Nous sommes le 28/12, TIME LIMIT ouvre officiellement ses portes ! Vous pouvez dors et déjà vous inscrire, débuter la création de votre personnage et nous rejoindre sur le discord ! Avec ceci nous vous annonçons que 4 prédéfinis et 3 scénarios sont disponibles, chacun avec leur lot d'avantage, n'hésitez pas à aller y jeter un coup d'oeil !
28/12/22
Une nouvelle annonce est disponible ! Trois nouveaux scénarios et un prédéfini ont été ajoutés, ainsi que de nouveaux défis et upgrades. Pensez cependant à aller la lire pour pouvoir vos recenser avant le 9 avril en cliquant ici !
26/03/23
Fermeture temporaire du forum. Plus d'explications ICI !
Plus qu'une upgrade en soit, le drone de cargaison est un véritable moyen de locomotion à part entière. Celui-ci est tellement imposant qu'il est obligé d'avoir sa propre place dans un garage et permet à son utilisateur de se déplacer librement dans les rues de Lumopolis.
date inconnue— Ancien paramédic dans l'armée
date inconnue— Ash change vite de voie et apprend la programmation en autodidacte
date inconnue— A détourné un drone de transport de cargaison pour son usage personnel
date inconnue— A commencé à filmer les défis des Players et Prisoners contre rémunération
2046-2047— Revend régulièrement les images où les Players décèdent à D-VICE pour se faire du fric facile pendant que l'appli couvre ses traces.
Permet de de cacher son apparence en une bouillie de pixels à toutes caméras ou toute personnes dotées d'une puce. Elle peut également choisir de se rendre visible auprès de ceux qu'elle souhaite.
date inconnue— Naissance dans un bidonville du Mexique.
date inconnue— Naissance de Jared, son petit frère, dans un bidonville du Mexique.
2023; date flexible— Adoption de la fratrie par un riche politicien de l'état de New York.
2023-2040— Les enfants McMiller évoluent dans la haute société américaine, Orlane s'adaptant très bien au Monde de faux-semblants et de luttes d'influences
2040— Le père McMiller tombe dans un scandale qui ruine sa réputation et sa carrière. Orlane se forme alors en informatique et devient hackeuse pour gagner sa croûte -et de l'influence. Elle développe ainsi son brouilleur visuel pour cacher son identité La même année, Orlane trafique la puce de Magnus Werner. L'opération rate, et au lieu d'être simplement caché du réseau, l'autrichien peut copier les infos biométriques de tous les gens qu'il croise. Par sécurité, la mexicaine s'assure que Magnus ne peut pas recopier les données de sa puce à elle.
2041— Mieux rodée à la modification d'upgrade, Orlane crée le transformateur vocal de Jared.
2045— Orlane est approchée par une organisation voulant monter une nouvelle application coopérative: D-VICE. Séduite par le projet, la Hackeuse commence à programmer pour l'application. Toujours prudente, elle travaille à distance et via son pseudo; ne divulguant aucune info personnelle à l'organisation.
2046— Quand BlackSwan lui demande de griffer la puce d'Apolonia Werner, Orlane accepte: avoir quelqu'un chez D-VICE qui lui doit une aussi grosse faveur ne peut que lui servir.
2046— Quand deux mois après le lancement de D-VICE, l'organisation demande à Orlane de taire les décès dus à l'appli en plus de trafiquer le casier de Prosperity pour y ajouter des crimes qu'elle n'a pas commis, la mexicaine refuse et quitte D-VICE. En partant, elle offre anonymement à Prosperity son projecteur holographique, espérant permettre à la jeune femme de regagner plus facilement sa liberté
2047 — Orlane continue à bosser dans l'ombre pour rectifier les torts de D-VICE, et ses upgrades et implants griffés sont devenus quelques uns des trésors les plus recherchés du marché noir. A ce jour, seul Jared McMiller alias Sentinel connaît le visage et l'identité d'OrLayzOn.me.
Les quatre bras qui composent le dispositif lui servent aussi bien à être dévastateur que précis. Il doit se servir de ses bras en permanences pour se soutenir à cause du poids de ces derniers. Son énergie est vite drainée par la fatigue que son corps et ses nerfs accumulent poussent le porteur à prendre des pauses plus régulières.
Réputé pour être l'un des médecins les plus respectés de sa génération d'un point de vu militaire.
Envoyé au front en 2034 pour sauver un maximum d'homme après qu'il se soit fait greffé les quatres bras métalliques qui composent maintenant son squelette.
Ses yeux ont été opérés de force car il a reçu des éclats d'obus qui lui ont fait perdre la vue lors d'une de ses missions. Il porte des lunettes pour cacher ce qui lui sert à voir aujourd'hui.
Après avoir été rapatrié, il arrête complètement sa carrière, se met à développer des upgrades dans son atelier et au fur et à mesure, il a fini par développer son marché.
Aujourd'hui il passe plus de temps à étudier la possibilité des upgrades demandées par le gérant du marché noir, mais il lui arrive encore de travailler au black pour installer des upgrades sur des clients prêts à en payer le prix.
Permet de transformer sa voix à volonté et par extension de reproduire celle de n'importe quel individu. L'utilisateur ne peut toutefois pas réellement copier la voix, il ne pourra que tenter d'imiter celle-ci par ce qu'il a pu entendre.
date inconnue— Naissance dans un bidonville du Mexique où il apprend à se débrouiller -set surtout à voler avec sa grande sœur Orlane.
2023— Adopté avec Orlane dans la grande famille McMiller par un père politicien.
