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don't bleed on my floor ft. léo
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Felicy Doughall
Felicy Doughall
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Felicy Doughall
Lun 12 Juin - 10:59
@dogs___teeth

told my roommate
to not let you in
but
you're
so damn good with
a bobby pin

La vérité Felicy, c’est que tu n’aimes pas parler d’avant.

Comme tu as pu si bien lui dire, et comme tu le penses sincèrement, les obstacles de la vie sont là pour quelque chose et nous devons les affronter comme il se doit. La façon dont une personne en vient à bout est ce qui compte vraiment dans l’équation, pas le résultat final… Une défaite n’est pas mauvaise, une réussite pas forcément le but que l’on voulait atteindre.

Mais tu n’aimes pas y repenser.
Le passé, les choses que tu as vécu avant de t’émanciper, tu ne les chéris pas plus que ça.

Alors tu te gardes de parler pour le moment. Tu sais bien que tu n’es pas forcé à le faire même si la discussion s’y prête. Au lieu de ça tu clos une nouvelle plaie, laisse ton partenaire observer le travail que tu viens d’effectuer sur lui, à lui de te remercier de la part de sa tatoueuse.
« J’en ai aussi, et je sais que le mien ne m’aurait pas pardonné non plus. »
dis-tu avec un petit clin d'œil et un sourire amusé. Tu ne penses pas qu’Helios t’aurait engueuler, il n’est pas comme ça, mais ce n’est jamais drôle de voir un travail pareil réduit en lambeaux.

Tu te déplaces de son bras jusqu’à son dos, plutôt heureuse d’avoir commencé par là où il pouvait te regarder au vu de comment la discussion coule… C’est peut-être un point que vous avez en commun ; votre vie d’avant est un de vos points faibles. Contrairement à lui, pour toi c’est un sujet tabou et tu n’aimes pas le dévoiler à la légère. Il s’est ouvert à toi, tu peux en faire de même, mais ce ne sera pas sur la même note.

Tes yeux se posent à nouveau sur ses cicatrices.
Il a vécu bien pire que toi,
alors pourquoi c’est toi qui a la boule au ventre ?

Et tu piques.

« J’ai presque entièrement coupé les ponts avec mes parents. »
dis-tu rapidement, comme si tu retires un sparadrap, histoire de poser la base de ton futur.
« Je me suis toujours bien entendue avec eux jusqu’à ce qu’ils divorcent. Je devais avoir six ans ? »


Ironiquement parlant, six ans est un bel âge pour voir ses parents subirent un divorce. On comprend moins bien mais on s’adapte bien plus vite… Ça n'a pas été ton cas, car tu as entièrement fait partie de cette rupture. Tu as vécu chaque dispute, chaque réconciliation, tous les moments où ta mère a finalement foutu ton père à nouveau à la porte, toutes les fois où il t’a dit que de toute façon elle reviendrait car elle n’a rien pour elle et il lui a tout donné.

Une fois que le divorce eut été prononcé ; tu perdras le rang de priorité à leurs yeux, chacun se remettant à vivre sa vie comme bon lui semble, te laissant assumer seule la charge de la maison de ta mère qui avait ta garde. Très rapidement tu deviens adulte, bien plus vite qu’il ne l’aurait fallu, gâche une bonne partie de ton enfance à faire le ménage, travailler pour t’assumer et pour plus tard partir de cet enfer.

« On peut dire qu’après ça ils m’ont abandonné. Pas au sens propre, j’habitais chez ma mère, mais je n’étais plus vraiment une priorité pour elle comme pour mon père. On peut dire que je n’ai connu leur amour que jusqu’à six ans, après c’est le néant. »


T’as trimer, t’as commencé assez tôt à vendre ton cul sur internet, arborant pour la première fois ta chevelure rose. - Tu n'annonces jamais l'âge auquel tu a commencé, sinon tu attises la pitié. - T’as toujours était une gamine mignonne ; de grands yeux bleus océans au-dessus de quelques légères tâches de rousseur à peine visibles, plutôt grande et la peau de lait. Forcément tu faisais un tabac. Ça a été un peu pour toi une façon de reprendre le dessus sur ta vie, prendre le contrôle et attraper un peu d’affection là où tu pouvais en trouver. Les compliments sont bons à prendre quand on ne connaît pas ça et on y prend vite goût.

