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  1. Nous sommes le 28/12, TIME LIMIT ouvre officiellement ses portes ! Vous pouvez dors et déjà vous inscrire, débuter la création de votre personnage et nous rejoindre sur le discord ! Avec ceci nous vous annonçons que 4 prédéfinis et 3 scénarios sont disponibles, chacun avec leur lot d'avantage, n'hésitez pas à aller y jeter un coup d'oeil !
    28/12/22
  2. Une nouvelle annonce est disponible ! Trois nouveaux scénarios et un prédéfini ont été ajoutés, ainsi que de nouveaux défis et upgrades. Pensez cependant à aller la lire pour pouvoir vos recenser avant le 9 avril en cliquant ici !
    26/03/23
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    26/09/23
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LUMOPOLIS
2047
Anciennement Las Vegas ▬ Nevada, États-Unis d’Amérique. Les mégacorporations dominent la vie citoyenne et politique tandis que la population goûte les joies des améliorations cybernétiques et autres modifications corporelles. Livrés à vous-mêmes dans la ville de tous les plaisirs, vices et excès vous pouvez ici vivre ; et surtout être tout ce qui vous fait envie !

Bienvenue à Lumopolis, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ou préférez-vous regarder des hordes d’Icares se brûler les ailes ?
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Bienvenue à Lumopolis en 2047, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ?
 
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big sister was always watching you ft. Léo
Faye C. Abberline
Faye C. Abberline
Popularité : 15000
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Occupation : Nettoyeuse pour D-VICE
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Faye C. Abberline
Ven 24 Fév - 21:10
@BlackSwan

big sister was always watching you


« When the night as come and the land is dark »


  Il était là, ici, à Lumopolis, comme toi. Tu l’as su sans réellement chercher. La grande sœur indigne que tu étais n’avait pas vraiment pris le temps de trouver sa localisation. Elle avait décidé de se concentrer sur sa vie avec l’homme qu’elle aime et sa nouvelle fille arrivée il y a un an maintenant. Tu t’en voulais. Tu n’as jamais cessé de te sentir coupable. Après tout, tu l’avais abandonné. Oui, tu ne méritais pas de le revoir, de le prendre dans tes bras, de lui dire combien tu étais désolée et à quel point tu voulais te racheter. Mais, maintenant, il était là. Tu pouvais le lui dire. Pourtant, quand tu as vu son nom dans les dossiers de D-Vice en tant que player. La première chose qui t’est venu à l’esprit était de l’avertir, de lui demander de ne rien faire de répréhensible. Pas pour le menacer, pour le protéger. Car, si D-Vice osait s’en prendre à lui, Apolonia et Magnus, alors elle n’hésitera pas à faire tomber le jeu. Ayant réussi à noter son adresse via les dossiers, tu avais pris la décision de te rendre chez lui, d’enfin le revoir en face à face après tant d’années. Allait-il te reconnaître ? Probablement pas. Mais ça n’avait pas d’importance.

Il n’était pas chez lui. Ou alors il ne daignait simplement pas répondre aux “toc toc” incessants à sa porte. Alors il allait falloir faire ce que tu faisais de mieux : s'infiltrer chez lui. Tu sortis une épingle à cheveux et commenças à crocheter la porte. Pour le coup, aucune culpabilité, c’était presque normal pour toi. Être plongée dans la criminalité depuis tant d'années faisait de ton quotidien inhabituel quelque chose de normal. La porte ne mit pas longtemps à céder. Un appartement de piètre qualité, c’était certain. Tu lui avais pourtant donné beaucoup d’argent. Tu ne penserais pas qu’il vivrait dans un taudis pareil. Qu’avait-il pu faire d’une telle somme ? Et l’intérieur te faisait te rendre compte de ses conditions de vie. Déplorable. Il faisait froid et il ne te fallait pas longtemps pour comprendre que c’était l’habitation d’un garçon. Après avoir zieuté le plus possible cette… hmmm, comment dire.. ? Cette chose, tu te contentas de t’asseoir et d’attendre patiemment la venue de ton petit frère.

Tu aurais aimé que le silence règne dans la maison. Mais ce n’était pas le cas. On entendait des cris, des objets se briser et les sanglots de ce petit garçon. Tu le prenais dans tes bras, tes lèvres près de son oreille droite et ta main sur son oreille gauche. Tu chantonnais Stand by me pour le calmer. Tu avais l’espoir qu’il oublie à tout jamais ce que ton père faisait à votre mère.

C’est finalement le claquement de la porte qui te sortit de ton cauchemar. Tu tentais de paraître le plus réveillée possible et te remis droite. Finalement, tu regardas ton petit frère qui avait tant grandit, la nostalgie dans les yeux.
- Ça faisait longtemps… Léo


ft. Léo





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Léo N. Abberline
Léo N. Abberline
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Léo N. Abberline
Lun 27 Fév - 21:47
@misfit
big sister was always
watching you
C’est une soirée des plus classiques pour le brun, il s’est permis de réaliser quelques défis sur le jeu, parce que ça aide toujours à mettre du beurre dans les épinards. Travailler dans un fast-food ça ne rapporte rien et ça ne suffit pas à payer les factures. Certains le prendraient pour un idiot de ne pas toucher à l’argent que sa sœur lui a toujours envoyé plutôt que de s’esquinter, mais il ne le voit pas de cet œil. Sous le sien, une balafre rappelle grâce à quoi il gagne aussi sa croûte. Il n’a pas froid aux yeux, les cicatrices sont légion sur son corps depuis l’enfance, alors il ne s’embête pas des détails ; une de plus, une de moins, c’est pareil après tout.
Il aurait pu rentrer directement après avoir grappillé quelques followers et un peu d’onyx, mais le besoin d’adrénaline se fait ressentir, alors il prend la voiture et se rend nonchalamment jusqu’à l’une des courses organisées dans les rues de la ville. Il a l’habitude, on lui envoie régulièrement les adresses, quand il a le temps et besoin d’argent, il sait qu’il peut se mettre bien grâce à Golf. Ce qu’il n’avait pas prévu, c’était de rencontrer la rose une seconde fois, que la règle d’une nuit unique se brise pour les deux, après avoir échappé à leur poursuivant. L’adrénaline y est pour beaucoup et même si tôt ou tard les regrets finissent par monter, sur le moment, ça semblait être une bonne idée. Le Britannique s’était décidé à la ramener de nouveau à son appartement, la route étrangement rapide à tracer, mais cette nuit il ne la passera pas là-bas, la laisse seule pour cette fois, parce qu’il imagine sans mal que les ennuis ne seraient pas loin s’il décidait l’inverse.

