ramener la même personne encore et toujours devant ses yeux. Il en garde de bons souvenirs, de ces moments qu’ils ont passés ensemble, à discuter ou non ; et bon sang ce qu’il a fini par en apprendre sur elle, il ne s’attendait à rien, mais le courant a fini par passé.

— Tu la connais déjà.

La frustration se dessine facilement sur le visage du brun, il désigne du menton l’écran du téléphone pour confirmer l’allusion qu’il vient de faire. Ouais, la rose est passée entre ses doigts par deux fois déjà, pourtant elle ne semble pas vouloir cesser de gâter les yeux du Britannique. Il récupère le joint dans la main de sa collègue, tire une longue latte dessus.

— Je t’ai dit, je comprends l’idée.

La bombe est lancée, mais il ne veut pas expérimenter les conséquences que cette nouvelle va provoquer sur son amie, alors il préfère mettre le holà en avance.

— Je veux aucune remarque, je te connais, tu vas pas pouvoir t’empêcher de me le rabâcher. Ne le fais pas.

Il imagine que sa menace ne vaudra rien aux yeux de la lionne, mais il aura au moins le droit de s’exécuter, maintenant qu’il a prévenu. Ce n’est pas tant le fait qu’elle soit au courant qui l’emmerde, c’est ce qu’elle va en faire, parce qu’elle est le genre à attendre patiemment d’avoir épuisé la bête pour l’abattre et ne dérive jamais de sa proie. Autant jeter les armes avant que le combat ne devienne trop musclé avec elle, mais il n’hésitera pas à lui rappeler ce qu’il vient de dire.
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Mar 8 Aoû - 16:03
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Le visage de Baal s’illumine, au fur et à mesure que les informations lui sont lâchées. Chaque nouveau détail éclot dans son esprit comme la corolle d’une bombe fraîchement larguée en terrain hostile. Elle la connaît déjà, hmm ?? L’opale pétillante, le sourire d’une oreille à l’autre, les crocs découverts. C’est une Vicky qui s’amuse, qui présente maintenant au brun de quoi rouler une énième tige de psychotropes cancérigènes.

« -Ohohoooo ? », pousse une irlandaise retombée dans les intonations de son japonais maternel. Puis, elle comprend. Les gens qui passent de l’irish au briton ne sont pas légion. Faut dire qu’il a un don pour aimer les sales caractères qu’elle ne partage que partiellement.
La rose a déjà une sacrée bitch dans sa vie, et ça lui suffit amplement. Ca n’empêche pas Baal de montrer sa surprise. « -Eh ? Maji ? », laisse-t-elle échapper en japonais, avant de se reprendre. « -Attends, bae. T’es en train de me dire que ta petite princesse, c’est le muffin rose ?! » Et elle rit.

Elle éclate d’un fou-rire sonore, entre fierté et étonnement. Quelles étaient les chances, bordel ? Incapable de se raisonner, la femme de main n’écoute même pas la mise en garde de Léo. Pas qu’elle en aurait pris compte, m’enfin c’est tout de même malpoli. Mais il lui est impossible de s’arrêter.
Ce n’est qu’au bout d’une belle minute d’un fou-rire incontrôlable que Victoria se reprend. Et en profite pour immédiatement ébouriffer la tignasse du britannique.
« -Bien joué, p’tit brit ! Je te pensais pas être un tel sexeur ! », rugit la rose entre deux sifflets admiratifs.

« -Et alors ? L’intérieur est aussi cozy qu’il en a l’air ? Parce que le goût est raccord, je peux t’le dire ! »

S’il croyait s’en sortir sans encombre, tout espoir peut désormais fuir l’esprit du brun. Baal passe son bras autour des épaules de Léo et lui ôte le joint des mains sans la moindre honte.

« -Allez, raconte, va ! Elle suce bien, la petite ? »

RIP in pepperoni, comme on dit.
   



