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  1. Nous sommes le 28/12, TIME LIMIT ouvre officiellement ses portes ! Vous pouvez dors et déjà vous inscrire, débuter la création de votre personnage et nous rejoindre sur le discord ! Avec ceci nous vous annonçons que 4 prédéfinis et 3 scénarios sont disponibles, chacun avec leur lot d'avantage, n'hésitez pas à aller y jeter un coup d'oeil !
    28/12/22
  2. Une nouvelle annonce est disponible ! Trois nouveaux scénarios et un prédéfini ont été ajoutés, ainsi que de nouveaux défis et upgrades. Pensez cependant à aller la lire pour pouvoir vos recenser avant le 9 avril en cliquant ici !
    26/03/23
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    26/09/23
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LUMOPOLIS
2047
Anciennement Las Vegas ▬ Nevada, États-Unis d’Amérique. Les mégacorporations dominent la vie citoyenne et politique tandis que la population goûte les joies des améliorations cybernétiques et autres modifications corporelles. Livrés à vous-mêmes dans la ville de tous les plaisirs, vices et excès vous pouvez ici vivre ; et surtout être tout ce qui vous fait envie !

Bienvenue à Lumopolis, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ou préférez-vous regarder des hordes d’Icares se brûler les ailes ?
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Bienvenue à Lumopolis en 2047, la cité-État où tout n’est que popularité : plus vous avez de followers, plus vous êtes puissants. Allez-vous courir après la gloire ?
 
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(end) [tw - drogue / sexe] we don't have to dance • felicy
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Léo N. Abberline
Léo N. Abberline
Popularité : 150000
Gif : (end) [tw - drogue / sexe] we don't have to dance • felicy Andy-biersack
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Occupation : vendeur dans un fast-food + dealer
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— Un portefeuille troué
— Quelques pièces
— Un téléphone portable
Léo N. Abberline
Jeu 2 Fév - 14:32
@misfit
we don't have to dance
Le brun a en horreur cette boîte, probablement parce qu’elle est synonyme d’un montant excessif d’alcool à ingurgiter et que son ami qui lui demande régulièrement de le rejoindre ici lui a encore fait faux bond. Il soupire en recevant la notification sur son ATH, encore un plan foireux qui se terminera quand il aura décidé de quitter le bar, seul. Ça n’est pas la première fois, il devrait être habitué depuis le temps, mais rendre ça commun n’efface pas la colère. Un SMS salé envoyé plus tard, le numéro finit par être jeté dans la corbeille, il n’a pas le temps de s’embarrasser de relations qui ne mènent à rien.
Pourtant il est là, assis au bar un verre à la main, la tête logée contre ses bras sur la table. Il n’a pas l’occasion de dormir comme il devrait, la musique ne le dérange pas, les cris non plus, alors il profite de l’instant. On finit par le réveiller alors qu’il commençait à peine à piquer du nez, relève les yeux vers sa boisson qu’il avale d’une traite. Il en demande un autre, plus corsé, pour se donner du courage pour la route. Il ne conduit pas ce soir, alors qu’importe le grammage tant qu’elle provoque l’ataraxie.

Il n’est pas dans son assiette, récupère son dû après avoir payé sa note ; ils se reverront bien assez tôt. L’anglais se fraie un chemin comme il le peut, dans la foule qui semble décidée à être de plus en plus compacte ; il tente de ne pas déranger, de passer outre le monde sans faire d’esclandre. Léo a toujours eu cette facilité à déclencher des guerres, même lorsque ça n’était pas son intention, les habitudes ont la peau dure, aujourd’hui n’y fait pas exception.
Alors qu’il était presque arrivé jusqu’à la sortie pour boire son verre et déguerpir de ce bazar, il a fallu qu’un groupe vienne le bousculer en voulant courir vers le bar ; paraît que c’est moins cher en lot, de ce qu’ils disent. Léo bascule son regard vers son verre vide, le liquide a quitté le contenant pour venir se loger sur la robe d’une jeune femme, ainsi que sur ses cheveux roses. Bon sang. Il soupire en regardant le carnage qui vient de se produire, sait déjà comment ça va se finir, alors il tente de désamorcer la situation au préalable.

— Désolé chérie.

Désamorcer, c’est le terme, car si ça n’était pas déjà le cas, la bombe est maintenant sur le point d’exploser. Il pourrait montrer un peu d’intérêt pour la situation, mais il n’y est pour rien, lui aussi est perdant dans l’histoire, bien que ça n’intéressera pas la rose selon lui.

— J’avais pas vu que t’étais dans le passage, eux non plus apparemment. Dit-il en pointant le groupe fautif du bout du doigt.

Il ment, il l’avait remarqué au court de la soirée, le peu de temps où il n’était pas occupé à s’endormir sur le comptoir du bar ; c’est dur de ne pas la voir. Tous les regards sont braqués sur elle, avec sa robe, ses longues jambes qui n’en finissent jamais, personne ne reste de marbre. À part Léo. Il la trouve attirante oui, mais contrairement aux autres, il ne se laisse pas avoir par un joli emballage, l’important est ce qui se trouve à l’intérieur ; mais même ça, il ne souhaite pas avoir à le découvrir. Apprendre à connaître les autres, ça ne l’intéresse plus, encore moins pour avoir ce type d’échange ; parce qu’il imagine sans mal que ce qu’elle cherche ici c’est charnel, pas un simple apéritif.

— Quoi qu’il en soit, je te conseille d’aller nettoyer ça avant que ça ne commence à coller.

Prêt à repartir, il a fait son devoir: s’excuser, conseiller et pointer du doigt les coupables, il n’a plus rien à faire dans ces lieux, même s’il regrette ce verre qu’il ne pourra pas boire au final. Soirée de merde.
sorry — sarcasm just falls out of my mouth, like bullshit falls out of yours

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Felicy Doughall
Felicy Doughall
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Felicy Doughall
Jeu 2 Fév - 20:44
@dogs___teeth

we don't have to dance ☾
À tes cheveux tressés tombant le long de ton dos,
À ton maquillage de corbeau impeccable,
Tes lèvres bordeau mattes,
À tes jambes habillées de tes plus beaux talons.