« J’ai trimé pour gagner mes premières thunes, me payer un appart et mon école vétérinaire. On apprend assez là-bas pour n’avoir qu’à être assez intelligent pour comprendre qu’entre un chien et un humain il n’y a pas tant de différence dans la manière de faire. Je n’ai eu qu’à m’intéresser aux nouvelles technologies ; et me voilà. »


Une chose que les gens ne savent pas, c’est qu'à plusieurs reprises tu as voulu abandonner ton école. Plusieurs fois tu t’es dit que ce n’était pas la peine, que tu n’y arriverais pas, que si tes parents ont réussi à te tourner le dos alors le reste du monde le peut également.

Avant qu’un jour tu ne comprennes que tu n’avais besoin que de toi.
L’amitié, l’amour, ça vient et ça repart ; tu es la seule qui compte.

« Et crois-moi, que thune et indépendance soit écrit sur mon front, c’est une fierté. »


La vérité, c’est que tu as un peu peur de l'abandon.
Mais ça, même toi tu ne le sais pas.
(c) kitty from the moon
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Léo N. Abberline
Léo N. Abberline
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— Quelques pièces
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Léo N. Abberline
Ven 16 Juin - 16:37
@misfit
don't bleed on my floor
Le rapiéçage s’est déroulé sans soucis, bien qu’il n’imaginait pas que la conversation tournerait dans ce sens, alors tôt ou tard elle finit par s’arrêter, le fil de fer terminant sa course par la même occasion. Ils auraient pu en rester là, mais la curiosité du brun a pris le dessus et parler de tatouage ne le satisfait pas assez. Ça l’amuse qu’elle parle de ça comme s’il n’était pas au courant qu’elle en a plein le corps, il l’a vu, a dévoré l’encre et le lait de sa peau, n’oubliera pas de sitôt les pivoines qui sied si bien au galbe de sa poitrine, l’image est gravée dans sa tête et dans son téléphone. Pour des raisons évidentes, il ne l’a pas gardée en fond d’écran, parce que quand bien même il trouve ça extrêmement sexy, il n’imagine pas que donner de l’importance à ce genre d’images alors qu’il ne veut rien de plus soit la bonne tactique à adopter.

— Imagine seulement l’état dans lequel ça serait si t’avais été à ma place. J’aurais un avis de recherche pour dégradation d’œuvre d’art.

Il omet de dire que lui a l’habitude, qu’une de plus ne changera pas réellement son propre tableau, elle ne le voit que trop bien. Après un bref clin d’œil et ce sourire qui en ferait tomber plus d’un, elle se glisse dans son dos, lui se tourne un peu pour lui donner un accès plus simple. Les nerfs n’indiquent plus grand-chose, pourtant il sent l’aiguille traverser sa peau, la rigueur avec laquelle elle s’applique, alors qu’elle ne prend pas autant de temps pour expliquer le déroulement de sa vie. Pourtant le brun tique, à la manière dont elle semble dire ça avec désinvolture, pourtant le son de sa voix montre qu’elle le prend bien plus à cœur qu’elle ne veut bien l’admettre. Il trouve ça assez ironique pour quelqu’un qui disait qu’il fallait savoir vider son sac quand il est nécessaire ; il n’est sans doute pas la personne la plus appropriée avec qui elle voudrait parler de ça.

Le parcours n’a pas été simple et il imagine sans mal qu’il n’aurait pas survécu de la même manière s’il avait occupé le sien, parce que la seule chose qui l’a tenu en vie c’était sa mère, l’amour qu’elle lui donnait et celui de sa sœur avant qu’elle ne disparaisse. Finalement, plus personne n’est vraiment là, ça ne sera jamais pareil, quand bien même Faye est de retour dans sa vie, il est passé par des étapes qui l’ont forgé. Les carapaces sont différentes, mais se ressemblent étrangement. Dans une vie passée, ils auraient pu s’entendre, s’entraider, pourtant ça n’est pas comme ça que les choses se sont déroulées ; maintenant adultes les sentiments ne travailleront jamais plus de la même manière.
Elle lui explique comment elle en est arrivée là, les études de vétérinaires alors qu’elle galérait à se faire un peu de thunes et à obtenir son appart, comment elle a réussi à passer des animaux aux êtres vivants. La merde il la connaît bien, vit encore plus ou moins dedans chaque jour, se demande encore régulièrement s’il ne se fera pas éjecter de son appart en arrivant chez lui, mais ça fait partie de la vie. Il ne sait pas comment lui répondre, être fier serait déplacé, être triste ne serait pas l’aider ; le cul entre deux chaises, mais elle accepte volontiers d’être la représentation même de la self-made-woman qu’elle est aujourd’hui.