2023-2040— Élevé dans la haute société New-Yorkaise, Jared s'y adapte beaucoup moins bien que sa sœur. Brillant à l'école, le mexicain a cependant en sainte horreur le Monde de faux-culs et de petites frappes dans lequel il évolue. L'enfant enchaîne donc les quatre cents coups, au grand dam de son paternel et sa grande sœur. Il collectionne presque les métiers, allant de barman à mécanicien en passant par athlète de parkour semi-professionnel, pilote de course ou encore pilote de voltige et instructeur de parachute.
2041— Orlane lui installe un transformateur vocal préparé par ses soins.
2046— Véritable adrenalin junkie, Jared est immédiatement séduit par le principe de D-VICE et s'inscrit extrêmement vite.
2047 — Jared nourrit une rivalité aussi comique que virulente avec Kaiserr, au point de vouloir, pour enfin assurer sa supériorité en tant que Player; accepter un défi top1. Sentinel le réussit, et entre dans la légende en tant que premier Player ayant réussi un défi top1. Jared est aussi la seule personne à Lumopolis qui connaît la véritable identité d'OrLayzOn.me. En même temps, c'est sa grande sœur. Ça aide.
Humain dont la conscience a été, dans son intégralité, téléchargée dans sa puce biométrique. Celle-ci a ensuite été intervertie avec celle d’un androïde. Bien que la conscience puisse se servir du corps, ce dernier est néanmoins toujours bloqué par les 3 lois d'Asimov. Upgrade personnalisée: Insensibilité à la douleur. L’insensibilité à la douleur inclut aussi toutes les sensations désagréables comme les brûlures, nausées et autres désagréments. Elle n’empêche cependant pas le corps d’androïde de subir des dégâts.
Humain dont la puce est défectueuse, impossible pour lui d’être repéré par aucun élément biométrique. Mieux, même: Avec le défaut de fabrication de la puce, il est possible à son possesseur d’importer des données biométriques depuis n’importe quelle autre puce. Upgrade personnalisée: copycat biométrique. Pour fonctionner, le copycat biométrique doit avoir un accès direct à la puce qu’il copie. Il faut donc soit un contact direct avec la puce de l’autre personne, soit télécharger les données via un lecteur de puces.
Humain qui s’est vu proposé de travailler pour D-VICE en s’occupant des players ayant décidé de moufter. Ici, les balances vivent la vie dure et le chien de chasse est là pour vous la faire vivre. Profiling et tortures seront les armes principales de celui qui viendra réduire au silence ceux qui ont trop voulu en dire. Upgrade personnalisée: fléchettes tranquillisantes. Permet d’assomer quasiment n’importe qui pendant deux bonnes heures.
L’idol à la voix d’ange, la coqueluche des fans et des médias! Personne ne résiste à ses vocalises, et certains disent même que sa voix peut vous ensorceler… Upgrade personnalisée: prothèses vocales sirène (séduire par des paroles trompeuses et flatteuses). La Loreleï doit utiliser sa voix directement pour faire effet: un enregistrement ne fonctionne pas; cependant un contact visuel direct comme lors d’un concert, par exemple, peut suffire à ensorceler la foule.
Humain travaillant dans la police et qui enquête personnellement sur D-VICE après avoir entendu de nombreuses personnes en parler. Les rumeurs ne l’ont pas laissé de marbre, il a décidé de mettre les pieds dans le plat. Même si ses collègues ne le suivent pas du tout sur cette affaire, il utilise tout son temps libre pour comprendre ce qu’il se passe dans les rues de Lumopolis. Upgrade personnalisée: Détecteur de mensonge. Utilisable uniquement à proximité de la cible, impossible de l’utiliser sur plusieurs personnes en même temps. Pour que le détecteur puisse fonctionner, il faut que la question ai été posée par l’utilisateur, impossible donc de vérifier une information lancée à l’improviste.
Vous avez toujours fait fortune, la négociation n’a aucun secret pour vous et votre charisme est à toute épreuve… C’est donc tout naturellement que vous êtes à l’origine du marché noir de Lumopolis. C’est vous qui décidez qui vend et vous gérez ce business d’une main de fer. Vous êtes reconnu par les acheteurs et vendeurs bien que discret et vous êtes activement recherché par la police. Upgrade personnalisée: Surchargé. Armé jusqu’au bout des dents avec l’un des prototype aboli de Sandevistan. Deux énormes fusils attaché directement aux cuisses, l’équivalent d’un 9mm sur un avant bras, ainsi qu’une lame de combat rétractable au niveau du poignet.
D-VICE vous fait assez confiance pour mettre en péril les recherches des forces de l’ordre sur l’organisation que vous cherchez à protéger. Brouillage de piste, rapports bidons écrits pour menacer les prisoners, tout est un bon moyen pour que votre emploi soit en sécurité. Peu importe ce qui concerne la véritable justice: la seule chose qui importe c’est ce que ça rapporte. Upgrade personnalisée: Passe Partout. Aucune serrure ne lui résiste, rentrer dans un bureau fermé pour y glisser de faux indices pour incriminer quelqu’un d’autre est devenu simple. Les verrous mécaniques ne nécessitent que quelques secondes en insérant son doigt au niveau de la serrure, les verrous électroniques quant à eux n’opposent aucune résistance. Les seuls systèmes de verrouillage qui s’opposent à lui sont les scanners rétiniens ou à empreinte digitale.
Vous n’avez pas été engagé par D-VICE pour votre pacifisme ou votre bonté de cœur… Non, car c’est vous qui êtes en charge de la surveillance des players et prisoners. Si l’un d’eux cafte, vous n’êtes qu’à un ordre d’envoyer un nettoyeur lui régler son compte. Upgrade personnalisée: Piratage sans limite. Votre puce peut se connecter à n’importe quel serveur informatique sans encombres, passant à travers n’importe quelle barrière de protection, vous permettant entre autre de vous connecter aux caméras de surveillance de Lumopolis.