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Mer 9 Aoû - 18:49
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Parfois le brun imagine un monde dans lequel il ne ferait pas constamment les mauvais choix. Il aurait dû fermer sa bouche avant de lancer cette information, parce que la moitié est à peine dévoilée qu’elle est presque déjà en train de sauter d’excitation dans la voiture pour avoir tous les détails. Elle en parle beaucoup, lui préfère garder ça pour lui, n’a jamais souhaité faire l’étalage de ses conquêtes parce que cela donne des allures de tableau de chasse ; rare sens de l’intimité qu’il a développé avec le temps. S’il n’y avait que ça, ça ne poserait pas de problème, mais le souvenir de la rose lui donne un goût amer maintenant que l’Irlandaise est au courant et se régale d’avance de ce qu’elle va pouvoir en faire.
Alors forcément, quand elle commence à laisser échapper de petites réflexions sur la douce, ça l’irrite ; et il ne manque pas d’envie de lui faire ravaler son rire. Les dents se resserrent, bien que jamais vraiment relâchées depuis qu’il est descendu de la voiture plus tôt dans la soirée. Il n’a pas envie de rentrer en conflit parce que ça lui donnerait raison, alors il se concentre sur sa tâche, roule un cône, termine son travail quelques secondes à peine avant qu’elle ne se décide à écraser sa main dans la crinière du Britannique. Évidemment elle ne prend pas la menace qu’il a lancée quand il usait ses doigts sur le papier à rouler, la frustration gronde quand elle lui demande comment s’est déroulé leur ébat.

— Ferme-là Baal. Ça n’amuse que toi.

À peine allumé le joint est subtilisé par sa comparse, qui n’oublie pas d’en rajouter une couche, celle de trop, celle qui lui fait ouvrir la portière après lui avoir envoyé sans ménagement son matériel. La colère le ronge, de savoir que malgré toutes les personnes dont Baal s’occupe sont concernées, mais qu’elle parle encore de ça comme d’un putain de bout de viande. Il a toujours aimé le contact humain, faire sentir l’autre compris et complet le temps d’un soir, qu’ils parlent ou non ; un instant unique, un souvenir qui éclaire un peu la pénombre de l’esprit. Et bon sang ce qu’il a fini par apprécier parler avec elle, bien plus que ce qu’il aurait imaginé, parce que toutes leurs aventures n’étaient au départ vouées qu’à l’échec.

— Profite de ta cons’. Pas le temps de continuer à déblatérer sur ce genre de conneries. J’ai une affaire dans le coin, tu m’enverras un message quand t’auras terminé d’assimiler l’information.

Il ne prend pas soin de mettre plus les formes que ça avec elle, parce qu’il avait prévenu que ça risquait de tendre ses nerfs si elle s’amusait à continuer de se moquer de lui ; fallait écouter. Aucune voiture n’a été repérée dans le coin, le fight club n’est pas la porte d’à côté, non rien n’attire réellement son attention, il s’agissait simplement d’une manière de quitter les lieux et les pics de sa comparse sans qu’elle ne se fasse plus de film, qu’elle ne tente pas de le récupérer dans sa voiture.
Le brun ne prend pas la peine de dire quoi que ce soit de plus, sort un stick de sa veste avant de l’allumer, une main dans la poche, la seconde occupée à tenir le joint, prêt à faire le trajet jusqu’à chez lui, quand bien même il n’a aucune idée du temps que ça lui prendra. À force d’échapper aux autorités, encore gamin il savait courir, peu importe le temps que prendra le trajet, tant qu’il arrive à destination.
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Victoria B. Strutt
Victoria B. Strutt
Popularité : 2000
Gif : (end) clean heart & dirty hands • victoria Vi-vi-wink
Onyx : 142
Occupation : Majord'homme
Faceclaim : Vi - Arcane// Demi Bennett
Pronoms : Unrelevant
Trigger Warning : Pour vous: Violence, self harm, dépression, sexe
Double Compte : Magnus Werner
Upgrades & Inventaire : Prothèses de combat parce que bagarre tu coco
Lecteur de puces