Tes deux amies à ton bras, vos rires cinglants résonnent dans la rue comme les meilleures pintades de basse-cours. Car vraiment, quand trois nanas aussi belles que vous se déhanchent en direction des boîtes, elles peuvent se permettre ce qu’elles veulent ; y compris réveiller tout le quartier.

Les discussions filent comme si vous vous voyiez pour la première fois alors que réellement vous enchainez vos sorties chaque week-end, et même la semaine quand vous le pouvez. Comment va le chéri de l’une, le travail de l’autre...

De l’amitié bien vache, car une fois sur deux vous rentrez chacune de votre côté. Et surtout toi.

Sans elles ;
Mais accompagnée.

Et c’est sûrement ce qui arrivera ce soir également… C’est ton mode de vie, tes soirées sans lendemain, ton appétit insatiable pour les corps humains. Homme ou femme, ils sont si faciles à avoir. Il n’était donc pas rare pour tes copines de ne plus te voir à un moment ou un autre de la soirée, un message sur ton ATH plus tard pour les rassurer, le reste de la soirée pouvait commencer dans les bras d’une nouvelle personne que tu ne reverras sûrement jamais. Car tu ne fais jamais ça deux fois avec le même individu. Faut pas abuser.

L’entrée vous est bien sûr acceptée, les videurs ont l’habitude de vous voir et savent que vous faites rentrer de l’argent dans les comptes. Installées d’abord à une table, vous vous déplacez très vite sur la piste de danse.

Ta petite robe noire bouge avec tes cuisses,
les petites chaînes en or sur sa fente s’excitent.
Tout comme les hommes autour de toi.

Certains font glisser leurs mains sur tes hanches, d’autres essayent de placer quelques mots à tes oreilles… Certains te reconnaissent. Tes amies rigolent de te voir les refouler, attendant celui qui aura tes grâces et te fera chanter pour cette nuit. L’on t’offre un verre, puis deux, puis trois… Les cheveux sur ta nuque collent à ta peau par la chaleur émanant de ton corps. Tes sourires offerts aux inconnus s’effacent aussi vite que leurs arrivées dans ta vie.

Tout est parfait, comme toujours.
Mais pas ce soir Felicy.

Ton excitation s’efface bien vite lorsque tu sens un liquide froid coulant le long de ton dos, arrêtant ta danse alors que tes amies te regardent, bouches béantes. Le temps de te rendre compte de ce qu’il vient de t’arriver, alors que l’odeur sucré de la boisson énergisante te prend au nez, une voix s’échappe derrière toi.

Et si la situation était embarrassante pour toi,
Elle allait l’être rapidement pour lui.

D’un revers tu te retournes vers lui, relève la tête en cherchant quel visage venais de te donner pareil surnom.

Et tu le vois, lui.
Un homme que tu vas apprendre à détester.

Et à aimer, tôt ou tard.

Il te dit ne pas t’avoir vu, rajoutant que tu devrais te dépêcher d’aller sécher ça avant que ça ne colle trop. Sans crier gare ta main attrape le col de son pull, rabaissant légèrement sa tête plus bas vers la tienne. Plus rien n’a d’importance, autour de toi certains vous regardent, tes amies t’encouragent et savent dans quel pétrin l’homme s’est mit.

« Chéri ?! »
dis-tu en criant, les sourcils bien trop froncés pour ton doux visage.
« Parce-que tu crois que tu vas t’en sortir comme ça, avec une excuse bidon ?! »
Tu finiras par tirer encore plus fort sur ce pull, sans chercher à savoir si tu allais le déformer, commençant à marcher vers les toilettes de la boîte en l’entrainant avec toi.

Tu le jette comme tu peux contre l’une des cabines inoccupées, avant de le pousser contre, te servant du poids de son corps pour ouvrir la porte.

Assez de place pour deux,
tu le bloques une nouvelle fois contre le carrelage froid,
prêt à exploser ta colère contre lui.

« Ecoutes-moi bien toi et ton air de mec à la con, la robe que je porte c’est toi qui l’a dégueulassé, donc ton désolé à deux balles tu peux te le garder et te le mettre où je pense. »
dis-tu, un doigt contre son torse que tu finis par retirer. Sans attendre, tu poses ton petit sac sur la cuvette fermée des toilettes pour défaire librement ta tresse avant d’en faire un chignon. Tu retires les bretelles de ton vêtement avant de le faire glisser sur ton corps jusqu’au sol ; te laissant en sous-vêtements devant l’inconnu.

« Ta chemise, vite. »
dis-tu en tendant la main, attendant ton dû.
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Léo N. Abberline
Léo N. Abberline
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Léo N. Abberline
Jeu 2 Fév - 22:09
@misfit
we don't have to dance
Il devait s’en douter, ça ne se passe pas comme prévu, la bombe ne met pas longtemps à lui exploser à la face. Elle attrape son pull sans vergogne, le tire vers lui pour mettre vos yeux à hauteur, elle ne se laisse pas marcher dessus ; elle a du caractère, les mots volent très tôt, la musique ne suffit pas à cacher le son de sa voix. Les visages se retournent vers vous pour comprendre ce qui est en train de se passer. Un soupir las sort de la tête du brun, alors qu’elle continue de l’incendier verbalement et de le traîner en direction d’une des cabines de la boîte de nuit. Ça n’est pas la première fois qu’il les visite, la plupart du temps, c’est pour passer du bon temps, mais son petit doigt lui fait comprendre que cette fois sera différente.
Elle le jette contre une des portes, l’entraîne avec elle à l’intérieur. La rose ne se démonte pas, lui rejette la faute dessus, quand bien même il n’y est pour rien. Ça l’agace d’être la victime de ses assauts, alors qu’il avait réussi jusqu’ici à ne pas faire de vague, les habitudes ont la vie dure, mais le karma en a après sa peau depuis des années déjà. Se faire traiter comme un moins que rien, c’est devenu une seconde nature ; paternel comme flics n’ont jamais pu saquer sa gueule d’ange, la jeune femme devra faire la queue, elle n’est pas la première sur la liste.

Son doigt menaçant sur le torse du brun l’empêche de réagir, elle débite plus vite qu’une locomotive, crache son venin sans lui laisser le temps d’en placer une. La seule chose qu’il se permet c’est de lever les yeux au ciel quand elle commence à se déshabiller et lui ordonne de lui donner sa chemise. Un prêté pour un rendu pour certains, une injustice si on l’écoutait lui. Il ne se plaint pas d’avoir une femme aussi voluptueuse en train de se mettre à nue devant lui, mais il n’est pas là pour ça.

