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  1. Nous sommes le 28/12, TIME LIMIT ouvre officiellement ses portes ! Vous pouvez dors et déjà vous inscrire, débuter la création de votre personnage et nous rejoindre sur le discord ! Avec ceci nous vous annonçons que 4 prédéfinis et 3 scénarios sont disponibles, chacun avec leur lot d'avantage, n'hésitez pas à aller y jeter un coup d'oeil !
    28/12/22
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LUMOPOLIS
2047
Anciennement Las Vegas ▬ Nevada, États-Unis d’Amérique. Les mégacorporations dominent la vie citoyenne et politique tandis que la population goûte les joies des améliorations cybernétiques et autres modifications corporelles. Livrés à vous-mêmes dans la ville de tous les plaisirs, vices et excès vous pouvez ici vivre ; et surtout être tout ce qui vous fait envie !

Bienvenue à Lumopolis, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ou préférez-vous regarder des hordes d’Icares se brûler les ailes ?
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Bienvenue à Lumopolis en 2047, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ?
 
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[TW - Violence, PTSD] Dans la cage aux fous ft. Clyde
Magnus Werner
Magnus Werner
Popularité : 45000
Gif : 'Twas los, schlampe?
Onyx : 261
Occupation : Con artist
Faceclaim : Loid Forger — SpyXFamily ; Ryan Gosling
Pronoms : Whatevs
Trigger Warning : None
Double Compte : ////
Upgrades & Inventaire : Copycat Biométrique
Prothèses de combat
Magnus Werner
Mer 19 Juil - 1:45
@Kaiserr
Lumopolis, Nevada
Juillet 2047
Dans la cage aux fous

On y danse, on y rit



Lumopolis est sombre, aujourd’hui. Avec l’été arrivent des jours étranges, où l’écrasant soleil du Nevada appuie au travers d’une épaisse couverture nuageuse la chape de plomb qui caractérise l’un des –ô combien rares !épisodes d’humidité.
D’un vieux modèle germanique monte une fumée blanchâtre. Les gouttes de rosée perlent et s’évaporent sur l’antiquité teutonne. Ah, et Magnus se grille une cigarette, aussi. Il jette son mégot à la poubelle. Un regard vers la tour de verre, d’acier et de béton qui le domine. Laisse ses émeraudes tomber ; s’accrocher à la plaque en minerai doré par anodisation où se dessinent les lettres « Clyde Porter, MD ». L’autrichien quitte la moto sur laquelle il était adossé jusqu’alors, et Pavel Kalka s’engage dans le hall d’immeuble.

L’inconvénient d’emprunter une identité aussi documentée que celle de feu le polonais, c’est qu’il faut respecter les obligations d’un défunt. Pour ne pas alerter les autorités. Pour qu’on n’appelle pas ses proches, en demandant pourquoi leur cousin mort il y a plus de cinq ans a –encore- raté un rendez-vous. Rigueur teutonne oblige, le blond est en avance de dix minutes.
Il s’installe patiemment dans la salle s’attente après s’être annoncé.
Kalka pénètre dans le duplex et change d’époque. Entouré des longs et froids monolithes émulés par le bois sombre. Les quelques touches de couleur, d’or, de fantaisie et de culture qui percent l’écorce sombre de leurs reliures et leurs lettres gravées. Passant un doigt distrait sur la bibliothèque ; Magnus chasse, avec les grains de poussière récoltés, les souvenirs d’un salon perdu au milieu du Tirol. L’autrichien ne peut s’empêcher –malgré la rupture de jeu d’acteur que c’est, de décortiquer la collection d’œuvres qui lui fait face.
Psychologie, psychiatrie, économie, sociologie… Kalka trouverait une telle débauche d’érudition inutile. A la limite de l’orgueil ostentatoire.
Magnus, lui, n’arrive pas à dissimuler son enthousiasme devant une anthologie de cas de survivants miraculés. Un ouvrage qu’il a lui-même longuement étudié. Car pour capturer une bête acculée, il faut la comprendre.