Le retour à la maison se fait plus calme, il est tard, mais les réverbères n’ont pas fini d’éclairer la nuit, alors il prend toujours son temps, pas vraiment fatigué par la journée, mais sceptique sur ce que la nuit lui a réservé. Il ne s’attendait pas à ça, parce qu’il imaginait ne jamais la revoir, comme les autres. Comme Faye qui continue de lui envoyer de l’argent sans jamais montrer le moindre signe de vie. Elle ne signe pas, mais il sait sans aucun doute que ça ne peut être qu’elle, parce que personne d’autre ne s’embêterait à lui envoyer des sommes pareilles. Quatorze ans qu’il se demande ce qu’elle a pu devenir réellement, ce qui peut bien lui permettre de lui envoyer autant pour l’aider. Tant que les questions n’auront pas reçu de réponses, il se condamne à garder cet argent de côté, préférant garder son mode de vie avec les poches trouées et le chauffage en rade que de vivre sur le dos d’une presque inconnue maintenant.
À deux doigts de mettre un coup de pied dans la porte quand il rentre, parce que la serrure est toujours aussi galère, ça rappe contre le sol et en plus ça grince, ça l’emmerde. Il jette les clés de l’appart et de la voiture sur le comptoir après avoir éjecté la porte avec ses baskets, laissant une jolie marque sur la peinture blanche. Tant pis, le proprio râlera un peu plus quand il passera la prochaine fois, imagine-t-il. Puis il la voit, les yeux encore à moitié collés alors qu’elle est installée sur le canapé. Il se pince l’arête du nez en l’entendant lui dire que cela fait longtemps. Il l’a reconnu immédiatement quand il a posé un œil sur elle, même avec les années il pourrait la reconnaître entre milles, mais qu’est-ce qu’elle fout là ? Pourquoi ce soir ?

— Quatorze piges. On peut dire que ça fait longtemps, ouais.

Il crache à moitié les mots, pris entre des sentiments contraires. Le brun a la rage, parce qu’elle ne lui a jamais adressé le moindre mot depuis tout ce temps, alors qu’elle savait où il était, de l’autre côté, cela fait des années qu’il rêve de la revoir. Il sort de sa poche le premier cône venu pour l’allumer devant le fantôme, le sourcil arqué, un regard froid plongé sur elle.

— Une fois, pas deux Faye. Si t’as prévu de disparaître de nouveau, barre-toi avant que je ne m’accroche.

La tension est palpable dans sa voix, la voix sortant presque d’outre-tombe. Il ne supporterait pas de la perdre à nouveau, il ne sait pas s’il serait capable de se relever, préfère prévenir avant que le mal ne soit commis et que rien ne puisse être réparé. Il ne le dit pas, mais il est heureux de savoir qu’il avait raison, qu’envers et contre tout, elle est en vie. Sa visite à l’improviste l’agace autant que cela peut lui faire plaisir.

— Maintenant que les règles sont établies, que me vaut l’honneur de ta visite après tout ce temps ?

Il ne cache pas son amertume, attaque délibérément sa sœur avec hargne pour lui montrer à quel point les sourires ne seront pas simples à lui arracher. Oui, il est rassuré, mais ça n’efface pas les années d’absence.
childhood traumas — still coming back to my face

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Faye C. Abberline
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Faye C. Abberline
Sam 25 Mar - 12:48
@BlackSwan

big sister was always watching you


« When the night as come and the land is dark »


 Tu ne t’attendais pas vraiment à des retrouvailles émouvantes. Tu le savais, il était en colère. Une part de toi l’était aussi. Comme il le fit lui-même remarqué, quatorze années s’étaient écoulées. Il n’était plus le petit garçon que tu avais lâchement abandonné. Pourtant, tu ne pouvais t’empêcher de sourire en voyant ce grand gaillard qui, malgré la vie compliquée qu’il semblait mener, se portait bien. Tu le détaillais du regard, cherchant la moindre égratignure qui te permettrais de t’énerver contre la première personne dont il prononcerait le nom. Juste pour lui prouver à quel point tu l’aimes et ce que tu es prête à faire pour le protéger. Car c’était ce que tu avais toujours voulu. Mais ce sont ses mots qui te firent revenir à la réalité. Oui, tu ne pouvais pas revenir comme une fleur après tant d’années et prétendre que tout allait bien. Tu ne pouvais pas te voiler la face ainsi. Te faisant clairement comprendre que si tu ne comptais pas rester à ses côtés alors tu pouvais partir et ne jamais revenir. Ton cœur se serra. Une vive douleur s’installant au fond de ce dernier. Quelle horrible sœur tu faisais. Mais tu avais quand même entendu. Ces mots qui voulaient dire aussi qu’il était heureux de te revoir: “avant que je ne m’accroche”. Vous pouviez renouer, c’était possible. Et tu le voulais. Ce n’était peut-être pas prévu pour maintenant, mais tu ne voulais pas qu’il t’oublie. Tu ne voulais plus le laisser tomber. Et lui aussi ne le voulait pas.