— Pas comme si j’avais décidé de te jeter le verre à la gueule, mais soit.

Le brun s’exécute, retire sa chemise avant de la lui tendre à regret. La robe lui allait si bien, c’est dommage de la détruire de cette façon, l’odeur de RedBull venant griller les narines du Britannique, déjà bien émoussée par l’odeur de la rose. Elle ne l’impressionne pas plus que ça, des gamines pourries gâtées qui se croient tout permis, il en a déjà rencontré des milliers, sautés une bonne partie, mais là c’est différent. Il ne cherche pas plus à négocier, il sait qu’il n’aura pas le dessus sur cette conversation et la fatigue l’empêche de chercher le conflit.
Il la regarde commencer à se rhabiller, utilisant sa chemise pour la transformer en robe, bien entendu, le tissu n’est pas assez long pour couvrir l’entièreté de sa peau ; après tout c’est une queen size.

— Par contre, pas que j’imagine que qui que ce soit se plaigne de voir ton magnifique derrière, mais tu voudrais pas mon pull pendant qu’on y est ?

Son ton est purement et simplement empreint d’ironie, il se moque bien de savoir si les consommateurs du nightclub reluquent la croupe de la dame ; ce n’est pas comme s’ils n’avaient pas déjà passé leur soirée à faire ça. Ils auraient pourtant tôt fait de créer une émeute si tout le monde les voyait sortir de la sorte.
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Felicy Doughall
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Felicy Doughall
Sam 4 Fév - 17:46
@dogs___teeth

we don't have to dance ☾
Plus vil qu’une femme en colère,
il y a celles qui savent ce qu’elles valent.

Tu en fais partie.

Celui qui a renversé ton verre sur toi est face à toi, ton regard noir ne quittes pas le sien alors qu’il enlève sagement sa chemise. Quelques bribes de phrases sortent de sa bouche, tes oreilles ne les attrapent pas, elles se perdent finalement autour de vous. Il te tend sa chemise, tu lui arrache presque des mains et l’enfile comme une robe, serrant les manches autour de ton buste pour qu’elle tienne convenablement.

Un style incroyable entre tes cheveux à moitié trempés et ta pseudo-robe bien cheap. Une honte de sortir de la sorte, clairement. L’autre, celle qui jonche au sol, tu la ramasse et l’accroche à la lanière de son sac à main. Pas un autre regard, pas un merci, tu pousses la porte pour sortir pendant qu’il te dit que l’on peut voir la courbe arrondie de tes fesses. Tu ris doucement, pensant à ce que tu pouvais poster sur ton onlyfans.

« Qu’ils se fassent plaisir, ça me fera de la pub. »


Tu sors et lâche la porte, n’attendant pas qu’il te suive pour la laisser se refermer.

« Adieux. »


Et bien sûr, il n’avait pas tort. Après seulement quelques pas à travers la foule du nightclub, tu peux sentir divers yeux se poser sur toi. Tu restes droite, tu continues d’avancer sans leur prêter assez d’attention pour qu’ils t’abordent. La seule chose pour laquelle tes yeux oscillent, ce sont tes copines que tu retrouveras finalement à une autre table, jambes emmêlées à d’autres.

Parce-que c’était bien sûr plus important que tes mésaventures.

Tu finiras par atteindre la sortie, cherchant le plus rapidement possible à respirer le bon air frais de la pollution et à prendre le chemin de ton appartement, soudainement bien trop loin à ton goût. Tu retires tes talons avant ça, te retrouvant en petites sockets pour affronter le froid des nuits d'hiver de Lumopolis.
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Léo N. Abberline
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Léo N. Abberline
Mer 8 Fév - 22:56
@misfit
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Elle ne respecte rien, s’en fout de tout tant qu’elle n’a pas son dû, regarde le brun avec dédain tant qu’il n’a pas retiré le tissu pour le lui donner à contrecœur. La rose a des épines que le brun n’arrive pas à contourner avec ses paroles ; elle n’y prête pas la moindre attention, comme si aucun son n’était sorti de ses lippes. Arrache le vêtement des mains du Britannique et l’enfile sans vergogne, en fait quelque chose d’attrayant alors que sur lui ça ne donnait pas grand-chose de plus. Léo la regarde, se dit que sans doute tout lui va, que son corps épousera n’importe lequel des tissus qui pourraient être mis à disposition et sembler présentable.
Il se permet une petite réflexion remplie de sarcasme, non sans la complimenter au passage ; tout le monde va la regarder en sortant. Pas besoin d’avoir fait de longues études pour se rendre compte que rien ne sera tiré de bien de son départ, les regards vont affluer et pas longtemps après, les premiers clébards qui auront envie d’un peu de chair fraîche. Il les connaît bien, les as vu agir de nombreuses fois, mais elle s’en fiche, jette la porte en tirant sa révérence, pas plus de mots. La colère est bien vite retombée, le brun se gratte le menton, pensif. Nouveau soupir las avant de la seconder, après tout lui était déjà sur le départ lors de la rencontre. Il aurait préféré que ça se passe autrement, que sa sortie soit brève, mais les choses ne se passent jamais comme prévu.
Comme il se l’imaginait, les regards affluent, les cafards également, tous fixant la rose sur le départ, les fesses à moitié à l’air. Le sourire de toute l’audience en dit long, les regards de mépris que d’autres se prennent font du bien à Léo ; il n’était pas trop tard pour vous rendre compte d’avec qui vous êtes. Bécasses. Il suit le chemin tracé par l’odeur des roses, rejoint la sortie alors qu’il couvre maintenant la vue pour la majorité. Il n’a jamais apprécié ça, les comportements de prédateurs, elle ne s’en formalise pas, mais ça l’énerve.

Sort de ses poches les clés de sa voiture, allume le contact aussitôt dedans, mais il ne peut pas s’empêcher de continuer de la regarder. Les mains gelées par le contact du volant, il n’a pas de mal à imaginer dans quel état la dame va finir frigorifiée si elle reste comme ça. Il grogne doucement dans son habitacle en voyant un groupe se rapprocher, alors qu’elle vient de retirer ses talons. Le brun démarre en trombe, s’arrête à sa hauteur avant qu’elle ne commence son chemin, ou que le groupe se sente pousser des ailes. Affronte de nouveau le regard de la jeune femme après avoir poussé la porte pour qu’elle s’ouvre à sa hauteur.