Apolonia
disponible
Helios
disponible
LUMOPOLIS
2047
Anciennement Las Vegas ▬ Nevada, États-Unis d’Amérique. Les mégacorporations dominent la vie citoyenne et politique tandis que la population goûte les joies des améliorations cybernétiques et autres modifications corporelles. Livrés à vous-mêmes dans la ville de tous les plaisirs, vices et excès vous pouvez ici vivre ; et surtout être tout ce qui vous fait envie !
Bienvenue à Lumopolis, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ou préférez-vous regarder des hordes d’Icares se brûler les ailes ?
Bienvenue à Lumopolis en 2047, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ?
INVENTAIRE
— Tabac, feuilles, cartons
— Un pochon de beuh
— Les clés de sa Golf GTI
— Un portefeuille troué
— Quelques pièces
— Un téléphone portable
Léo N. Abberline
Jeu 2 Mar - 17:53
@misfit
we don't have to dance
Il y en a qui ne veulent pas se faire embrasser, chacun a ses propres raisons et le brun se moque bien de celles-ci. Elle peut garder ses lèvres pour celui qui vaudra le coup, pour se donner l’impression de ne pas tromper son partenaire si elle en a un, parce qu’elle ne veut pas de lui, ça n’a pas d’importance ; pas la moindre importance tant qu’elle est ouverte à la relation qu’ils vont consumer à deux. Ça durera le temps de la nuit, peut-être jusqu’à demain matin si elle veut bien lui laisser une place dans le lit ou sur le canapé pour qu’il ne fasse pas le trajet jusqu’à chez lui, dans le cas contraire, il ne cherchera pas à argumenter, prendra ses affaires et quittera l’appartement sans piper mot. Léo est conscient de sa chance, ne souhaite pas pousser celle-ci jusqu’à ce qu’elle lui revienne à la face, il a bien trop donné. Elle garde ses trois doigts sur la bouche du Britannique, glisse quelques mots bien placés, non sans tacler les anciennes conquêtes de ce dernier. Le sourire de Léo se fait plus carnassier, il n’est pas tendre, mais sait apporter affection quand il s’agit de ce genre d’actes, parce que c’est ce que la plupart cherchent ; lui aussi, à bien des égards. Pourtant, si la jeune femme n’en est pas friande, qu’elle ne cherche que la brutalité, alors il saura satisfaire ses envies, il n’est pas dur en affaire. La rose continue de parcourir la nuque du brun avec ses ongles, garde une certaine proximité avec lui sans pour autant lui laisser accès à ce qu’il convoitait plus tôt. L’ambre est passé des lèvres de la jeune femme pour se glisser jusqu’aux billes océans quand sa voix se fait un peu plus basse, bien plus crue. Le petit filet de voix fait brûler un peu plus la chandelle du brun, la hargne au ventre et le loisir de pouvoir prouver à la douce qu’il est aussi efficace que lorsqu’il s’agit de mettre à terre quatre types. Il pourrait faire comme beaucoup, se vanter du nombre de personnes avec qui il a eu l’occasion de partager les draps, mais ça ne l’amuse pas. Ça n’est pas un concours, n’en a jamais été un et il s’est toujours moqué de savoir s’il aurait pu le gagner. Les doigts glissent de sa bouche pour rejoindre son pantalon, non sans faire le tour du propriétaire, en écho son corps réagit au contact, frissonne légèrement quand l’ongle passe sur sa peau nue.
— S’il n’y a que ça pour te faire plaisir.
Il ne prend pas plus de temps pour mettre le deuxième bras de la jeune femme autour de son cou, lui intime de se tenir correctement après avoir fermement agrippé les cuisses de cette dernière. Le brun se lève de son siège, emporte la rose avec lui alors que leurs corps ne pourraient être plus près, laisse tomber la serviette à ses pieds avant de se diriger vers la seule pièce qui semble pouvoir correspondre à la chambre. Il lutte quelques instants avec la poignée de porte pour l’ouvrir, mais sans la lâcher, l’opération finit par fonctionner.
— Quitte à te baiser, autant faire les choses correctement.
Correctement n’est pas le bon terme, après ce qu’elle vient de lui dire, il n’a aucun souhait d’être correct avec elle et c’est ce qu’elle semble attendre de lui. Il ne baisse pas le regard, continue de verser son whisky en pleine mer, plonge dedans sans crier gare. Après l’avoir laissé tomber sur le lit, il la regarde, un peu plus envieux de se débarrasser de ses vêtements, alors qu’il peut enfin la voir dans son entièreté. Même s’il ne la tient plus contre lui, ses mains ne savent pas se détacher des cuisses de la rose, ses genoux viennent se poser au sol. Toujours sans la lâcher du regard, alors qu’à quelques centimètres à peine, son intimité dévoilée appelle à être comblée.
— N’y voit pas d’amour, je ne suis pas fait de ce bois-là.
sorry — sarcasm just falls out of my mouth, like bullshit falls out of yours
✧ INVENTAIRE ✧
- clopes et briquet ;
- clef du cabinet ;
- colle à faux ongles ;
- téléphone personnel ;
- téléphone OnlyFans.
Felicy Doughall
Dim 5 Mar - 23:48
@dogs___teeth
Il ne laisse aucune place à l’hésitation, place ton deuxième bras autour de sa nuque alors que tu cherchais à aller l’embêter et se saisit de tes cuisses à même la peau. Un geste anodin pour certains, mais la fermeté de ses doigts marquant ta peau à l’effet d’une bombe sur toi. Son cou sera réceptacle de bien des baisers alors qu’il tente de trouver ta chambre, affirmant fièrement qu’il fera ça correctement, comme tu l’as demandé avant de réussir à ouvrir cette dernière.