Alors qu’il te demanda la raison de ta présence en ces lieux, tu te levas et te dirigeas vers lui pour le prendre dans tes bras. Il était devenu si grand. Cela te faisait bizarre. Tu le serras de toutes tes forces pour te rendre compte d’à quel point tout cela était réel. Et quand ton esprit commença à voir plus clair, tu sentis les larmes couler sur tes joues. Des larmes de joie et de tristesse. Une de tes mains atterrit dans les cheveux de ton petit frère.
- Je suis désolée… Je suis désolée.
Tu ne retins pas tes sanglots. Submergée par tant d’émotions contraires.
- Si tu savais à quel point tu m’avais manqué. Je voulais tant te voir et te dire que tout allait bien. Que je faisais de mon mieux. Mais j’avais si peur. J’avais l’impression de ne pas avoir ma place à tes côtés. Ma honte était bien trop grande.
Tu enfouis ta tête dans son épaule, mouillant au passage ses vêtements.
- Je t’aime tellement tu sais…
Tu mis tes mains sur ses épaules et t’écartas. Plongeant ton regard dans le sien, les yeux mouillés par les larmes.
- Je te promets de ne plus partir. Alors ne me déteste pas s’il te plaît.


ft. Léo





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Léo N. Abberline
Léo N. Abberline
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Léo N. Abberline
Ven 31 Mar - 23:31
@misfit
big sister was always
watching you
C’est la seconde fois ce soir qu’une rencontre imprévue arrive et il ne sait plus quoi penser de ce qu’il se passe. Cette soirée n’a pas fini de surprendre le brun et ça l’agace. Parce qu’il avait fini par se faire une raison, dans sa tête elle ne reviendrait jamais, quand bien même elle continuait de prendre soin de lui à sa manière. Il avait fait le deuil, parce qu’espérer son retour était trop douloureux, d’autant plus après le départ de leur mère.
La solitude est dure à vivre pour le Britannique qui n’est plus capable de se reposer sur qui que ce soit. Il a fini par enchaîner les conneries, ce soir en sera peut-être une de plus à rajouter au tableau, à moitié rassuré de la voir en face de lui, il dégaine les armes directement. Parce que ça l’effraie de revivre la même chose que lorsqu’ils étaient enfants, elle lui a déjà été bien trop précieuse, il l’a déjà bien trop pleuré, cette fois les choses seront différentes. Il crache son venin de prime abord, demande ensuite les intentions de sa sœur qu’il vient tout juste de retrouver, elle ne dit rien. La brune se contente d’approcher, entoure son frère avec ses bras, le serre de toutes ses forces. Après tout ce temps, le contact est bizarre, mais pas désagréable, Léo sourit légèrement en la sentant contre lui, comme quand ils étaient petits. Pourtant les choses ont bien changé depuis et il sait que son portrait craché n’a pas une profession plus légale que la sienne, quand on voit les sommes faramineuses qu’elle a pu lui envoyer.

Elle s’excuse, se confond en remords, dit qu’elle avait honte. Il soupire doucement en imaginant la personne qui lui a manqué durant toutes ces années, penser qu’elle n’aurait pas sa place. Elle aura toujours sa place auprès de lui, tant qu’elle est prête à rester ou au moins garder contact. Il ne veut pas la perdre, parce qu’elle est tout ce qui le raccroche à sa vie d’avant, qui n’est pas négatif ; Faye est une des rares bonnes choses qui ont fait ce qu’il est aujourd’hui.
Il sent les larmes couler sur son épaule, alors qu’elle continue de raconter son histoire, lui dit qu’elle l’aime, le regarde dans les yeux, lui demande de ne pas le détester. Le brun bloque quelques secondes, se sent mal de lui avoir donné cette impression, jamais il ne pourrait la détester. Sa chair, son sang, quoi qu’il advienne, ça ne changera jamais, la famille qu’on aime, c’est sacré.

— C’est bon. T’aurais pu revenir à tout moment, t’as toujours eu ta place. Juste… Son regard se fait un peu plus sévère. C’était la dernière fois.

Il finit par se détacher un peu, revient sur le joint qu’il a laissé s’embraser le temps de l’embrassade, tire une longue taffe dessus et reprend son attention sur elle, la regarde d’un peu plus près, de haut en bas. Elle n’a pas réellement changé avec les années, c’est pour ça qu’il a eu autant de facilité à la reconnaître quand il l’a vu.

— Par contre, t’as un paquet de trucs à me raconter. Il arque un sourcil dans sa direction. À commencer par comment ça s’est passé depuis que t’as quitté la maison.
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Faye C. Abberline
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Faye C. Abberline
Dim 30 Avr - 0:05
@BlackSwan

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« When the night as come and the land is dark »


 Il se veut à la fois rassurant tout en étant strict. Il t’aime, mais il ne veut plus revivre cette séparation qui s’est tant éternisée. Tu ne peux pas lui en vouloir. Toi non plus tu ne voulais plus que cela arrive. Tu voulais être à ses côtés, pouvoir le soutenir comme une véritable grande sœur l’aurait fait. Qu’il soit là, avec toi. Et alors qu’il tirait sur son joint après t’avoir prévenu que cela ne se reproduirait plus sous peine de t’effacer complètement de sa vie - enfin c’est comme ça que tu l’avais compris - tu posas ta main sur sa joue avec délicatesse. Un geste de tendresse sans aucun but précis, mais qui te faisait tellement de bien sur le coup.