De l’autre côté du mur, les sons de pas qui s’approchent de la porte. Magnus passe une main virulente dans ses cheveux, ébouriffe cette tignasse blonde et ouvre le deuxième bouton de sa chemise grise. Kalka fourre les mains dans les poches de son jean et remonte légèrement les épaules. C’est donc d’un air bourru, avec l’expression d’un père que l’on force à chaperonner la la soirée films à l’eau de rose de sa fille, que Pavel salue son thérapeute.

« -Bonjour, Mr. Porter ! », commence le blond avant de se reprendre. «  -Mr ? Dr ? Votre Excellence ? Je sais jamais comment appeler les médecins. », plaisante le polonais et son –factice- accent à couper à la lame de combat en céramique.
Il tend à son interlocuteur une main calleuse, bien que visiblement soignée ; et un sourire. L’œil trop rieur, pour un homme au regard si dur. Les lèvres fendues en un rictus qui voudrait s’étendre. Encore et encore, jusqu’à recouvrir le Monde et lui bander les yeux, soustraire à sa vue les horreurs qui s’imposent à la sienne, dès lors qu’il se complaît à vivre sereinement.

« -Merci de m’avoir reçu si vite, j’ai dû changer de thérapeute précipitamment. » Forcément, il a dû faire disparaître l’autre. Une psychologue accro aux jeux d’argent et qui en devait trop à trop de Monde. Ils ont fini par engager Kaiserr, sans savoir qu’il se faisait passer pour un de ses clients. La police a crû, bien évidemment, à un crime passionnel. Ils n’ont même pas vérifié que la dame était effectivement morte, et n’avait pas simplement simulé sa mort en aspergeant de son sang partout dans la pièce, et complété avec des poches synthétiques.
Quel pactole il avait empoché ! Payé par la pègre ET par sa cible, une vraie affaire.
Mais du coup, la psy facile à manipuler tant qu’on agitait de l’argent devant elle n’est plus en Amérique. Il faut donc quelqu’un d’autre pour corroborer l’existence de Kalka.



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Clyde A. Porter
Clyde A. Porter
Popularité : 15000
Gif : Gif de Cliff Unger, personnage de Death Stranding, qui fume une cigarette
Onyx : 102
Occupation : Psychiatre & Chargé de surveillance
Faceclaim : Mokutarou Kikuta - Golden Kamui || ft. Mads Mikkelsen
Pronoms : He/Him || Il/Lui
Trigger Warning : No consent || Clowns
Double Compte : ////
Upgrades & Inventaire : — Piratage sans limite [WALLS HAVE EARS]
— Ouïe surdéveloppée

— L’équivalent très moderne d’un couteau-suisse modulable qui dispose de son propre mini teaser en cas d’urgence
— Des clopes, beaucoup de clopes
— Un poignard cranté américain de 31,5cm d’époque
Clyde A. Porter
Mer 19 Juil - 21:46
@paradise_lost_
Dans la cage aux fous. || ft. Magnus


« Bon … Celui là il va falloir le surveiller. Oui, oui je suis au courant. L’inverse serait étonnant. Je sais encore faire mon travail, évitez de sous-entendre l’inverse mmh ? Bien, je compte sur vous. »

Clyde raccroche le petit téléphone portable qu’il tient dans sa main. Il sort ensuite de son tiroir de bureau une boîte, un simple dispositif de cage de faraday ; simplissime mais encore très efficace et pratique malgré la prédominance de la technologie actuelle. Il place le téléphone à l’intérieur puis le recouvre avant de refermer hermétiquement. Il se lève ensuite rapidement pour se diriger vers un coffre-fort bien dissimulé et impossible à discerner ; et il le sait puisque si ça n’était pas le cas, cela fait bien longtemps qu’il ne serait plus en vie. Il referme le tout avant de soupirer et de poser son front contre le mur. Fatigué ? Non, plutôt agacé d’être entouré d’idiots perpétuellement en train de remettre en question ses moindres demandes.