C’est sans aucune douceur qu’il te laisse sur ton lit, le froid des draps faisant frémir ton corps au toucher, vite réchauffé par l’ardeur qu’il émets. Tu souris espièglement en rouvrant les paupières, amusé du regard lubrique que le brun t’offre, tenant inlassablement ton bleu.
Aucun gène dans tes gestes, Tu offres bien volontiers ton anatomie, Le laisse vaquer à ses œillades…
Assez fière d’encore sentir ses doigts dans ta peau, excitée à l’idée d’y voir du rouge s’y déposer quand il les retirera… Sa façon d’agir est traître, la bête dans ses yeux ne saurait cacher la vérité. Il pourrait te dévorer s’il se laissait aller à ses envies, il n’y aurait aucune attente, aucun jeu. Il faut dire que c’est ce que tu cherches, ce que tu arrives à faire à ta manière… Pourquoi se montrer mielleuse alors que tout ce que les hommes veulent c’est une femme qui sait ce qu’elle veut, et sait leur tenir tête.
Réussir à l’insulter et à le baiser dans la même soirée. Tout en le laissant remuer la queue, heureux de l’opportunité.
Les mots s’échappent, Ceux que tu attends.
« Parfait. »
Il n’y aura rien de plus.
Enchanté, ne nous voyons plus jamais.
Et son visage se perd à peine alors que ton dos quitte le matelas, s'arque à la sensation offerte, à la fougue qu’il te propose. Ici commence une longue mélodie, celle que ta voix chantera toute la soirée et tu ne te prives pas pour la laisser exprimer le plaisir. Un exquis tableau se dessine entre tes cuisses, tu n’en perds pas une miette, glisse une main dans ses cheveux sans les saisir…
Il y en a peu qui arrivent à faire trembler tes jambes, Il pourra s’en vanter plus tard, au réveil.
Le moment où tu abandonnes finalement, celui où tu t’adoucies car incapable de garder les idées claires. Tes pensées ne savent restées en place et la seule chose qui importe, c’est ce que l’on est entrain de faire.
Mais tu ne lui diras jamais à quel point il te fait tourner, A quoi bon, il n’y aura pas de deuxième fois.
(c) kitty from the moon
Léo N. Abberline
Popularité : 150000
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Onyx : 423
Occupation : vendeur dans un fast-food + dealer
Faceclaim : Ivan Krasny — The Red King ; Andy Biersack
INVENTAIRE
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Léo N. Abberline
Jeu 9 Mar - 0:40
@misfit
we don't have to dance
La vie c’est des choix, il aurait pu l’envoyer balader, la laisser se démerder avec sa robe, avec les lourdauds, mais le brun en a décidé autrement. Il avait fini par faire les choses correctement. Son éducation n’était pas des plus belles, mais n’a jamais eu à regretter ses bonnes manières. Ses décisions les ont poussés l’un vers l’autre, quand bien même le chemin était boueux ; ouais, au final c’est devenu fun de l’avoir en face de lui. Il promet qu’il ne donne pas d’amour, que c’est uniquement parce que ça le fait vibrer – le temps que ça dure, – ça le fait vivre un peu. Elle acquiesce, au final ils se comprennent sur certains points. Les deux finissent par ne faire qu’un, le Britannique allume la mèche, ravie son visage de la perle en face de lui, glisse ses lèvres sur celles de la rose. Il n’est pas parfait, mais a toujours offert tendresse quand il s’agit de satisfaire ses conquêtes, sait prendre autant qu’il est prêt à offrir pour la nuit. Il ne demande pas son reste, récupère les doigts de la jeune femme dans ses cheveux, la sentant s’arquer sur son matelas. Elle apprécie probablement autant la danse que lui, mais la soirée est probablement loin d’être finie, sauf si la douce décide que la partie se termine ici. L’adrénaline, la boisson, l’ardeur ; cocktail Molotov dans le cœur, le temps d’un soir. La température ne cesse d’augmenter, il récupère les jambes de la jeune femme, les dépose sur ses épaules, relève son bassin - se demande si l’appartement est insonorisé – agrippe sa taille. Les échos de sa voix se font plus fort que de normées, il la sent partir et après quelques minutes elle finit par hurler. Il glisse ses mains des hanches pour retrouver les cuisses de la jeune femme, se relève doucement, contemple doucement son travail avec un petit sourire satisfait.
— Madame est servie ?
Il ne pouvait pas s’en empêcher, la paume remonte jusqu’au tissu qui le serre depuis quelques minutes en entendant la douce exprimer sa volupté. Le vêtement finit sa route au sol, les baskets aussi ; quitte à garder ses bonnes manières, autant éviter d’abîmer la literie.
— J’ai vraiment besoin de cette gratter une étoile de plus, tu sais ?
Clin d’œil à la rose, cherche dans l’océan une réponse, si elle est prête à continuer la soirée sur cette lancée, espère qu’il aura l’occasion d’entendre un peu plus sa voix, quitte à réveiller les voisins. C’est beau quand elle crie sans l’insulter, pareille sirène n’a rien à envier aux chants de ces dernières. Son dos s’arque, se rapproche de celui de sa partenaire, apporte légères morsures et baiser sur le corps d’albâtre, se satisfait d’une légère marque qui restera quelques jours ; un petit souvenir de leur moment à deux, incongru, unique.