Tu avais tant de choses à lui dire et inversement. Mais comment ? Comment lui dire toutes ces horreurs que tu avais pu faire et que tu continues de faire par le passé ? Ne va-t-il pas être dégoûté de toi si jamais tu oses lui en parler ? Cela t’effrayait, bien plus que tu ne le pensais d’ailleurs. Et c’est ainsi que l’on peut se rendre compte d’à quel point cet homme qui se tient devant toi est aussi l’une de tes plus grandes faiblesses. Tu ne voulais pas qu’il ait une image de toi négative. Celle d’une femme cruelle qui tue de sang-froid et qui peut même parfois ressentir un certain plaisir à le faire. Car c’est ce que tu étais à présent. Autant l’assumer devant d’autres personnes ne te dérangeait pas, mais Léo… Il ne méritait peut-être pas de savoir cela. Alors, tu te mis à réfléchir, un air paniqué sur le visage, lorsqu’il te demanda de lui raconter ton parcours depuis que tu avais littéralement planté vot… Enfin ton paternel.
- Je… Je ne sais pas si c’est une bonne idée. C’est assez dégradant…
Comment tout lui dire. Tu ne te voyais clairement pas lui raconter ton histoire en commençant par la rue pour continuer sur Wade et la mafia britannique pour terminer sur l’homme qui illumine ta vie chaque jour accompagné de cette enfant que tu avais tout bonnement kidnappé.
- Tu me promets de ne pas être dégoûté par tout ce que j’ai pu faire si je te raconte ?


ft. Léo





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Léo N. Abberline
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Mar 2 Mai - 23:26
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Il n’est pas à l’aise, ne l’a jamais été lorsqu’il faut commencer à se confier sur ce qui le peine, parce qu’il ne sait pas dire les choses comme elles sont. Le brun réfléchit beaucoup trop, tout le temps, ne sait pas mettre son cerveau en veilleuse, alors forcément quand il la sent contre lui, ça fait remonter des choses qu’il pensait avoir oublier. La famille c’est sacré, ils ne partagent pas nécessairement le même ADN, mais pour Léo c’est clair, c’est sa chair, son sang. Faites le mal à l’un des deux et le monde finira en ruine, parce que c’est le fer dans lequel ils ont été forgés, la haine, la rancune et la volonté de protéger l’autre.
Plus jeune, il n’avait pas les épaules pour récupérer tous les maux que la Terre pouvait administrer à sa sœur comme à sa mère, mais il est grand maintenant. Oui, il est grand, pas vraiment plus mature, mais capable de prendre ses responsabilités et de les assumer jusqu’au bout sans regret. Paraît-il qu’il ne fait pas bon de vivre dans le passé, pourtant aujourd’hui qu’il se retrouve en face de lui, la nostalgie l’emporte. Il ne craque pas de la même manière que sa sœur, ne laisse pas retranscrire ses émotions physiquement, mais enfoui au fond de lui, la carapace a commencé à craqueler. Ça lui fait perdre l’esprit une seconde, tente de changer de sujet, demande à ce qu’elle lui parle de tout ce qui s’est passé pendant son absence.
Une toux le prend lorsqu’elle lui explique que c’est « dégradant ». Il n’y a rien qui puisse le choquer après tout ce qu’il a eu l’occasion de voir et de faire. Finalement ça le fait sourire quand elle exprime avoir peur qu’il soit dégoûté. Ses mains viennent rencontrer les joues de sa sœur, les pouces essuyant légèrement les yeux encore humides.

— Maman n’a pas élevé des enfants de chœur.

Un ricanement sort des lèvres du Britannique alors qu’il se reconcentre légèrement sur le bâton embrasé. Parce qu’elle n’a probablement aucune idée des chemins qu’il a pu emprunter pendant toutes ces années, avec tout l’argent qu’elle lui a envoyé – parce qu’il sait que c’est elle – il aurait pu se construire une vie paisible et imagine sans mal qu’elle ne l’a pas choisi non plus. Aucune idée de comment elle a pu amasser une telle somme d’argent durant ces années, mais il sait qu’elle n’est pas toute rose non plus, que le couteau dans la jambe du paternel n’était que le début de leurs nouvelles vies.

— Je suis loin d’être un exemple, elle ne serait pas fière, mais je roule ma bosse comme je peux. Il lève les yeux au ciel, bien conscient qu’il n’est pas un monstre non plus dans le fond. On continue de garder les bonnes vieilles valeurs : respecter les femmes – et faire en sorte que les autres le fassent – dire bonjour, merci et au revoir. Faut au moins essayer de lui faire honneur.

Il dit ça à moitié ironiquement, parce qu’il n’a jamais été tendre, élevé avec la haine dans le regard, mais sa mère a su faire au mieux pour lui donner une éducation potable. Ne jamais mentir, sauf quand il s’agit de blesser gratuitement, ne pas laisser plus faible se faire marcher dessus quand c’est en son pouvoir d’arrêter le court du temps. Mentir aux flics seulement -et encore- blesser quand ils le méritent, cogner les plus grands dadais quand ils veulent s’attaquer aux gringalets.

— Crache le morceau, sœurette.
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Dim 14 Mai - 14:21
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« When the night as come and the land is dark »


  Tu ne pensais jamais retrouver un jour la douceur qu’il pouvait y avoir entre ton frère et toi. Ayant toujours rêvé de le reprendre un jour cet ange dans tes bras, le moment était enfin venu. Alors qu’aujourd’hui le petit garçon était bien plus grand que sa sœur aînée. Et tu revoyais cette image sans cesse depuis qu’il était devant toi. Prenant tes joues dans ses mains, essuyant la larme qui coulait lentement. Il y a plus de dix ans, c’était toi qui étais à cette place-là. Mais maintenant, il était tout aussi apte que toi à protéger ceux qu’il aimait. Tes joues prirent une teinte rosée, surprise par ce geste de tendresse inattendu. Précisant que vous n’étiez pas innocent, il se doutait que tu avais traversé bien plus que le simple fait d’avoir poignardé ton père. Tes mains se posèrent sur celle de Léo, un sourire mêlé de tristesse et de joie destiné à l’une de tes plus grandes raisons de vivre.
- On est loin d’être des anges, c’est sûr.
Il n’y avait qu’à regarder la douce Apolonia pour s’en rendre compte. Personne dont il ne connaissait d’ailleurs pas l’existence.