Les humains sont épuisants, pas parce qu’ils sont brillants ; au contraire leur stupidité ne cesse de surprendre Clyde. Mais c’est ainsi, lui-même fait partie de cette masse grouillante qui tue petit à petit tout ce qui l’entoure alors il n’a pas l’impression d’avoir le droit de se plaindre plus que ça. Au téléphone, c’était un de ses … « employé ». Quelques mots à échanger, quelques points à remettre sur les « i ». Et ça ne pouvait attendre, puisque son client sera là d’une minute à l’autre. Il prend quand même quelques instants de ce temps précieux pour sortir une cigarette qu’il fume en s’installant près de la fenêtre. Il sait pertinemment que ce n’est pas la première fois qu’il doit faire face à un élément dangereux ; ça n’en reste pas moins barbant et agaçant. Cet homme, ce « Pavel Kalka ». Lorsqu’il l’a contacté et qu’il a commencé à fouiller, ce qu’il a trouvé était … Très révélateur.

Un player et pas le genre de player qui rejoins D-VICE pour se faire mousser. Enfin, pas uniquement. Pavel, un nom comme un autre pour cacher son identité. Ce player, c’était un véritable caméléon, se dissimulant derrière de nombreuses identités pour s’échapper par les quelques fissures présentes dans la machine bien huilée qu’est D-VICE. Clyde continue de tirer sur sa cigarette, le regard fixé sur l’horizon tel un oiseau de proie qui évalue sa cible. Sa capacité à passer d’une identité à l’autre était suffisamment remarquable pour ne pas être détectable par sa puce ; probablement une puce modifiée. Dangereux, mais puissant. Fort heureusement pour Clyde ce que la puce ne peut capter l’a été par les très nombreuses caméras qui traquent tout Lumopolis ; ses yeux en sont les témoins. Alors qu’elle ne fût pas sa surprise lorsqu’il a été contacté par un des nombreux alias de ce caméléon humain.

Il a accepté. Bien sûr, cela ne s’est pas fait sans peser le pour et le contre ; après tout cet homme est légèrement en marge de la société et cela peut lui donner un avantage dangereux. Mais il est hors de question pour Clyde de passer outre cette opportunité, celle de surveiller de près un player tout en rentrant dans sa tête. Tout bon caméléon qu’il est, il reste humain ; donc faillible. Clyde regarde sa montre, jette sa cigarette encore fumante par la fenêtre avant de se passer un léger coup de parfum. C’est l’heure.

Il descend les marches vers le salon qui lui sert à recevoir ses patients. Il le sent, il sait que « Mr Kalka » est déjà de l’autre côté de sa porte d’entrée. Il prend une légère inspiration, tire légèrement sur le haut de son costume afin d’en défaire les dernières pliures avant d’ouvrir la porte.

« Mr Kalka ?

-Bonjour, Mr. Porter ! -Mr ? Dr ? Votre Excellence ? Je sais jamais comment appeler les médecins. »

Clyde sourit et à cette occasion, son sourire chaleureux de psychiatre fait son grand retour. Parfait.

« Vous avez le droit de m’appelez comme vous le désirez, Mr Kalka. Mais si cela peut vous donner une indication, mes patients et patientes préfèrent m’appelle Mr Porter. »

Clyde voit la main qui lui est tendu et il la serre chaleureusement, souriant de nouveau. Il se fait une note mentale de se laver les mains au moins deux fois tout à l’heure, une fois la séance terminée. Il laisse son client entrer avant de refermer la porte derrière eux. D’un geste, il indique le canapé qui se situe de l’autre coté de la table basse, face au fauteuil qui sert à Clyde.

« Merci de m’avoir reçu si vite, j’ai dû changer de thérapeute précipitamment.

Aucun problème Mr Kalka. Je sais qu’il peut être difficile de trouver rapidement une place auprès d’un psychiatre, mais j’avais justement une place dans mon emploi du temps. »

Clyde se dirige vers le coin où il range de quoi boire.