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Felicy Doughall
Ven 10 Mar - 0:36
@dogs___teeth
Ton esprit se perd alors que tes yeux doucement se ferment, laissant tes sens à la merci seule de ce parfait inconnu, rencontré au détour d’une dispute qui aurait pu très mal se terminer s’il n’avait pas décidé de te venir en aide. Quelque chose t’a piqué chez lui, tu ne saurais dire quoi, c’était donc en parfaite conscience de ce qui allait se passer que tu l’as invité. Peut-être son sourire, peut-être son caractère fonceur, peu importe.
Entre délicatesse et fermeté tu t’oublies, laisse ta voix régir l’espace de la pièce pendant que tes cheveux encore mouillés continuent de tremper ton oreiller. Chaque mouvement est un délice, chaque prise sur ta peau un appel à la luxure et tu ressens rarement ces sensations. Clairement le brun n’a pas fait qu’enfiler des perles à ses heures perdues… Pendant un instant tu n’es que pantin, lui laissant la liberté de te manipuler à sa guise, relevant ton bassin vers lui, agrippant tes hanches pour y laisser l’empreinte de ses mains brûler ton derme.
Il ne t’en faut pas plus Felicy, peu savent te renverser de la sorte.
L’alcool n’aidant pas, tu chantes à nouveau le plaisir, laisse ton corps perdre une nouvelle fois ton matelas pour concrétiser la tâche de ton partenaire. Ta respiration est erratique alors que tu avais coupé ton souffle, tes doigts ancrés dans tes draps, défaisant presque ton lit parfaitement réalisé avant qu’il n’arrive dans ton appartement. Tes yeux s’ouvrent, observent l’homme qui te surplombe de sa taille alors qu’il termine presque de se déshabiller.
« Viens la chercher alors. »
lui souffles-tu entre deux battements de cœur.
Évidemment il ne se fait pas prier, reviens vers toi comme appelé, embrasse ton corps de ses lèvres avant de venir marquer ton cou. Cette fois tu l’as sentie, tu sais que tu devras cacher ça, mais tu sais aussi que tu es capable de te venger au centuple. Alors tu ramènes son visage au tiens, rapproche ces mêmes lèvres qui ont parcouru ton corps -et bien plus- pour planter ton regard embué dans le sien.
« Mais pour ça cher Léo, il faut savoir maîtriser la situation. »
chuchotes-tu avant de poser ta langue sur ses lippes, attrapant ce qu’il y reste de ton anatomie. Compte-t-il vraiment garder le dessus sur toi de la sorte ? Si c’est le cas, il allait devoir donner bien plus que ça.
Car il ne te faut pas plus longtemps pour retourner la situation, pour te retrouver au-dessus de lui et sans attendre à commencer ta danse sur sa peau à coup de douces morsures et de légères caresses. Tu t’affaires, parcours avec délicatesse chaque parcelle libre que tu peux toucher avant d’atteindre ton dernier obstacle, dernière barrière de tissu qui vous empêche de mutuellement vous dévorer… Elle ne fait pas long feu et comme lui, assis sur ses cuisses, tu en profites pour admirer ton œuvre ; ce que ta simple voix à pu provoquer en lui, fière.
Tu trouves habilement de quoi vous protéger après avoir tendu le bras vers ta table de nuit, te rapprochant une énième fois de ses lippes, les frôlant sans jamais vraiment les toucher, avant de retourner t’empresser vers son bas ventre.
Ceci fait, tu prendras le temps, Autant qu’il en faut pour qu’il retrouve cette lueur, Vos intimités si proches mais jamais ensemble, Cherchant la faim dans son regard…
Avant d’enfin vous laisser vous rejoindre, le laissant glisser doucement, écrasant tendrement ta croupe sur son corps pour l’épouser. Tu soupires, laisse tes mains s’agiter sur son torse avant que l’une d’elle ne récupère l’une des siennes, la pose sur ton ventre pour la faire suivre un chemin dangereux, chatouillant ta chair avant de la déposer sur l’un de tes seins.
« Monsieur est-il prêt ? »
Tu n’attendras pas une réponse de sa part pour commencer tes mouvements de bassin.
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Léo N. Abberline
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Léo N. Abberline
Dim 12 Mar - 16:53
@misfit
we don't have to dance
Elle est joueuse, il s’amuse à l’entendre, parce que le souffle est coupé, qu’elle se souviendra au moins de lui pour ça. Léo aime à sa manière, ne tombe pas dans les draps simplement par appétit, mais par envie de faire sentir la personne unique le temps d’un soir. Vraisemblablement, son matelas s’en souviendra également ; les mains encore accrochées dessus alors qu’il s’amuse à recouvrir le corps de sa partenaire de morsures, plante ses crocs, applique tendresse. Ce n’est pas vilain, juste assez pour qu’elle se souvienne quelques jours de cette nuit. Que ça lui rappelle de bons souvenirs pour quand elle en aura besoin. Si elle en a besoin, il ne sait pas trop, s’en moque pas mal au final. Il faut savoir tenir une rose correctement pour éviter de s’y piquer, le brun apprendra tôt ou tard, pour le moment, c’est elle qui a plantes les siennes. Pas bien certain que ça l’amuse, elle amène pourtant son visage à quelques centimètres des lèvres qu’elle lui refuse, alors qu’il lui bouffait les autres auparavant. Elle le provoque, lui fait entendre qu’il ne contrôle rien, que c’est elle qui aura le dernier mot dans cette soirée. Ça ne l’étonne pas, pas vraiment, parce que ça semble graver dans l’ADN de la douce. C’est elle qui décide, de la chemise à la manière dont elle se fait servir par le brun. Ça l’enchante, il est prêt à lui donner ce qu’elle souhaite si ça comble ses intérêts ; et jusqu’ici ça semble être le cas.