Comment commencer ton histoire ? Comment lui dire tout ce que tu avais pu traverser ? Tu te posas à nouveau sur le canapé, tout cela risquait d’être long. D’autant plus que tu avais aussi envie d’entendre tout ce qui avait pu se passer dans sa vie depuis ton départ.
- Au départ, j’ai commencé à vivre dans la rue. J’ai très vite compris que la loi du plus fort était de mise. Mais j’ai eu la chance de ne pas avoir vécu très longtemps à fouiller dans les poubelles et à frapper des gens encore plus dans le besoin que moi.
Car Wade est arrivé et t’as tendu la main. Car il t’a entraîné et t’a fait devenir une arme.
- Un homme m’a recueilli et j’ai été enrôlée dans la mafia britannique. J’ai été entraînée, formée à tuer, à frapper, je devais devenir une machine et ne plus avoir de sentiments. Au départ, je devais servir une personne encore plus haut placé, mais on m’a trouvé encore plus compétente pour l’assassinat. Alors je remplissais des missions pour lesquelles j’étais payée à tuer. Je ne sais pas combien de personnes, j’ai tué. Il y a probablement des milliers de personnes qui aimeraient me voir morte.
Très rassurant en tout cas. Apprendre que sa sœur est une professionnelle dans l’art de massacrer la vie des gens. Après, ça n’était pas comme si tu n’avais pas gâché la vie de ta mère et de ton petit frère. Mais ce n’était plus supportable. Tu refusais totalement qu’il s’en prenne à celle qui a le plus pris soin de vous quand vous étiez enfants, qu’il s’attaque à ce petit être qui est né sans n’avoir rien demandé. Parfois, tu pensais que tu étais un chat noir, tu n’apportais que le malheur.
- On m’a poussé à la trahison en me faisant croire que j’allais être tuée. Ce jour-là, je devais prendre la vie d’un homme. J’ai fini par m’enfuir avec lui. C’est quelqu’un d’incroyable qui m’impressionnera toujours.
Ton regard s’adoucit.
- J’ai tellement envie que tu le rencontres. Après tout, il est maintenant ton beau-frère.
Première grosse nouvelle pour toi Léo ! Ta sœur se fait troncher par un gars de la même espèce qu’elle. Et encore, tu connais pas la suite! Comment allais-tu faire pour lui parler d’Apolonia en précisant qu’il était littéralement son oncle alors qu’ils n’ont aucun lien biologique entre eux? En soit, l’adoption ça existe. Mais là c’était loin d’être une adoption ordinaire.
-Après des années passées à voyager ensemble, on a décidé de s’installer à Lumopolis. Et il y a un an environ… J’ai décidé de recueillir une enfant. Elle venait de perdre ses deux parents dans un accident de voiture.
Peut-être que passer le moment où tu ne lui as pas demandé son avis était la meilleure idée. Tu ne pouvais pas, après lui avoir dit tout ce que tu avais pu faire dans le passé, continuer en disant “Alors elle pense que je suis sa mère biologique alors qu’en vrai, on pourrait totalement dire que je l’ai kidnappée!”.

Tu soufflais un coup. Regardant ton petit frère avec un peu d'appréhension.
- Mais assez parler de moi ! Je veux tout savoir sur ce que tu as pu vivre après mon départ. Tout ce que j’ai loupé.
Dévier le sujet, c’était toujours la bonne solution!  


ft. Léo





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Jeu 18 Mai - 22:11
@misfit
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watching you
C’est dingue de se dire qu’après toutes ces années, on pense connaître une personne, sans pour autant savoir ce qui la constitue aujourd’hui. Avec Faye, c’est le sentiment qui reste dans la bouche du brun, l’impression d’avoir affaire à une inconnue avec qui il a pourtant vécu des années. Le temps n’a pas émoussé les sentiments qu’il peut avoir pour elle, encore moins le bonheur de la revoir aujourd’hui, pourtant c’est étrange. Les événements se sont enchaînés bizarrement, pourquoi ce soir, pourquoi pas plus tôt ? Elle a peur qu’il la juge, qu’il finisse par être écoeuré par ce qu’elle a pu faire pour être ici en face de lui aujourd’hui. Loin d’être le genre d’affaires qui effraie le Britannique, il n’est pas en peine non plus, alors il tente de la rassurer au besoin, chasse les vilaines larmes qui peuvent s’abattre sur le dernier lien à sa vie d’antan. Le sourire qu’elle affiche n’est pas complètement fermé, la lutte interne débute pour savoir comment elle pourra lui annoncer les choses, alors qu’il n’attend aucune pincette de sa part. La vérité nue
Le canapé redevient son trône, alors qu’il s’installe non loin sur l’un des coins de son matelas, après avoir ouvert une fenêtre pour faire déguerpir l’odeur de fumée qui risquerait de s’installer. Il l’observe, la sent légèrement nerveuse sans avoir à remarquer le moindre mouvement de sa part, il le sait c’est tout, ça a toujours été comme ça depuis qu’ils sont petits. Ils ne savent tout simplement pas se cacher la vérité, parce qu’elle est ancrée aussi profondément dans l’autre. Mentir est futile, il le saura et surtout ça n’aura pas de valeurs. Il est prêt à faire fi du passé, de la laisser revenir dans sa vie, peu importe le lot d’ennuis que cela pourra amener avec, car à deux ils sont plus forts, que se battre contre l’un signifie devoir affronter l’autre. La famille, ça n’est pas sacré, les sentiments le sont et ceux qu’il a pour sa sœur et sa mère dépassent l’entendement.