Lexus LFA 2011 Edition Nürburgring
Bo escamotable
Pistolet calibre .45
Un paquet de clopes, un paquet de feuilles et de la marijuana
Victoria B. Strutt
Jeu 10 Aoû - 1:25
@Baal_zebi


Someone should stop him, right ? I sure as fuck won’t



Dirty hands


Dirty hands


Dirty hands




Léo la connaît bien. Alors, d’emblée, il la met en garde : Il n’est pas d’humeur pour entendre ses habituelles pitreries et autres railleries basses du front. S’agace, quand sans même faire semblant d’y prêter attention, elle saute à pieds joints dans le plat pour l’enchaîner d’un elbow drop et d’un german supplex.
Logiquement, il craque. Fait voler la cons’, et les restes de sa patience avec. L’autre sourit simplement, ses lèvres étirées en un rictus aussi paternel qu’il est énervant. Les opales de la rose ne lâchent pas Léo du regard. Parce qu’elle n’est pas très futée, Baal. Ça non. On pourrait –devrait !- même la qualifier de bien conne, la donzelle. Subtile comme une frappe nucléaire sur un orphelinat. Mais elle est sensible, surtout –seulement- avec les gens qu’elle apprécie. Depuis qu’ils se connaissent, la rose pense avoir appris à voir quand Léo s’en tape, et quand le Brit s’énerve vraiment. Manque de bol, il a tendance à ne jamais s’énerver pour lui : c’est toujours pour quelqu’un d’autre, sa voiture, ou les deux.

Alors Victoria regarde son ami se lever, lâcher son ras-le-bol et marcher avant même d’avoir trouvé  une véritable excuse pour prétexter partir sur d’autres bases que son simple agacement de comment elle parle de sa dulcinée du moment. Et Baal, ça l’énerve. Les gens malhonnêtes. Pas avec les autres, non : la conne ne vivrait pas à Lumopolis, si les menteurs lui hérissaient le poil. Mais ceux qui se mentent à eux-mêmes…

La rose passe par la puce du brun. L’a autre chose à faire qu’à sortir de la voiture et crier. « -Si ça te fait tant chier qu’on en parle comme d’un trophée de chasse, tu n’as qu’à la revoir. » Ceux qui se voilent la face, Baal ne les a que trop vus regarder passer devant eux pas forcément le bonheur ultime, ni même l’amour de leur vie. Non, simplement de belles histoires qu’ils devraient s’efforcer de vivre.

« -Au lieu de te cacher dans le rythme qu’elle et la vie veulent bien vous donner, va la chercher, ta jolie rose. » Ceux qui se mentent à eux-mêmes, Victoria Marjorie Balthazar Strutt les méprise. On peut être un sale type. Une vraie saloperie, une personne dont on ne recommanderait pas la compagnie même à son pire ennemi. Mais refuser de se lancer par peur, orgueil, ou les deux… Elle l’a trop fait pour accepter que Léo fasse la même connerie.

« -T’es persuadé de pas être un type bien, mais crois-moi, les types biens n’existent pas. Et ceux qui pensent l’être sont des enculés de première. Va la voir, vis ton histoire avec elle. Au moins, t’auras l’âme propre. Clean heart and dirty hands, Bae. »
   



Banlieue de Lumopolis + Avril 2047 + Baal & Bae




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Léo N. Abberline
Léo N. Abberline
Popularité : 150000
Gif : (end) clean heart & dirty hands • victoria Andy-biersack
Onyx : 423
Occupation : vendeur dans un fast-food + dealer
Faceclaim : Ivan Krasny — The Red King ; Andy Biersack
Pronoms : she/her
Trigger Warning : ///
Double Compte : Apolonia + Belladona
Upgrades & Inventaire : UPGRADES
— Programme pirate
— Prothèses de combat
— Propulseurs