Il se laisse renverser pour qu’elle prenne le dessus, après qu’elle ait goûté les lèvres du brun avec sa langue. Elle joue avec sa peau, lui rend coup pour coup, s’arrête sur la fine couche de tissu qui les retient de ne faire qu’un, il ne faut pas longtemps pour que la barrière ne soit plus un problème. La rose habile, attrape sans souci un préservatif sur la table de nuit, les mains toujours guidées sur les cuisses de la jeune femme presque assise sur lui. Elle s’occupe de tout, fait ça naturellement, plonge son océan dans le whisky, avant de faire pareil avec leurs deux corps. Le Britannique jubile en sentant sa partenaire en chœur avec lui, elle lui demande s’il est prêt, n’attends pas vraiment de réponses pour venir le titiller sans vergogne.
— Avec une cinq étoiles, toujours.
Celle-là, il ne pouvait pas s’en empêcher, elle était simple. Flatte l’ego déjà bien consistant de la rose, mais ça lui brûlait les lèvres. Il n’a pas de mal à dire ce qu’il pense, dans le bon comme dans le mauvais sens, être honnête jusqu’au bout des ongles ; enfin, quand il s’agit de discussion, ce qu’il se passe dans la rue, c’est autre chose. Le brun ne se laisse pas démonter, s’amuse avec la main qu’elle a mise délibérément sur son sein, l’autre toujours harnaché sur les jambes de la jeune femme. Le tableau lui plait et la musique que la douce envoie comble ses sens. Que demander de plus, un peu plus de rythme, un peu moins de tendresse, c’est ce qu’elle voulait, non ? Elle voulait se faire baiser, non ? Alors il n’y va pas de main morte, augmente le rythme avec ses hanches, se relève comme il peut pour venir attraper un téton entre ses dents, sa main maintenant perdue dans la nuque de la jeune femme, glisse ses doigts dans la chevelure de princesse.
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Felicy Doughall
Dim 19 Mar - 17:49
@dogs___teeth
Si tu ne cherches pas à ce que l’on soit tendre avec toi, tu ne fais pas non plus partie de ceux qui se laissent aller à un doux orchestre , fait de violoncelles et pianos. Non, tu n’attends pas un moment propice pour augmenter la chaleur, ni l’accord de ton partenaire… S’ils sont là, c’est qu’ils savent à quoi s’attendre, ce qui n’est pas difficile avec le caractère impétueux dont tu fais preuve. Tu es entière, tu n’as rien à cacher, avec toi c’est à prendre ou à laisser ; et il faut vite choisir.
Alors tu prends plaisir à choisir ton rythme, celui que tu désires, maîtresse de la situation en surplombant l’homme en face de toi. Tu n’es pas dupe, tu sais qu’il pourrait reprendre le contrôle à tout moment, vos forces physiques ne sont pas les mêmes et il a clairement montré de quoi il était fait plus tôt. Mais tu sais aussi que les hommes sont faibles et qu’une femme capable de leur faire plier le pas facilement, caractérielle, est un peu comme leur désir caché qu’ils partagent.
Tu les met tous dans le même panier, Il n’y a que ton petit plaisir personnel qui compte.
Et l’idée qu’ils se souviennent de toi toute leur vie.
L’écho de vos voix se mêlent pour le début d’une chanson qui, tu l’espère, durera bien longtemps. Tu te surprends à voir vos corps s'épousant de façon parfaite, à planter tes yeux sur son torse, regard secoué par tes mouvements à la cadence mesurée.
L’encre de son bras, les muscles formant ton être, vision vite privée par sa personne qui se redresse.
Par lui, qui reprend la situation en mains.
Ton bout de chaire entre ses dents, la morsure laisse échapper un son beaucoup plus aigu d’entre tes lèvres alors que son autre main travaille fermement ton sein. Ton rythme est cassé par le sien, ses coups de reins impassible face à ton poids qu’il soulève aisément ; un frisson te parcours lorsque ses doigts se glissent dans ta nuque, plongent dans la mer rose de tes cheveux…
Tu saisis son dos, accroche tes ongles avec ferveur entre rappel à l’ordre et immersion trop profonde dans le plaisir. Il t’offre tout ce que tu désires, le fait avec brio mais surtout ne se laisse pas prendre la vedette de l’action. Et comme tu aime ça, Felicy, quand ils cherchent à te montrer qu’ils sont plus forts que toi.
Tu trouves finalement les notes de la musique qu’il t’inflige, assortie tes hanches aux siennes après l’avoir entouré de tes jambes, bloquant l’échappatoire.
Oui, tu apprécies ce qu’il te fait. La soirée n’est pas totalement gâchée.
Mais ce n’est jamais assez.
« C’est tout ce que tu sais faire ? »
lances-tu entre deux souffles.
C'est propre à toi, propre à ton caractère, toujours chercher la petite bête, toujours pousser les gens à bout ; dans leurs retranchements.