— Je fais pas dans l’humanitaire d’habitude, mais j’ai pas envie qu’on retrouve ton corps sans vie avec mon ADN partout sur tes fringues.

Son regard oscille entre ses yeux océans et la meute qui a commencé à se former ; ils les fixent, se demandant s’ils pourront avoir le droit de tirer leur coup ou de caillasser le véhicule ce soir. Elle a une grande gueule et beaucoup de caractère, mais il espère qu’elle sera assez coopérative et mettra sa rancune de côté pour l’instant.

— Monte, je te ramène chez toi. On va dire que c’est pour me faire pardonner.

Même s’il n’y est toujours pour rien, il ronge son frein et n’arrive pas à tarir le regard noir qu’il lance à celui qui se rapproche de plus en plus.

— Et dis leur au revoir de ma part, s’il te plaît, j’ai horreur des adieux touchants.
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Felicy Doughall
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Felicy Doughall
Jeu 9 Fév - 19:10
@dogs___teeth

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Le tissu recouvrant tes pieds ne suffit pas à bloquer le froid du bitume. Tu frissonnes légèrement. Ce ne sera pas la première fois que tu rentres seule, à pied et en plein hiver. L’habitude n’empêche pas le froid mais tu sais à quoi t’attendre ; l’idée d’un bon bain chaud en arrivant chez toi te donne un peu de courage. Et puis tu as quelques verres d’alcool dans le sang, ça aide un peu à te maintenir en température.

Sortie, tu remarques à peine un groupuscule qui te suit, sachant bien que leurs yeux n’atteignent pas les tiens. Tu n’y prêtes pas attention, le faire serait une erreur, tu en as déjà fait les frais plusieurs fois pour savoir. Ce à quoi tu ne t'attends pas, c’est plutôt la voiture qui vient se placer au bord du trottoir où tu te trouves, un peu tape-à-l’oeil. Tu ne t’y connais pas vraiment en voiture bien que tu ai été plusieurs le pot de fleur en siège passage.

Tu retombes sur lui,
Te propose de te ramener dans un cynisme implacable.

Tu ne réponds pas. L’envie de monter dans la voiture de celui qui venait de gâcher ta soirée n’était pas dans tes plans, même pour lui ça serait préférable. Cependant tu n’avais pas non plus envie d’avoir à affronter les chiens en rute entrain de reluquer ta croupe, tu imagines bien que seule contre eux tu n’iras pas bien loin.

Mais accepter son offre serait le pardonner,
Et tu n’en a vraiment pas envie.

Un temps de réflexion un peu trop lent, un manque d’attention nécessaire… Et l’un des types t’attrape le poignet, essaye de te ramener à lui, resserre son emprise petit à petit sur ta peau. Ce n’est pas la première que tu te retrouves dans ce genre de situation, ça ne sera certainement pas la dernière non plus. Les premières fois furent compliquées malgré ta grande gueule, tu n’avais pas l’assurance que tu as aujourd’hui. Employer l’effet d’habitude c’est rappeler encore une fois l’état désastreux de ce monde, l’irrespect des gens autour de toi.

Mais aux grands mots les grands remèdes.

Tes talons atterrissent sur ton visage, sans les lâcher, parce-que quand même ils valent cher. Tu ne manqueras pas de les désinfecter cela dit. Il ne te lâche pas, perd juste un peu le nord, alors ton tibia se loge brutalement dans ses parties intimés, un geste validé à cent pourcent par toute les gadjis des boîtes en galère.

« Je t'insulterai bien de fils de pute, mais j’ai plus de respect pour elles que pour toi crevard. »


Il ne répond pas, trop occupé à maintenir ce qui lui reste de masculinité entre ses mains. Ses amis réagissent, tu les vois emboîter le pas vers toi ; alors l’instinct de survie prend le dessus et accepte l’offre du brun. Tu te jette littéralement dans sa voiture, lui ordonne de démarrer, quand bien même il n’avait pas besoin de ça pour voir l’urgence.

Ca fait du bien un peu de violence,
de temps en temps ça libère l’esprit.

« J’aurais très bien pu me débrouiller seule, ils ont autant de courage que ce gars à des couilles. C’est à dire plus du tout. »
balances-tu, bras croisés après avoir mis ta ceinture. Et, incapable de dire merci, tu débites ta colère sans crier.
« C’est pas parce-que je suis petite et plus fine que je ne sais pas m’imposer. Va falloir arrêter avec le pseudo syndrome du héro. »


Ton téléphone entre tes mains, tu cherches ton adresse pour la lui envoyer, histoire de rentrer en un seul morceau et surtout rapidement.
(c) kitty from the moon



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Léo N. Abberline
Léo N. Abberline
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Léo N. Abberline
Sam 11 Fév - 0:09
@misfit
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La nuit tous les chats sont gris, les loups sont affamés et la rose sort les épines. Il la voit réfléchir, se faire violence pour ne pas monter avec lui au risque d'être refroidie par le trajet jusqu'à chez elle, trop de réflexions pour que les golios n'y voient une invitation à rentrer dans la danse, mais la dame n'est pas de ce bois-là, réponds au contact inopportun par un méchant coup de talons. Le brun met quelques secondes avant de réagir à ce qu'il vient de se passer, prêt à bondir du véhicule pour finir le travail, mais elle est beaucoup plus vive. Les parties intimes complètement détruites, goliath se tient les bourses, la douleur venant lui retourner l'estomac, le reste de la meute pense avoir son mot à dire, commence à s'approcher alors que la jeune femme plante quelques lames verbales de plus dans la carcasse du type affalé au sol.
Léo est agréablement surpris, même s'il imagine sans difficulté que ça ne doit pas être la première fois qu'elle engage ce genre de conversation musclée. À vrai dire, il l'avait déjà compris dans la manière dont elle l'avait intercepté dans le nightclub, ne lui laissant aucune chance de s'en sortir alors qu'il est pourtant en taille de lui faire face ; mais il ne dit rien, la laisse gérer la situation à sa manière, crache vulgarité quand elle rentre dans la voiture et lui hurle de rouler. Il avait déjà senti la situation s’envenimer, avait préparé le coup comme à son habitude. Joue un peu avec son public en les enfumant au démarrage, littéralement. Ils crient, le brun les aperçoit depuis son rétroviseur intérieur, en train de ramasser leur pote encore agonisant au sol. Menaces et compagnies, alors que la rose continue de râler, le descend comme s’il était en tort ; c’est reparti.