— Pas que sur ton front, si ça peut te rassurer. Finalement, c’est lui qui est gêné d’en avoir entendu autant, mais il ne veut pas le montrer. Tu transpires le succès, t’as réussi à grimper à l’arbre alors que les branches étaient creuses, c’est admirable.

Après réflexion la féliciter était le plus logique, parce que s’attarder sur ce qui fait mal n’est pas bon pour tout le monde. Pour certains ça fait plus de dégâts que ça n’aide réellement à rebâtir l’essence de qui on est, le Britannique ne le sait que trop bien ; ne va pas pousser le vice au point de savoir de quel bois elle est faite sur ce point-là.

— Maintenant, j’ai encore plus de mal à comprendre comment t’as fait pour rencontrer l’autre empaffé de rouquin. Vous avez rien en commun sinon l’aisance financière ; et encore il ne l’a pas mérité, lui.

Il soupire, parce que ça le tiraille toujours un peu de savoir dans quoi il l’a embarquée la dernière fois, de la chute qu’elle aurait pu vivre par sa faute s’il n’avait pas réussi à gérer la situation comme il se devait. Heureusement, elle ne voit rien, n’aperçoit pas le nez froncé qui se dessine sur son visage, pourtant sans réellement le savoir ses épaules se contractent légèrement. La colère ne saurait décroître par rapport à cet événement et il n’a pas encore eu l’occasion de le revoir pour lui remettre les idées en place. Le chauffard préfère se cacher, n’a pas daigné pointer son museau depuis ce fameux soir, sans doute parce qu’il sait ce qui l’attend quand ils se croiseront de nouveau. Ça ne servirait à rien de lui expliquer ce qu’il a prévu de se faire, après tout, qu’est-ce que ça peut lui foutre, il ne fait pas ça pour elle, n’a pas prévu de la revoir, à quoi bon se prendre la tête.
who let the dog out?


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Felicy Doughall
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Felicy Doughall
Dim 16 Juil - 23:23
@dogs___teeth


 
« T’aurais quelques personnes à tes trousses en plus de mon tatoueur, mais ça c’est une autre discussion que nous n’aurons pas aujourd’hui. »
lui as-tu dit avant de te cacher dans son dos.

Ce n’était pas prévu que tu balances ta vie comme ça.
Et surtout pas à lui.

Tu comprenais petit à petit pourquoi il avait tendance à titiller tes nerfs ; eux qui sont déjà facilement irritables. L’audace, le bec un peu trop ouvert. Beaucoup de choses qui te tapent sur le système, un caractère pas commun que tu n’as jamais croisé ; un boulet à la cheville dont tu n’arrives pas à te débarrasser. Mais le garçon a quelques qualités que tu ne peux pas nier et les rencontres par hasard forgent l’amitié, il n’est pas le petit con que tu as rencontré en boite la première fois, il est bien plus que ça. Bien plus qu’un simple coup d’un soir, bien plus qu’une rencontre fortuite.

Malheureusement, pour une des premières fois depuis longtemps, tu n’arrives pas à accepter les compliments qu’il te fait. L’heure n’est pas vraiment aux strass et aux paillettes, tu abandonnes les façades de femme fatale, laisse les coeurs s’ouvrirent entre deux coups d’aiguille. Car il venait quand même de t’annoncer le début de sa vie loin d’être celui d’un conte de fée, la violence à répétitions de son père et le décès -si ce n’est meurtre- de sa mère ; et toi tu pavanes ta gloire et ton succès. Bizarrement peu à ta place soudainement, une nouvelle fois le merci n’est pas sur la table, mais plus pour les même raisons.