(c) kitty from the moon
Léo N. Abberline
Popularité : 150000
Gif :
Onyx : 423
Occupation : vendeur dans un fast-food + dealer
Faceclaim : Ivan Krasny — The Red King ; Andy Biersack
INVENTAIRE
— Tabac, feuilles, cartons
— Un pochon de beuh
— Les clés de sa Golf GTI
— Un portefeuille troué
— Quelques pièces
— Un téléphone portable
Léo N. Abberline
Mar 21 Mar - 22:41
@misfit
we don't have to dance
Elle sait ce qu’elle veut, l’a prouvé plus d’une fois ce soir et ça amuse le brun. La rose prend les choses en main, impose le rythme qu’elle souhaite à la danse, en écho à la chanson qui sort de ses lèvres. Leurs corps se rapprochent quand il décide de jouer le jeu, de lui apporter un peu de résistance, que ça ne soit pas non plus aisé de garder les contrôles en main. C’est ce qu’elle désire, non prendre les manettes et profiter comme bon lui semble, mais le brun ne le voit pas du même œil. Il ajoute un peu de piment, glisse sa langue autour de son aréole, mord tendrement le bout de son sein en augmentant le tempo de son bassin. Alors elle décide se venger de la marque qu’il lui a laissé plus tôt, quand il se trouve plus proche d’elle, une main perdue dans ses cheveux, les ongles de la rose viennent se planter dans sa chair. Un grognement sort de ses lèvres, elle finit de se harnacher au brun, lui balance une provocation au visage et c’est un rire franc qui remplace la douleur.
— Je t’ai laissé une chance de t’exprimer, mais si tu le prends de la sorte.
Il la retourne, la surplombe quelques instants, glisse une jambe sur son bras, laisse l’autre reposée à côté de la sienne, finit par se planter un peu plus fermement. Les mains toujours tenues sur ses cuisses galbées, il la regarde fièrement en reprenant le rythme qu’elle avait instauré, ne se tarit pas de la ferveur qu’il a à son encontre. Le brun ne manque pas de laisser quelques moments de répit à la douce, joue avec l’excitation de l’un comme l’autre ; l’anticipation est aussi douce qu’explosive. L’une de ses mains remonte, prend appui sur le matelas pour se pencher en avant, reprendre son travail sur la poitrine de la jeune femme, termine son parcours jusqu’à la marque qu’il a fini par laisser plus tôt. Embraser le flambeau d’une passion qu’ils ne connaissent que si bien ; pourtant ce soir, ça a un goût de différent.
sorry — sarcasm just falls out of my mouth, like bullshit falls out of yours
✧ INVENTAIRE ✧
- clopes et briquet ;
- clef du cabinet ;
- colle à faux ongles ;
- téléphone personnel ;
- téléphone OnlyFans.
Felicy Doughall
Sam 25 Mar - 21:09
@dogs___teeth
À la mélodie du plaisir se mêle maintenant celle de l’impatience. L’homme est sanguin, il n’a pas attendu longtemps avant de réagir à ta provocation, attrapant depuis le début chaque perche que tu lui tends. C’est amusant, à la fois éreintant, tu n’arrives pas à te hisser plus haut que lui dans le tableau… D’abord erratique, sans prendre la peine de t’accorder un temps de réaction, ne donnant à ton corps aucun répit ; il choisit finalement de jouer avec toi, jouer avec les réactions de ta peau qui frissonne à chaque mouvement lent. Et réfléchi.
Il te dévore, autant mentalement que physiquement, et ce serait mentir de dire que tu n’apprécies pas non plus la vue qu’il t’offre.
« J’ai touché ton estime peut-être ? »
lui dis-tu alors qu’il se dirige à nouveau vers ta poitrine, carnation à sa limite, le lait perdant peu à peu sa couleur. Tu ne regardes plus les marques qu’il te laisse, tu ne les comptes plus, tant pis.
Tu apprécies simplement le moment, Et surtout ce qu’il arrive à te faire.
Mais le masque de femme fière tombe rapidement après ça, bien trop perdu dans les méandres de la luxure. Chaque geste, chaque mouvement, comme s’il avait calculé parfaitement ce dont tu as besoin pour perdre pied et te donner entièrement à quelqu’un. C’est rare, mais ça arrive ; et tu te laisses volontiers manger par le loup. Alors soudainement ta chanson change, devient plus profonde, nettement plus sensuelle lorsque les notes quittent tes lèvres ; et tes ongles plantés dans son dos se font plus insistants.
Tes jambes tremblent, Ton regard est suppliant, lubrique.
Tu récupères ce visage entre tes mains, détestable et en même temps, terriblement attirant. Tu le force à te regarder, le force à supporter ton appel à l’orgasme, comme si le précédent n’avait pas suffit à te calmer.
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Léo N. Abberline
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Léo N. Abberline
Ven 31 Mar - 23:31
@misfit
we don't have to dance
Ça l’amuse de jouer avec les nerfs du brun, croit toucher une corde sensible alors qu’il n’attendait que son grain de sel pour venir s’amuser un peu plus simplement avec la rose. Il n’est pas tendre, non prend ce qui semble être à lui pour la nuit, dévore sa partenaire autant dans son fondement que dans la luxure ivoire. Le brun goûte à chaque parcelle offerte par la douce, laisse quelques marques ci-et-là, alors qu’elle reprend ses attaques sur son dos déjà meurtri par la vie. Il se moque bien de ce qu’elle pense, n’a aucune estime à gaspiller dans ce jeu-là, parce que la seule raison qui le pousse à rester n’est pas l’envie de faire ses preuves ; non, il veut donner de sa personne pour une nuit, se rappeler ce que ça fait d’être vivant et de ressentir un truc avec quelqu’un. C’est ce qui anime Léo, le fait de se sentir en connexion avec une personne, le temps d’un instant, avant que tout ne s’évapore, rester sur un bon souvenir avant que ça ne se dégrade.
— Si tu penses toucher quoi que ce soit, t’en es loin ma belle.
Le Britannique n’y va pas de main morte avec la rose, plante les crocs là où les épines ne s’y prêtent pas, risque sans doute de s’y piquer par mégarde, mais il s’en moque. Les ongles laissent place à la caresse de ses mains sur le visage du brun, alors que la mélodie semble avoir changé. Son regard lui confirme ce qu'il a entendu, elle n’est pas loin de craquer, seconde fois de la soirée où le brun marque un score, il ne met pas longtemps à la rejoindre. Finalement déjà bien épris par la situation depuis qu’il l’a mise en bouche, il n’a pas fallu longtemps pour que leurs corps se rejoignent en écho, que la volupté soit consommée à deux.