« Est-ce que vous souhaitez boire quelque chose avant de commencer ? J’ai de l’eau et du très bon thé. »


Image & description du bureau de ClydeÉtage
Rez-de-chaussée
Son bureau est un duplex : à l’étage, il y a une petite pièce (environs 9m²) où se trouve son bureau, son ordinateur, les fichiers dit “sensibles” ainsi que d’autre chose bien cacher. C’est aussi l’endroit où il se met pour fumer entre deux sessions près de la fenêtre. Après avoir descendu un escalier en colimaçon, on trouve au rez-de-chaussée la pièce dans laquelle il reçoit ses patient.e.s mais aussi là où il garde tous ses livres accumulés depuis longtemps. La pièce fait environs 25m² et possède deux grandes fenêtres, ainsi qu'un petit coin kitchenette habilement camouflée par un pan de mur. En face du canapé se trouve un fauteuil issu de la même collection dans laquelle se tient Clyde pendant ses sessions. La déco est ce qu’on appelait “modern dark academia”, un peu passée de mode mais cela donne une ambiance calme, feutré et un peu cozy ce qui lui correspond.

Dormousse pour epicode

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Magnus Werner
Magnus Werner
Popularité : 45000
Gif : 'Twas los, schlampe?
Onyx : 261
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Prothèses de combat
Magnus Werner
Mar 8 Aoû - 16:49
@Kaiserr
Lumopolis, Nevada
Juillet 2047
Dans la cage aux fous

On y danse, on y rit

Les cordialités sont échangées. Il a l’air d’être lui aussi de la vieille école. Quelques recherches –et paiements à des amis aux relations douteuses- lui ont appris qu’il a en face de lui un vétéran. Ils semblent se rassembler à Lumopolis, ces derniers temps. Quelque chose dans l’atmosphère viciée de cette ville rassure ceux pour qui la mort est à la fois amante et menace. Alors, séparés par quelques mètres aux airs de champ de bataille, deux hommes un peu trop propres sur eux échangent. Peut-être pour oublier un passé qui les a salis. Magnus sourit intérieurement. S’assoit sur le canapé, soupirant faiblement. Kalka n’aime pas les présentations. D’autant qu’il se sait obligé de détailler la situation qui l’a amené à faire appel à un professionnel.

« -Je crois qu’il est temps d’entrer dans le vif du sujet… », commence un faux polonais hésitant. « -Faut y aller, quoi. » Il déglutit. En parler lui ramène toujours des souvenirs. L’embuscade, à Bandar’ Abbâs. Le mur qui éclate, projetant un morceau de tuyauterie décortiquer la jambe de Tsuchiya. Les appels désespérés de Neville, à la radio. Et Kalka qui empoigne le lance-roquettes. Lance le railgun du nippon dans les bras de l’autrichien. Le second tire, faisant voler en éclats l’armure de combat ennemie et les entrailles de son occupant. « -Je suis un vétéran des guerres des Sikhs. Neuvième bataillon de la force de pacification des Nations Unies. On était spécialisés dans… bref. » Kalka qui tire, faisant exploser le blindé ennemi. Le bourdonnement des VTOL de transport. Magnus qui accourt vers le polonais pour le féliciter. « -J’ai perdu tous mes camarades à Bandar’ Abbâs.  L’Iran a bloqué le Golfe Persique parce qu’on leur empêchait l’accès aux technologies de purification d’eau de mer. » Il le croyait appuyé contre les restes d’un bureau. « -Et aucun pays développé n’aime qu’on bloque le Golfe Persique. Tout le pétrole mondial transitait par là-bas. » Le polak s’était fait arracher les deux jambes par l’explosion initiale. Un projectile anti-blindage contre un mur en torchis, bordel. A croire que c’était une compétition de violations de la convention de Genève.

« -Du coup ; j’ai vu, vécu ; et fait quelques horreurs, ouais. J’ai l’impression… » Le faux polonais laisse sa tête tomber lourdement entre ses mains ; tente de ne pas se laisser submerger par des visions qui sont devenues ses plus fidèles compagnons. Quelques instants de silence. Un rire défait, étouffé par de larges paumes calleuses.

« -Je les entend encore me hurler de les laisser là. » Une chorégraphie étudiée des années durant. Un récit véridique, mais dont les détails larmoyants n’ont depuis longtemps plus aucun effet sur l’autrichien.

« -On m’a jugé inapte au combat, et depuis je suis obligé d’avoir un suivi psychiatrique. »
 


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