Léo n’aime pas le comportement qu’ils ont eu, pas parce que c’est elle, parce que c’est eux. Il a honte de ce qu’ils représentent, hurle intérieurement de rage lorsque des images de son paternel remontent au crâne. L’alcool a fait bon chemin, même s’il n’a pas bu comme un trou, ça suffit à le rendre un peu plus inconscient ; il envisage de leur refaire le portrait. Et puis merde.

— N’envisage pas le preux chevalier.

Il profite du temps qu’elle passe sur son téléphone pour faire le tour du pâté de maisons en quelques secondes, allume les phares de sa voiture à quelques mètres du groupe qu’il vienne tout juste de quitter. Déjà beaucoup trop irrité par la soirée pour laisser passer ça sous ses yeux. « Soyez le changement que vous voulez dans le monde. » Le Britannique ne supporte plus de voir les gens se croire tout permis sans répercussion. Certains diront qu’ils avaient déjà eu leur compte, mais ça n’était pas assez ; il voulait laisser un message, le graver au fond de leur mémoire jusqu’à épuisement.

— Disons que ça m’écœure juste de voir ces erreurs de la nature encore en liberté. Prends ça comme tu veux.

Le brun glisse ça en sortant de la voiture, juste avant de refermer la porte. Il s’avance vers eux, dos à eux, promettant par geste et paroles à la rose que ça ne durera pas longtemps, pas bien certain que l’habitacle ne laisse passer sa voix. Il se retourne en les entendant de nouveau couiner, bien entendu ils ont retenu la leçon, si elle avait réussi à en assommer un, il n’aurait probablement aucun mal à en finir un autre également, et il le peut. La meute se referme sur lui, mais il s’amuse légèrement avec eux, le temps qu’ils pensent encore avoir une chance ; briser l’espoir en eux, les remettre dans le droit chemin.

— C’était pas la bonne soirée. Vous y réfléchirez la prochaine fois que vous pensez que c’est une attitude à avoir avec des inconnus.

Uppercut pour en coucher un d’entrée, se fraie une voie jusqu’au lampadaire le plus proche pour se projeter un peu plus haut avec les jambes et leur décocher un coup de pied retourné dans la tempe d’un second. Les upgrades ont du bon, quand on sait s’en servir et les années dans les salles désaffectées remplies de monde prêt à voir du sang lui ont appris à le faire. Un groupe comme celui-là se résume grossièrement au premier qui a osé toucher la rose ; le reste c’est du menu fretin, uniquement présent pour faire croire à un semblant d’autorité. Ils n’en ont aucun.
Les deux derniers ne mettent pas longtemps avant d’être mis à terre, l’un avec un genou plié dans le mauvais sens, l’autre avec quatre côtes brisées ; de quoi donner du travail aux médecins et réflexions à ces pauvres types. Il n’en faut pas plus longtemps pour qu’il crache au visage d’un dur à cuir. Il tente de relever la tête, mais elle est tout de suite éjectée sur le côté par un pied enragé.

— C’EST RENTRÉ, LÀ ?

Il hurle dans la rue, éclairée par les phares turquoise, soupire quelques secondes avant de retourner au véhicule et de redémarrer doucement, laissant les corps gisant au sol. Quelqu’un viendra les chercher, imagine-t-il les yeux fixés sur la route. Mains encore endolories, plus par les combats de la veille que par ce qu’il a asséné au groupe.

— Ma mère et ma sœur auraient honte de moi si j’étais comme eux. Détourne le regard pour l’observer calmement, la colère commençant à redescendre. Pas sûr que je fasse bonne figure comme ça non plus ceci dit.
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Felicy Doughall
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Sam 11 Fév - 15:00
@dogs___teeth

we don't have to dance ☾
Le brun ne rétorque pas à tes brimades, te laisse débiter ta colère comme s’il ne l’entendait pas. Ca t’énerve un peu, mais tu n’en rajoutes pas, bien consciente que tu puisses tenir tête à un homme mais pas à un groupe entier. S’il n’avait pas été là qui sait ce qui aurait t’arriver, qui sait ce que ces hommes t’auraient infligé. Mais les mercis t’arrachent la gorge, tu as arrêté de les dire il y a bien longtemps.

{Preux chevalier} ?
« Laisse moi rire. »


Ça n'existe pas. Tu as appris depuis longtemps Felicy que chaque geste se voulant bienveillant coule toujours d’une envie personnelle. La gentillesse est une façon d’obtenir ce que l’on veut par les sentiments ; tu le sais, c’est ce que tu fais. Tu t’adaptes en fonction de la personne pour avoir ce que tu souhaites tirer d’elle, usant de tous les moyens à ta disposition. L’être humain est faible, naïf, la manipulation n’est pas un art si difficile que ça quand on s’y attelle correctement et que l’on comprend comment le monde fonctionne.

Tu ne remarques pas la voiture faire le tour, revenir là où vous aviez laissé le groupe de dégénérés qui t’avait prise pour une cible facile. Ton pseudo-chevalier rencontré plus tôt te parle, tu as à peine le temps de tourner le regard vers lui que le vent de l’extérieur fait frissonner ta peau et tu le vois sortir sans te prêter attention. Tu lui demandes de revenir, mais la porte est déjà close. Tes yeux le suivent, tu ne comprends pas, tu l’insultes lui aussi de dégénéré lorsqu’il te fait signe d’attendre. Ca serait mentir de dire que tu n’étais pas impressionné par tant d’assurance, t’as même trouvé ça un peu sexy, faut l’avouer.
Et c’est une scène ahurissante qui se passe alors sous tes yeux, sans aucune entrée, on passe directement au plat principal, et le brun a l’air de se faire un malin plaisir à les éclater tous un par un. Tu comprends rapidement de quelles upgrades il se chauffe, toi qui a l’habitude de les installer, et n’est donc pas vraiment étonnée du déroulement de ce combat improvisé.