Elle finit par cracher le morceau, laisse simplement quelques détails, n’amoindrit pas les faits, peu importe leurs teneurs. Non, il n’avait pas imaginé un parcours pareil pour sa chair, s’attendait à ce que les années aient été marquées par les embûches, mais pas celles-ci. Le jour où elle avait mis un terme aux brimades de leur père n’a été que le début des problèmes. Dans tous les détails, elle explique comment elle est passée de sans-abri à assassin en l’espace de quelques années. Le brun grogne légèrement lorsqu’il entend que beaucoup veulent probablement voir sa sœur morte, parce que tant qu’il restera une once d’oxygène dans ses poumons, le moindre battement de son cœur, il ne laissera jamais passer cela. Non, elle n’est pas faite que de glorieuses choses, mais elle a fait ce qui était en son pouvoir pour survivre, comme il le fait aujourd’hui. Survivre, c’est la règle des Abberline depuis leurs naissances.
Comme n’importe quel marginal, il a pu être en contact avec divers types de la mafia Britannique, avait toujours refusé, car cela aurait mis un terme aux valeurs que sa mère lui a inculquées. Jamais il n’avait pensé que sa sœur aurait pu sauter le pas, pourtant c’est ce qui est arrivé et quand elle est devenue gênante, on a tenté de la faire exécuter. Les zones de flous s’accumulent, le fait qu’elle est pu trouver dans sa cible la source d’affection qui la tient en vie aujourd’hui, alors que lui-même n’était pas là pour le faire. Le plus surprenant dans tout ça, c'est probablement le fait qu’elle ait recueilli une gamine dont elle ne connait rien.

— T’es comme maman, toujours a ramasser les chats errants pour espérer leur donner une nouvelle vie.

Il soupire doucement, jette le mégot maintenant terminé, alors qu’elle attend qu’il rende la pareille, qu’il déballe toutes les aventures par lesquelles il est passé durant ces années d’absence. Il ne sait pas par où commencer, parce que les souvenirs de sa disparition remontent à la surface, quand leur mère les a quittés pour un monde meilleur, loin de toute violence.

— Ça a pas été simple quand t’as disparu. Le vieux est pas devenu plus tendre, au contraire. Ça l’a calmé le temps qu’il soit soigné, parce qu’il avait tellement mal que se tenir debout pour mettre le moindre coup était pénible pour lui.

Il ne lui dit pas à quel point il aurait aimé être capable, à l’époque, de lui faire bouffer le bitume, écraser son visage assez fort contre le sol pour qu’il puisse avaler les pissenlits par la racine sans avoir à trouver un espace vert. La colère qu’il éprouvait contre son paternel n’était en rien comparable à celle qu’il pouvait éprouver de ne pas être à la hauteur pour protéger sa mère, de ne pas avoir été capable de garder la brune auprès de lui. Il voulait faire plus, mais ça n’était qu’un enfant.


— Un jour les flics ont fini par pointer le bout de leur nez et ont embarqué ce fumier. On est parti s’installer loin de la maison, parce que ça ramenait trop de souvenirs douloureux, peu importe ce que ça voulait dire à l’époque.

Les doigts du jeune homme ne savent se contenir, se tordent dans tous les sens pour qu’il puisse garder une certaine contenance en dévoilant ses plus grands vices. Il n’en est pas fier, mais a fini par les accepter, ça fait partie de lui, quoi qu’il en dise.

— Quand elle est partie, j’ai vrillé. J’étais pas un exemple avant, mais les responsabilités ça fait faire de sacrées conneries. Je vis des vols de bagnoles, des courses de rue, vente d’opiacés en tout genre. Parfois je me bats, ça rapporte bien. Savoir jouer des poings ça doit faire partie de notre ADN. Il soulève légèrement les épaules, en continuant. Bref, pas beaucoup mieux que toi.
childhood traumas — still coming back to my face

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Faye C. Abberline
Faye C. Abberline
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Faye C. Abberline
Dim 2 Juil - 18:31
@BlackSwan

big sister was always watching you


« When the night as come and the land is dark »


La vie n’avait pas été tendre avec vous, elle ne le sera probablement pas plus à l'avenir non plus. Alors il fallait simplement l’accepter. Accepter la défaite et se relever pour qu’un jour elle se transforme en victoire. Léo et toi vous vous êtes toujours relevés, et la présence de l’un et de l’autre devenait votre plus grande force. Tu ne savais pas si c’était le cas pour lui, mais quand Wade t’entraînait et que tu tombais, que tu te faisais tabasser, que tu essuyais les échecs, la raison qui te poussait à te relever et à continuer d’avancer c’était cet espoir de pouvoir un jour revoir ton petit frère. Tu as fait des choses dont tu n’es pas fière mais qui ne te répugnent pas pour autant, bien trop habituée par le crime. Et ta seule peur au fond de toi, ce n’était même pas la police mais la haine que pouvait ressentir Léo en apprenant cela. Pourtant, il avait compris. Il ne t’avait pas pris pour un monstre bien que tu en sois un à tes yeux. Parce que pour survivre, il avait dû faire bien des choses lui aussi. Ses actes étaient sans aucun doute bien moindre face aux tiens, mais il l’avait accepté.

Abberline, il fallait croire que ce nom était maudit. Oui, c’était probablement le cas. Mais c’était avec ce nom que tu étais née. Que vous étiez nés. Et quand bien même vous avez pu commettre des actes atroces, ce nom était votre force, parce que vous le partagez. Une grande sœur et un petit frère qui se complètent. Tu avais toujours pensé que tu ne serais rien sans l’amour de ce dernier. Parce que tu avais toujours fait ça pour lui bien plus que si c’était pour toi. Et tu te rendis compte que, comparé à ton semblable, quelqu’un avait été retiré de l’équation. Ta.. Non votre mère. Alors qu’il avait toujours vécu pour elle et pour toi, tu t’étais contenté de survivre pour lui uniquement. Et apprendre sa mort te brisait le cœur. Quelle fille horrible tu faisais. Elle qui devait probablement se faire un sang d’encre pour toi pendant des années, tu n’avais pas pensé à elle une seule fois. La rendant coupable des violences de votre père. Parce qu’elle avait trop peur pour le quitter et s’enfuir avec vous. Tu l’accablais de votre peine, de votre vie et de comment vous aviez dû vivre. Alors qu’au fond, elle était la première victime de tout cela.
- Maman… Maman est morte?
Une larme se mit à couler sur ta joue. Tu t’étais toujours dit qu’un jour tu pourrais aussi la revoir et lui dire ce que tu lui reprochais, tout ça pour mieux avancer main dans la main. Mais le seul souvenir qu’elle avait dû garder de son premier enfant, c’est le moment où elle a abandonné tout le monde après avoir poignardé son géniteur. Elle ne savait probablement pas la haine que tu lui vouais, mais elle ne la méritait pas. Et la culpabilité au fond de toi s’agrandit, te ronge. Si seulement… Si seulement tu avais pu lui dire je t’aime une dernière fois.