— Alors, j’ai le droit à quelle note, madame ?
Clin d’œil et sourire arrogant affiché sur son visage, il est fier de lui, fier d’avoir réussi à chambouler sa partenaire une seconde fois ce soir, d’avoir pu lui montrer les plaisirs de la nuit. Il se retire doucement, glisse aux côtés de la jeune femme en s’allongeant sur le lit. Le souffle encore un peu court, il garde ses blagues pour après.
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Felicy Doughall
Lun 3 Avr - 22:45
@dogs___teeth
Il te répond, mais tu n’entends plus rien. Il n’y a plus que les sensations qui t’importent, dont celle que tu effleures presque, celle qu’il te propose et t’accordera peu de temps après. Vos regards qui avant se toisaient ne font maintenant que se comprendront ; dans un autre contexte ça en serait presque romantique, mais il ne s’agit là que d’une entente marquant la fin de votre rencontre fortuite.
Des traits de visage crispés rejoignent la quémande de tes yeux, et c’est ensemble que vous rompez ce lien éphémère.
Tu retrouves la fraîcheur de ta chambre lorsqu’enfin il se sépare de toi et s’allonge à tes côtés. Difficilement tu reprends tes esprits, frissonne, halète. Mais tu reprends assez d’esprit pour attraper ta couette et la remonter à toi, offrant quand même un morceau au brun.
« Mademoiselle. »
le reprends-tu.
« Tu me parle comme si j’avais dix ans de plus que toi et que j’étais mariée, pitié. »
Ew, no.
« Cela dit. Pas mal. »
finiras-tu par lui dire en couvrant ta poitrine avant de te tourner vers lui. Clairement tu n’as rien à redire sur ce qu’il venait de te faire, tu pourrais presque en redemander à vrai dire.
« Peux mieux faire, pas assez pour récupérer tes étoiles. Mais trois sur cinq c’est déjà bien, tu devrais t’estimer heureux. »
Encore une fois tu ne diras pas le fond de ta pensée, tu es trop fière et ce n’est de toute façon pas nécessaire. Vous ne vous croiserez plus et, même si ça venait à arriver, vous ne partagerez plus de draps ensemble. C’est ta règle, celle que tu t’impose avec ceux que tu ne connais pas, peu sont ceux qui arrivent à avoir un pass là-dessus. Ton meilleur ami, oui. D’autres acteurs, le peu de fois où tu filmes en duo… M’oui, c’est à peu près tout le monde.
Vous discuterez encore un petit temps avant que tu ne t’endormes, fatiguée par la soirée et les événements inattendus. Une soirée, finalement, pas si ruinée que ça.
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Léo N. Abberline
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Léo N. Abberline
Mar 4 Avr - 0:49
@misfit
we don't have to dance
Les souffles finissent par reprendre un rythme plus régulier, moins effréné. La nuit s’est déroulée sans encombre, leur a permis de partager une union éphémère, ils n’ont pas pu se permettre de faire moins que de leur mieux, parce que ça n’arrivera pas deux fois, qu’il fallait son partenaire, peu importe le temps que cela durerait. Alors oui, le brun a décidé de faire plaisir à la rose, de prendre son dû par la même occasion, de la faire danser d’une manière que la boite de nuit dans laquelle ils se sont rencontrés aurait réprouvée. Non, il ne s’est pas embêté des détails, n’y est pas allé de main morte à part dans leurs discussions, sentant qu’il n’y avait aucune animosité réelle envers elle. Elle était en colère, pourtant il a réussi à lui insuffler une mélodie nouvelle, les cris n’étaient plus les mêmes, les corps se sont échauffés et la luxure a été consommée dès qu’ils en ont eu l’occasion. Le brun a trouvé ça curieux que l’incendie s’arrête, qu’elle l’invite chez lui, qu’ils décident de renverser les draps, mais c’est le jeu. L’alchimie ne concorde pas forcément avec la relation que deux êtres entretiennent, aucun plaisir ne semblait être possible, mais leurs visages respectifs ont prouvé le contraire. Le corps du Britannique rejoint celui de sa camarade, s'allonge à ses côtés après avoir de nouveau demandé sa note, le sourire toujours fermement accroché à ses lèvres. La rose ne peut pas s’empêcher de le reprendre, de lui faire comprendre qu’elle n’est ni bonne pour la casse, ni déjà prise par quelqu’un. Ça l’amuse, parce que la question ne se pose pas, il suffit de la regarder pour savoir et il le sait très bien, de toute manière ça n’a pas d’importance, demain ça sera de l’histoire ancienne, il n’aura plus besoin de se demander si madame ou mademoiselle est le plus approprié pour parler de sa partenaire.
— Si ça peut te faire plaisir, mademoiselle, donc.
Le sourire en coin ne cesse pas, il laisse sa main retrouver la cuisse de la jeune femme, alors qu’elle lui annonce que sa note n’a pas changé, lui dit qu’il aurait pu faire mieux. Il n’en dit rien, récupère le bout de couverture qu’elle lui a laissé pour se glisser en dessous.
— J’aurai juré que tes cris valaient au moins un quatre, les voisins seraient d’accord avec moi.
Ne sachant pas trop ce qu’il pouvait en être des contacts après leur nuit d’amour, il retire délicatement sa main, la laisse tomber près de son corps, l’observe quelques instants, le temps qu’elle s’endorme, la conversation laissée en suspens. Sacré bout de femme.
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