Tu lèves les yeux au ciel quand tu le vois cracher,
Abattre un dernier coup de pied dans la face d’un des gars.

Il revient, n’a même pas besoin de reprendre sa respiration. Repose ses mains sur le volant comme si tout était normal, comme s’il ne venait pas d’enterrer à lui seul un groupuscule de lourdos.

Damn.

Il te regarde, moins crispé que précédemment.
Tu lui rends, les yeux interrogatifs, les sourcils froncés.

Il avait réussi à calmer ta colère, pas parce-qu’il venait de casser la gueule aux types qui t’avaient fait chier, plus parce-que la scène était lunaire. Qui fait ça ? Qui revient sur ses pas après être sorti d’une situation pour y remettre les pieds ? Tu imagines aisément le garçon être une tête brûlée, quelqu’un de sanguin.

« Une belle démonstration de force, effectivement. Sympa tes upgrades, j’en serai presque jalouse ! Mais non, bonne figure n’est pas le terme que j'emploierais. »


Beaucoup d’autres mots te viennent à l’esprit pour décrire ce qui venait de se passer ou pour le décrire lui. Il redémarre, tu prends le temps de regarder ses phalanges abîmées avant de continuer ton discours.

« Assez sexy je dirais, d’ailleurs tu peux me refaire tes petits signes là pour me dire que tu reviens vite ? C’était cute. »
dis-tu en lâchant ton téléphone, essayant d’imiter les gestes qu’il avait eus. Tu souris, tu es plus calme, tu aimes ce genre de situation délurée, venue de nul part. En vérité tu te moques en peu avec un fond de vérité.

« On dirait bien que t’as l’habitude de te battre. »
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Léo N. Abberline
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Lun 13 Fév - 22:55
@misfit
we don't have to dance
Elle y va encore de son mépris quand il lui dit qu'il n'est pas du côté des tendres, que la justice il la doit plus au chevalier noir qu'à l'homme de fer. Bien évidemment que le terme fait rire, mais le brun n'a pas le cœur aux blagues, déterminé à faire passer la leçon, excédé par leurs comportements de dégénéré. Il ne dit rien à la rose, conduit comme si l'idée qu'il a derrière la tête n'était pas déjà prise, que le chaos allait bientôt s'abattre sur les épaules des quatre derniers lurons. Il n'en fait pas une affaire personnelle, dissémine les morceaux de leurs os sur la devanture de la boîte qu’ils ont quittés il y a quelques secondes à peine.
Il ne perd pas de temps, se précipite en pensant à sa passagère, lui laissant savoir qu’il fera vite ; et il le fait. Aisément la meute finit par devenir le troupeau, passe de prédateur à ceux qui se font prendre. Le Britannique n’a pas perdu de temps avec eux, si ce n’est celui pour leur donner du courage, mais rien de plus. Il a pourtant menti sur le temps qu’il avait annoncé à la rose. Il ne prend pas le temps de parler avant de repartir, puis le feu s’évanouit dans des braises, la colère redescend peu à peu ; la jeune femme semble étonnamment moins en colère que d’entrée. Il sait qu’il n’est pas pardonné pour autant, mais pour ce soir ça ira, il imagine. Après réflexion, elle pourrait se dire qu’il l’a mise en danger -et elle aurait raison- mais il ne le voit pas de cet œil. Avec les années il est devenu conscient de ce qui est faisable ou non, de la physionomie de son adversaire et ce qui s’en suit ; il est également trop confiant en lui. Pourtant jamais il ne l’aurait mise en danger, jamais il n’y serait retourné s’il avait été assuré de ne pas faire le poids et de risquer de la mettre en danger ; lui laisser les clés pour qu’elle disparaisse au besoin n’était pas une solution non plus. Se mettre en danger est une chose, mettre quelqu’un en

Elle lui fait des compliments, alors il bug, ne répond pas à sa réflexion sur ses upgrades. La rose n’a pas son pareil, c’était bizarre de l’admettre ; elle ne se soucie pas plus de la situation que lui, légère et heureuse. Quand bien même l’enfer semblait être tombé sur Terre il y a encore quelques minutes. Le sourire s’installe aux lèvres de cette dernière, il n’est pas bien certain de savoir ce qu’il s’est réellement passé, mais le contact passe bien au final. Robe de velours, perles scintillantes, talons aiguisés, ça la résume bien et au final ; quelque part il aime ça. Elle n’a pas sa langue dans sa poche, sait se faire entendre et assumer ses actes.
Au final, il ne s’en veut pas de l’avoir pris en stop, n’imagine pas ce qui se serait passé s’il ne s’était pas arrêté ; ses doigts tremblent doucement sur le volant. Les mots de la rose l’amusent doucement, le ramènent un peu à la réalité. Il n’imaginait pas sa soirée comme ça, encore moins avec elle.

— Pas bonne figure, mais sexy. Je note. C’est plutôt convaincant venant de ta part. Il ricane doucement, enclenche une vitesse, accélère en l’entendant continuer la conversation. On va dire ça ouais.

Le sourire glisse doucement, elle a raison, mais ça n’a jamais été par pur plaisir. Il a l’habitude de parler de déformation professionnelle, parce que c’est de ça qu’il vit ; ça et toutes les autres activités dans lesquels il se met à rude épreuve.

— Je vis de ça, d’une certaine façon.

L’acte de barbarie qu’il a infligé au groupe n’était pas un coup d’essai, il sait ce qu’il fait, n’a pas peur de prendre les coups ou de les donner. Même s’il chute, il finit toujours par se relever.
La soirée n’est pas finie, mais l’adresse que la rose lui a envoyée n’est pas à portée, alors il ne compte pas partir sans provision, trace un repère au niveau de la boutique la plus proche sur le chemin et le rejoint en quelques minutes à peine, sans se soucier de la gomme laissée sur le bitume, juste assez pour que sa passagère ne soit pas heurtée. Cette fois il prend un peu plus de temps avant de sortir de la voiture.

— Promis, cette fois je ne casse les dents de personne, j’en ai pour cinq secondes. Dit-il en reproduisant les gestes qu’il a eus devant la voiture plus tôt, cette fois devant sa partenaire. Besoin d’un petit remontant.