On dit qu’avec des “si” on pourrait mettre Paris en bouteille. Cette expression ne pouvait pas être plus douloureuse qu’à cet instant. Car, si tu avais pu la revoir et lui parler, peut-être que tu n’aurais pas autant de regrets à son égard. Tes jambes te lâchèrent, toujours sous le choc de la nouvelle. Et sans même répondre au passé raconté par ton petit frère, tu te contentais de répéter :
- Je suis désolée.
Et dans tes pensées, tu continuais par : si je l’avais tué rien de tout cela ne serait arrivé.



ft. Léo





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Léo N. Abberline
Léo N. Abberline
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— Un portefeuille troué
— Quelques pièces
— Un téléphone portable
Léo N. Abberline
Mar 11 Juil - 22:39
@misfit
big sister was always
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Les souvenirs affluent, la douleur avec. Raconter tout ce qui s’est passé pendant toutes ces années, ça n’est pas simple, parce que même si le brun a l’impression d’avoir dépassé l’étape du deuil depuis longtemps, ça ne fait pas moins mal d’en parler. Pourtant, il a décidé d’aller de l’avant, parce qu’on ne construit pas une maison en retirant chaque brique une par une à chaque fois que le ciel se grise. Alors oui, évidemment il regrette de ne pas l’avoir avec lui, de ne pas pouvoir réitérer des scènes de ses souvenirs où la famille se regroupait pour passer de bons moments, quand le clébard n’était pas là – pas comme si ça risquait d’être gai avec lui – il avait honte de leurs effusions d’amour ; il n’était présent que pour les mettre en lambeaux.
Certains pourraient croire que l’amertume vient du fait de ne pas avoir pu la sauver, mais le Britannique voit ça d’un œil différent, finalement c’était peut-être mieux pour elle. Avec les années, les traumatismes que sa mère a subis l’ont rendue dépendante de tout le monde, incapable de se souvenir de ce qui s’est passé une semaine plus tôt, incapable de se servir d’un couteau à beurre. Ça devenait angoissant pour lui, de voir sa mère amorphe et elle, même si elle n’avait plus grande idée de ce qu’il se passait, accumulait de la frustration de devoir être servie par autrui. Alors pour la garder avec lui et rendre sa descente la plus agréable possible, il a accumulé les petits boulots pour subvenir aux frais de l’hospice – qu’il rembourse toujours aujourd’hui – a toujours continué de lui rendre visite, lui adressait des lettres. Les derniers instants ont été les plus pénibles, elle perdait la tête, livrait à son fils des bribes de sa mémoire, à l’époque où son mari n’était pas une ordure, à l’époque où tout n’était pas en ruine, oubliant complètement ce qui a pu arriver les années qui ont suivies.

Même s’il avait compris que sa sœur était toujours en vie, qu’elle gardait un œil sur lui, il n’imaginait pas qu’elle avait été épargnée par la nouvelle. Il a lâché ça normalement, sans faire attention, parce qu’il pensait que ça ne serait pas une surprise, mais c’était sans prendre en compte son aînée qui accueille la nouvelle avec surprise et fracas. Une nouvelle larme s’est écrasée sur la joue de la brune, il lui a fait un petit signe de tête pour répondre à sa question, tente de la rattraper quand il la voit tomber les genoux au sol, alors qu’elle s’excuse sans raison.

— T’y es pour rien. On n’y peut rien. Elle souffre plus, c’est déjà ça.

Nouveau soupir, tandis qu’il s’affaire à relever sa sœur et l’aider à s’installer de nouveau dans le fauteuil. Il ne sait pas trop quoi dire, c’est étrange de parler avec quelqu’un avec qui on a autant de points communs, de choses à se raconter, mais sans savoir où commencer, où reprendre par rapport à là où ils s’étaient arrêtés. En quatorze ans de temps, les deux enfants ont bien grandi, n’ont plus vraiment de repères sur lesquels s’appuyer, aucun ne sait sur quel pied danser.

— La question va paraître idiote, mais qu’est-ce qui a changé ? Je veux dire, ça fait un moment que tu sais où je suis, n’est-ce pas ? Alors pourquoi c’est ce soir et pas la semaine dernière que t’es revenue ?

Il n’y a aucune animosité dans sa question, simplement une curiosité étrange sur la raison qui a poussé sa sœur à choisir cette journée pour débarquer dans sa vie. Une part de lui se dit que quelque chose ne sent pas bon du tout, que peut-être sa sœur a emmerdé les mauvaises personnes, qu’il va devoir se briser quelques os pour régler tout ça. Peu importe le temps qui a passé, il n’oubliera pas la règle: peu importe qui est visé, si c’est un Abberline, c’est aussi son problème ; ironique pour un gamin qui n’a jamais eu une véritable famille.
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Faye C. Abberline
Sam 12 Aoû - 22:44
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« When the night as come and the land is dark »