« C’est aussi une autre discussion. Weasley est une connaissance de longue date, on peut dire qu’il nous arrive de travailler ensemble. En échange de quelques billets et de publicité je fais en sorte qu’il puisse être bien accompagné. »


Bien que dernièrement les idées du roux étaient ailleurs. Le trop-perçu de confiance chez certains provoque une grande aisance il faut croire.

« Peut-être que maintenant que tu es dans cette pièce tu vois pourquoi je cherche constamment des nouveaux contacts, qui plus est dans les évènements un peu dangereux. Si mes clients ne se mettent pas en danger, j’ai plus rien à réparer. Si je ne touche pas ceux qui n’ont pas froid aux yeux, je n’installe jamais rien de nouveau. »


Ta phrase se termine sur un dernier nœud.

Tu te lèves en emportant ton matériel, jette le nécessaire et place le reste sur le plan de travail en attendant d’être lavé et désinfecté.
« Comme il est tard
-dis-tu en regardant l’heure-
je vais te mettre des bandes pour protéger les fils, histoire que ça se prenne pas dans tes draps au moment de dormir. »


Aussitôt dit, tu attrapes les bandes et te rapproche de lui pour soigneusement l’emballer. « Retire les demain matin pour laisser tes plaies respirer, plus elles seront enfermées moins vite elles cicatriseront. Et dans deux semaines tu te feras retirer les points. »

Tu ne t’inclus pas dans l’équation.
Tu veux quand même garder ta nonchalance face à lui.

Et puis tu fais déjà ça à l’oeil, pas besoin de lui faire un suivi complet.

« Et… Voilà ! »
dis-tu en coupant le surplus de bande.
« Un beau brun comme neuf. Enfin presque, mais je fais pas de miracles et encore moins quand je fais ça gratuitement. »


Et maintenant quoi ?
Tu vas le renvoyer chez lui alors que le sort s’acharne à croiser vos routes ? Comme s’il ne s’était rien passé, comme vous ne veniez pas de vous raconter vos vies ?

« Pour lui… »
dis-tu en te rapprochant du chien.
« Il va rester en observation avec moi ici cette nuit. Je n’ai pas le choix, je dois avoir de quoi travailler s’il fait une chute de température. Demain je l'emmène chez moi et le temps de le remettre sur trois pattes on lui trouvera une famille. Il est jeune, c’est étonnamment un chien de race, j’imagine déjà le nombre de demandes d’adoption que je vais recevoir. »


Tu retires tes gants, les jette, fouine une nouvelle fois dans tes placards pour en sortir d’autres couvertures, cette fois-ci pour toi. Ce n’est pas la première fois que ça arrive, sûrement pas la dernière, alors tu avais prévu ton petit stock de survie au cas où.

« Je peux te donner des nouvelles de temps en temps, si tu veux. De lui, bien entendu. »

(c) kitty from the moon
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Léo N. Abberline
Léo N. Abberline
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Léo N. Abberline
Jeu 20 Juil - 17:09
@misfit
don't bleed on my floor
C’est difficile à dire, mais elle l’intrigue plus qu’elle ne le devrait, plus qu’il ne l’aurait attendu, parce que son histoire est loin d’être aussi lisse que celle qu’il a imaginée de son côté. Alors oui, les cicatrices du temps n’apparaissent pas aussi facilement que celle du brun, parce que son corps est marqué de part en part, faisant écho à sa vie, là où elle n’a gardé des traces que dans la tête. Elle n’a pas l’air d’être enjouée par les compliments, sans qu’il ne comprenne réellement pourquoi, ne répond que très vaguement par rapport à Weasley, comme si la conversation finissait par la mettre mal à l’aise. Finalement il n’a pas fallu grand-chose pour faire les connexions avec ce qu’il savait déjà, elle récupère des contacts et de la thune pour parader avec lui, mais il a toujours du mal à comprendre pourquoi ce type-là.
Les poings se serrent, l’aiguille fait encore son bout de chemin, pas bien douloureux, mais la colère l’emporte, l’envie de faire bouffer le bitume à l’autre enfoiré. Le Britannique a encore du mal à se l’avouer, mais il l’apprécie sincèrement, trop habitué à éviter de nouer des contacts sur le long terme, parce que ça fait peur, ça fait faire des erreurs, mais tous deux jouent avec les mêmes règles. Qu’est-ce qui pourrait arriver de mal ? Il l’apprécie et ça le frustre de l’imaginer pavaner bêtement pour un type qui l’a percuté et a tenté de poser ses sales pattes sur elle.