Il sort de la voiture, allume la playlist de son téléphone resté allumé sur son siège, baisse le son pour épargner les tympans de son auditrice et trottine jusqu’à la petite supérette, fonce vers les étalages de liqueurs ; attrape rhum coco mango et bouteille de Get48. Retourne en vitesse à la voiture, l’ATH lui annonce le débit de son compte, il lève les yeux au ciel, ouvre la portière avec une main, l’autre bien trop occupée à tenir les bouteilles entre trois doigts. Première chose qu’il fait est de les tendre à la jeune femme, se réinstalle dans son siège.

— C’est reparti pour un tour. T’habites pas la porte à côté dis-moi.

Il lui lance un léger regard, cherchant à savoir ce qu’elle aura à redire à tout ça.
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Felicy Doughall
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Felicy Doughall
Mar 14 Fév - 22:06
@dogs___teeth

we don't have to dance ☾
Il eut réussi d’une façon assez étrange à détendre l’atmosphère dans la voiture, loin de t’en plaindre. Tu es toi aussi du genre sanguine, prête à bondir, assez rancunière ; mais la soirée était déjà bien assez gâchée comme ça pour en plus ne pas lui adresser la parole, du moins le temps qu’il te ramène jusqu’à chez toi. Il rigole à tes mots, réagit honnêtement et l’accident plus tôt est vite oublié.

La colère estompée tu t'attardes un peu plus sur lui, sur des traits. Sexy est le bon mot, rien à redire là-dessus bien que pas mal amoché comme garçon. Il te dit vivre du combat, tu lèves un sourcil ayant horreur de ça. Il y a des méthodes beaucoup moins dangereuses pour gagner sa croûte, mais tu imagines bien que tout le monde n’a pas ta chance, celle d’aimer tout ce qu’on fait et de bien s’en sortir. De ce fait, tu ne réponds pas et laisse sa phrase en suspens, te gardant bien de donner un avis tranché sur la question.

Les lumières de Lumopolis défilent, puis s’arrêtent doucement. Voiture à l'arrêt, tu le regardes interrogative, tu souris lorsqu’il te promet de ne blesser personne cette fois-ci, réitérant ses gestes pour te dire qu’il revient vite.



« Dépêche toi j’ai pas que ça à faire. »
lui balances-tu sur un ton mi-rigolade, mi-pressant, déjà son téléphone en mains pour changer la musique affreuse qu’il venait de mettre.

Rien dans sa playlist ne te fais envie à part quelques morceaux de rock. Pas vraiment ce que tu écoutes, tu ne te fais pas prier pour enregistrer quelques nouvelles musiques, bousillant sans -aucun- remords sa liste qu’il avait certainement créer avec soin. Tu lances quelque chose de plus doux, plus classe, plus rythmé. Et puis forcément, tu t'ennuies, alors tu fouines comme la mal-élevée que tu es ; quand même moins marrant quand on ne connaît pas la personne.

Tu renommes certains contacts.

Tu supprimes des conversations au hasard.

Tu déboutonne ta robe de fortune,
Coince ton sous-vêtement entre tes dents,
Prends en photo ta chaire et la mets en fond d’écran.


Puis le repose à sa place avec prudence,
Histoire de pas plus l'abîmer qu’il ne l'est déjà.

Il revient finalement, te tend deux bouteilles après avoir ouvert la porte de sa voiture que tu attrapes sans trop réfléchir, la moue dégoûtée en voyant celle de rhum.
« Presque déçu de ne pas t’avoir vu casser la gueule au vendeur, je pensais que du coup c’était une tradition chez toi pour dire au revoir. »
rigoles-tu.

Il redémarre pendant que tu déposes la piquette à tes pieds, gardant l’autre en mains que tu entreprends d’examiner.
« Comme dit tout à l’heure, je n’ai besoin de personne, marcher ne me dérange pas. »
réponds-tu sans réfléchir, toujours absorbée par l’écriture sur le verre. Ce n’est pas dans tes habitudes, mais aux soirées exceptionnelles les gestes inhabituels ; tu l’ouvres et la porte à ta bouche, avalant allégrement trois gorgées.

« Infâme. »
dis-tu avant de boire à nouveau.
« Me dit pas que c’est avec ça que tu passes tes soirées chez toi, c’est triste y’a mieux quand même pour se murger. »
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Léo N. Abberline
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Sam 18 Fév - 0:18
@misfit
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Remontant en poche, il est maintenant temps de réellement commencer cette soirée merdique pense le brun, alors il les jette presque à sa partenaire d’un soir, reprend sa route comme si de rien n’était. Elle s’amuse, se moque de lui, sur le fait de ne pas avoir vu de nouveau ses talents en combat, elle rigole ; et ça dénote de la manière dont il s’était pourtant rencontré. Vingt minutes plus tôt, son index menaçant envoyait paitre le brun et les voilà maintenant partageants la soirée comme si de rien n’était, mais ça lui va bien. Il admire doucement la beauté de la rose en lui faisant remarquer la distance qui les sépare de son appartement, sourit doucement à sa réponse. Elle n’a définitivement aucune équivalence.
Il l’a vu c’est une femme forte, avec du caractère et beaucoup de grâce quand il faut envoyer un pauvre type bouffer les pissenlits par la racine ; un sourire indémodable, des courbes à en faire jalouser plus d’une, une bonne dose d’humour, de bons goûts musicaux, naturelle, authentique. Son sourire s’est fait un peu plus grand lorsqu’elle a goûté le Get48, l’a jugé sans prétention avant d’en reprendre une gorgée. Pas fan de l’alcool, mais de l’idée de boire, il ne connaît que trop bien, boit les premières choses qui lui passent par la main, le goût lui manque un peu plus avec les années, déjà bien calcinées par le goût de fer qui est passé sur ses muqueuses.

— Fais voir ?

La seule bouteille qu’il garde en secours, c’est celle aux pieds de la jeune femme, il n’a jamais goûté le liquide vert beaucoup trop mentholé. Il attrape le contenant des mains de la rose, sans lui arracher, goutte à son tour plusieurs gorgées, une main sur le volant l’autre occupée à verser la boisson dans son œsophage ; pas la meilleure qu’il ait eu l’occasion d’ingurgiter, mais toujours plus agréable que la vodka au bacon.

— Pas fun, en effet, je ferais attention à la prochaine fois.