Les bruits avaient cessé et l’enfant s’était endormi. La jeune adolescente le porta jusqu’à son lit, n’oubliant pas de lui faire un bisou sur le front en guise de bonne nuit. Puis, elle sort de sa chambre, traversant à pas feutrés le couloir pour arriver jusqu’au salon. Elle savait ce qu’il s’était passé, mais elle était horrifiée par ce qu’elle voyait. Une femme gisant sur le sol, la tête en sang, ses bras recouvert d’ecchymoses. Elle fonça vers elle, inquiète. La femme peinait à se relever et regardait sa fille avec un air désolé.
- Faye, où est Léo?
La dénommée Faye aida sa mère à se lever avant de l’aider à se poser sur le fauteuil.
- Il dort, ne t’inquiète pas.
La jeune fille courra dans la salle de bain, fouillant les seuls placards qui s’y trouvaient pour prendre une trousse de pharmacie. Retournant auprès de sa génitrice pour commencer à l’aider à se soigner. Enfin, pour le peu qu’il était possible de faire. La femme commença à pleurer alors que son enfant désinfectait une plaie qu’elle avait au niveau du bras.
- Je suis désolée, vous n’avez pas à vivre ça. Vous n’avez pas à entendre ça.
Alors que Faye retenait ses larmes, elle continuait à prendre soin de sa mère qui ne cessait de s’excuser.

Aujourd’hui, c’était toi qui pleurais. Assise sur le fauteuil grâce à Léo, tu étais rongée par la culpabilité et le regret. Ton petit frère avait tenté de te dire que tu n’y étais pour rien, qu’elle était probablement mieux aux cieux. Et il avait raison. Cette pauvre femme avait tant subi. Mais elle aurait quand même mérité d’avoir de derniers souvenirs bien plus joyeux de sa fille.

Il te demanda les vraies raisons de ton retour. Car oui, il avait raison, tu savais depuis un paquet de temps qu’il était à Lumopolis, où il vivait et ses activités. Mais tu ne pouvais pas lui donner la réelle raison. Cela représenterait un risque pour toi comme pour lui. Et tu ne voulais pas le mettre en danger, juste pouvoir assurer sa protection au maximum.
- J’ai pensé que c’était peut-être le bon moment. J’ai longuement hésité, tu sais. Je ne me considérais pas comme étant assez digne de pouvoir te revoir. Il m’a fallu du temps avant de surpasser cela.
C’était la meilleure option de lui mentir.

Tu posas ta main sur la sienne, ton regard embué de larmes encré dans le sien. Tu voulais lui faire cette promesse, qu’il puisse savoir que maintenant tu ne le lâcherais plus jamais.
- Je ne repartirais pas, je te le promets. Si je reviens, c’est pour rester à tes côtés jusqu’à la fin.
Parce qu’il était maintenant le seul être qui te rattachait à ton nom. Parce qu’il ne méritait pas l’absence de sa grande sœur. Parce que tu te devais de lui rendre ce bonheur que tu lui avais volé.



ft. Léo





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Léo N. Abberline
Ven 18 Aoû - 22:51
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L’histoire des Abberline n’est pas la plus gaie, loin de là, pertes et fracas, haine et traumas ; mort et peine. Ça a forgé le petit et la grande, au détriment de la mère, ça a été dur pour le brun de perdre la dernière source d’affection restante, il a eu beaucoup de mal à se relever. C’est finalement la colère qui prendra office de moteur dans sa vie ; lorsque l'idée de vengeance est la seule chose qui vous raccroche à ce monde, le premier pas pour se perdre est franchi.
Les occasions de se défouler n'ont pas manqué dans sa jeunesse, le Britannique n'a pas mis longtemps avant de trouver de quoi masquer sa peine, déversant sa colère sur le moindre clampin qui pourrait lui manquer de respect, faire passer corps, drogues et boissons entre ses mains. C'est simple de manquer de joie de vivre, beaucoup moins de réussir à la trouver quand on imagine qu'elle finira tôt ou tard par disparaître de nouveau. Alors, pourquoi se priver de jeter les problèmes sous le tapis le temps d'un soir, d'une nuit avec une inconnue, de défaire tout ce qui nous met à terre, juste un instant ?
Malheureusement ça ne fonctionne jamais indéfiniment, peu importe à quel point on peut chercher à s'enfuir de cette réalité, elle nous rattrape toujours. La mort de sa mère fut le dernier clou planté dans le cercueil, Léo en ressortira changé à jamais et quand bien même des vagues de souvenirs de son ancien lui sont remontées lorsqu'il a aperçu la jeune femme devant lui, ça ne sera jamais plus pareil.

Les larmes s’accumulent sous les yeux de la jeune femme, son frère lui ne laisse rien transparaître, bien trop concerné par toutes les questions qu'il peut avoir pour elle plutôt que par le fait d'extérioriser ce qu'il ressent. Quand on passe autant de temps avec le cœur fermé à double tour, on oublie souvent de se laisser absorber par nos sentiments. Sa vie, il l’a passé dans le noir, l'impression permanente d'être le seul à pouvoir comprendre. Il en a parlé, plus d'une fois a reçu de très bons conseils, de l'affection à laquelle il ne s'attendait pas, mais ça n'a jamais soulagé quoi que ce soit ; la plaie cicatrise à peine, qu'importe ce qu'il veut montrer.
Sa sœur tente de lui expliquer pourquoi elle n’est venue qu’aujourd’hui le rencontrer, alors qu’elle savait où il se trouvait tout ce temps. Un sourcil se lève en direction de la jeune femme, l’ambre planté sur son aînée, ça ne colle pas avec celle qu’il a perdue quatorze ans plutôt.

— Comme si ça valait quelque chose d’être digne de mon affection.

Elle fait des promesses, comme celle qu’elle n’a jamais tenue, ça le fait tiquer de nouveau. Le brun n’a pas envie de faire la guerre ce soir avec la seule personne qu’il lui reste de sa famille, il fera entendre sa voix plus tard, mais ne manque pourtant pas de la rappeler à l’ordre.

— Je l’ai déjà dit non ? Pour toujours ou à jamais.
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