INVENTAIRE
— Tabac, feuilles, cartons
— Un pochon de beuh
— Les clés de sa Golf GTI
— Un portefeuille troué
— Quelques pièces
— Un téléphone portable
Léo N. Abberline
Jeu 10 Aoû - 23:27
@misfit
clean heart & dirty hands
C’est une habitude qu’ils ont de se prendre la tête, Léo ne manque pas de raison de vouloir faire taire le clapet de son amie, parce qu’elle ne sait jamais quand il est temps de s’arrêter et ça a le don de rendre le Britannique aigri. Non, bien sûr que non, il n’y a pas de sentiment qui rentre dans l’équation, il connaît l’attrait pour la rose, pourtant même s’il est certain qu’il n’y aura jamais plus, il ne veut pas en parler. Le froid de l’extérieur comme la réflexion s’empressent de le gifler, à quoi bon réfléchir à tout ce merdier pour le moment ; les nerfs sont bien trop tendus pour qu’il puisse discuter avec l’armoire à glace.
Pourtant elle ne lâche pas l’affaire, prend cette fois un ton plus sérieux – qu’il ne lui reconnaît pas – à travers sa puce. Elle ne cesse pas de l’assaut, revient encore à la charge, bien que les moqueries se soient transformées en conseils de vie, le brun a beaucoup de mal à accepter la parole de son amie. Le temps lui a laissé des fêlures qu’il ne pourra jamais combler et quand bien même beaucoup ont initié de réparer son cœur, le résultat est resté inchangé : toujours plus décrépit à chaque rencontre qui ne s’est pas conclue rapidement. Il est parfois plus simple de fermer son âme aux autres sur le long terme que de vivre dans le déni et périr par la perte d’autrui. Ses doigts brûlent de raccrocher, de pulvériser sa puce, tout pour ne plus en entendre parler, mais c’est plus fort que lui, alors il écoute ce qu’elle a à dire.
Le brun n’est pas sans savoir ce qui est arrivé dans la vie de son amie, même si elle est restée assez vague et qu’il n’a pas tenté d’en savoir plus qu’elle ne voulait en parler. Il sait pourtant que tout n'a pas été une partie de plaisir pour elle, qu'elle a laissé une partie d'elle le jour où elle s'est retrouvée seule. La vie lui a mis des obstacles sur la route qui marquent indéfiniment, qui réduisent le cœur en lambeaux et l'empêchent de se refaire un jour peut-être. Elle ne pourrait pas être plus consciente que cela des paroles qu'elle lui envoi, il bloque légèrement, expire longuement la fumée en attendant de voir tout ce qu'elle peut avoir à lui dire.

Les mots font sens dans le crâne du jeune homme, mais rien n'y fait, ça, c'est un sujet qu'il voulait savoir clos ; malheureusement il sait ce qui arrivera s'il continue de la voir, de discuter, flirter avec le danger. La chute il la connaît aussi bien que sa poche, les regrets qui vont avec, la fatigue, la colère, oh Bon Dieu la colère de perdre un être devenu cher. Le brun est fermé à l’idée de laisser quiconque parcourir de nouveau son cœur, de laisser une empreinte qui prendra trop de place lorsque les nuits deviendront sombres.
L’ambre se lève vers le ciel en voyant que les leçons de morales continuent de pleuvoir, le poing se serre à l’entendre parler d’à quel point il est idiot de ne pas s’accorder le bonheur. Elle plus que quiconque devrait savoir pourquoi il ne souhaite pas s’abandonner à quelqu’un d’autre, encore moins aux cerises qui n’ont – comme lui – aucun intérêt de vivre une relation.

— Laisse tomber. Il soupire, jette son mégot dans la rue, rabaisse sa capuche pour éviter la lumière des réverbères. Cette conversation est pour plus tard. Prends soin de toi, on se capte plus tard dans la semaine.

Puis silence radio, l’appel se coupe du côté du Britannique. La première graine vient d’être plantée sans qu’il ne s’en rende compte, rien ne peut prédire le résultat ; peut-être qu’un jour quelqu’un restera enfin.
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