Elle explique ce qu’elle entendait le second soir, quand elle expliquait chercher des numéros et surtout des clients, presque déçu qu’elle ne soit pas mécanicienne en supplément et elle aurait touché à tout ce qui intéresse n’importe quel gangster. Il hoche bêtement la tête, acquiesce à ce qu’elle a à dire, tout fait sens et il ne remerciera jamais assez le ciel d’être tombé sur sa route, compte tenu du nombre de fois où il a besoin de se faire réparer, peut-être qu’elle a des plans plus intéressants que ceux qu’il a déjà, sait-on jamais.
L’infirmière quitte le dos du jeune homme et ses gants, mais pas le rôle, continue de lui expliquer comment va se dérouler le reste de l’affaire pour ses points de suture. Évidemment, elle laisse sous-entendre qu’il est maintenant de trop, mais elle est épuisée, lui non et il imagine sans trop de mal que quelqu’un devra surveiller l’état de l’animal. Alors oui, elle tente de lui faire comprendre qu’il devra tôt ou tard rentrer chez lui, mais ça n’est pas pour tout de suite, pas avant que l’animal soit complètement sorti d’affaire, que tout ça ne soit pas ruiné.
Le corps finit par être emballé dans les bandes de tissus pour cacher les blessures, beaucoup trop d’encre et protéger de l’infection. Les cours de médecines continuent, elle prend soin de lui donner toutes les explications, probablement récitées presque par cœur à force de conseiller ses clients. Elle le complimente enfin, s’excuse presque de ne pas avoir fait un travail d’exception, mais il n’a clairement pas à se plaindre, ne s’est jamais fait prendre en charge de la sorte ; pourtant il a patienté quelques heures les plaies à vif avant qu’elle ne s’occupe de lui.

— Pas besoin de s’en faire, c’était déjà un modèle d’occasion. En tout cas, merci.

Il se frotte l’arrière du crâne après avoir enfilé de nouveau son t-shirt, délaisse son sweatshirt à capuche qui n’est que tissu déchiré imbibé d’hémoglobine. Le moment est un peu gênant, aucun des deux ne sait vraiment sur quel pied danser après tout ça, parce qu’ils ont partagé pas mal de choses l’un sur l’autre, finalement alors ça serait étrange de juste disparaître sur le champ. Elle tente de faire la conversation, de donner tous les tenants et aboutissants de ce qui va être mis en place pour le rescapé toujours endormi en boule dans ses couvertures. La rose confirme ce qu’il craignait, elle va devoir veiller sur lui toute la nuit et après tout ce qu’elle a déjà donné, ça le frustre un peu d’entendre la suite, de savoir qu’une famille d’inconnus finira par prendre soin de l’animal.
Après tout ce qu’ils ont vécu ensemble en l’espace d’une après-midi à peine, de toutes les angoisses par lesquels le brun est passé, quand bien même il n’a aucun lien avec le shiba inu. Alors ouais, ça lui fend le cœur de ne pas être capable de dire tout de suite qu’il veut le garder, car l’argent vient toujours à manquer et même s’il ne s’opposerait pas à l’idée de vendre un rein pour prendre soin du chiot, il sait que ça n’est pas une bonne idée. Le Britannique accuse doucement le coup, les lèvres légèrement pincées, relâche les épaules quand elle lui dit qu’elle lui donnera des nouvelles, ne manque pas de préciser qu’elle ne parle pas d’elle-même.

— Dommage. J’aurais toujours le bout de chou pour me réconforter.

Un léger sourire apparaît finalement sur ses lippes, amusé de lui-même, parce qu’il ne se plaindrait pas de recevoir autre chose que des partages de position GPS, de parler avec elle, sincèrement, sans aprioris ou ambiguïté. En attendant, il commence à se faire tard, le temps du rapatriement et de la réparation a été long, l’estomac commence à réclamer récompense. Il ne perd pas de temps, glisse les doigts sur l’écran tactile de son smartphone, sur une application de livraison, le tend à la jeune femme.

— La nuit va être longue. Prends ce que tu veux.
who let the dog out?

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