Il ne lui explique pas qu’il fait ça à chaque fois, tente de varier les expériences, de voir ce que le monde a à lui offrir, même si c’est souvent destiné à la cuvette. Il retente sa chance une seconde fois avant de rendre la bouteille à la jeune femme. Imagine que malgré le goût de la boisson, il gardera au moins un minimum l’haleine fraiche si jamais il venait à se faire contrôler. Le brun a beau savoir qu’il ne s’arrêtera pas si cela devait arriver, qu’il les perdrait bien trop rapidement pour que ça ne l’amuse.

— Je me murge surtout avec ce que t’as entre les jambes, mais je sais pas. On tombe sur des perles parfois.

Il ne fait pas bien attention au trafic, conduit bien vite vu la circulation, mais rien ne semble perturber sa conduite ; il est dans son élément, ses réflexes n’ont pas à pâtir de l’alcool qu’il peut avoir dans le sang. La route se fait rapidement à partir du moment où il prend l’axe principal, non loin de chez elle, moins dense que plus tôt, il peut maintenant passer le chemin à l’allure qui l’intéresse réellement, arrive finalement à l’adresse de la rose. Cette fois il prend soin de s’arrêter délicatement, sans laisser de trace devant l’entrée de son bâtiment ; il commence à se demander pourquoi elle n’avait pas envisagé le taxi alors qu’elle ne semblait manquer de rien.

— Madame est arrivée à bon port, en espérant que le voyage aura su plaire à cette dernière.
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Sam 18 Fév - 18:47
@dogs___teeth

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Tu lui tends volontiers la bouteille que tu venais d’entamer, gardant les yeux sur la route. Il confirme tes dires, répète tes gestes et te la rend. Tu y poses une nouvelle fois tes lèvres, avales quelques gorgées avant de la refermer. Eurk.
Ce n’est clairement pas ce que tu bois au quotidien, bien trop habituée à ce que l’on peut te servir en grande soirée. Tu as passé le cap des alcools de boîtes, des mélanges fait pour y voir flou et gagner en assurance ; non Felicy tu es plutôt du genre à apprécier une bonne bouteille de vin blanc, ou rosé, dans un joli verre en cristal. C’est ça qui te donne de l’assurance.

« On dirait presque que t’as pris au hasard la moins chère du rayon. »
lui réponds-tu en te tournant vers lui alors qu’il se concentre sur sa conduite. Tu en profites pour l’observer, tracer des yeux la courbe de sa mâchoire, l’encre qui s’échappe du col de son t-shirt. Il est pas mal pour un idiot, dans d’autres circonstances tu serais peut-être même aller vers lui.

La discussion reste simple, ni lui ni toi ne cherchant à faire connaissance avec l’autre. Tu veux juste rentrer, te laver et passer le reste de ta soirée sur ta terrasse à fumer et boire. Sortie de tes pensées par sa phrase, tu souris doucement, amusée par un double sens qu’il n’a peut-être pas compris vu le ton de sa voix.
« Ah oui ? Il me semble pourtant ne jamais t’y avoir vu, je me souviendrais d’un visage pareil entre mes cuisses. »
dis-tu en croisant tes jambes, laissant le peu de tissu qui cache ta peau se relever. Tu ne rate jamais l’occasion de prendre le dessus sur une conversation, peu importe la méthode.

Les quelques verres offerts en boîtes se mélangent à la piquette du brun, tes pommettes s'empourprent et ton corps est plus léger. Si tu es une fille de la nuit, tu n’es pas la meilleure buveuse et tu as beau le savoir, tu ne sais jamais t’arrêter à la limite. Tu ne fais même plus attention à la route, tu laisses ta rencontre du soir te bercer par sa conduite alors que votre discussion se fait naturellement, laissant parfois des petits rires discrets rythmer vos phrases. Sa vitesse ne t’inquiète pas, tu as l’habitude d’accompagner les coureurs lors des évènements pour faire pot de fleur à côté d’eux en échange de gros billets.

Et puis il ralentit, tu reconnais ta rue,
Puis ton immeuble.

Tu défais ta ceinture.

« Je mettrais trois étoiles, bonne conduite mais alcool dégueu et le chauffeur me fait des avances louches sur ce que j’ai entre les jambes. »
dis-tu en récupérant le peu d'affaires que tu as avec toi.
« Ceci dit j’ai apprécié l’offre, ça ne rattrape qu’à moitié l’état de ma robe mais c’est un début. »


Tu sors de sa voiture, t'allume une cigarette,
tire sur cette chemise et observe la nuit un court instant.

Foutue pour foutue,
Tu n'essayerais pas de prendre un peu de bon temps ?

Porte encore ouverte tu le regardes, tes poumons se remplissent de fumée avant de la recracher. Tu prends le temps de lire sa puce, cherchant à savoir si les prochains mots que tu allais prononcer n’allaient pas signifier le début de problèmes que tu ne voulais pas avoir à gérer. Tu trouves un joli casier judiciaire, le garçon n’est pas un tendre avec la vie… Excès de vitesse, vol… Drogue. Bien.

« Aller, je t’invite. Y’a mieux que tes bouteilles affreuses chez moi. »
dis-tu en secouant doucement ta cigarette.
« Et comme ça tu pourras récupérer ta chemise. »


Tu n’attends pas vraiment qu’il te réponde pour te retourner et ouvrir le hall de ton immeuble ; tu y entres et laisse la porte se refermer doucement. S’il veut entrer avec toi, il n’a qu’à se dépêcher, l’inviter dans ton havre de paix est déjà une belle fleur.
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Léo N. Abberline
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Lun 20 Fév - 0:27
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Elle se moque du brun quand il finit par engloutir la boisson verdâtre, en effet on n’est clairement pas sur un millésime, mais ça suffira pour la soirée il imagine, dans le pire des cas il trouvera bien une âme en peine qui acceptera de boire l'infamie. Contrairement à ce qu'elle dit, elle n'était pas dans l'étalage le moins cher, mais il s'attendait à bien mieux, il ne le cache pas. Elle se tourne vers le brun, le détaille alors qu'il n'y prête plus attention, les yeux fixés sur la route, sur le fait de ne pas risquer un accident, ne pas la mettre elle en danger. Les rues défilent rapidement, pas assez au goût du Britannique, mais il ne passera pas la vitesse supérieure tant qu'elle sera à bord, pas avec autant de monde sur la route ; pas s'il est le seul prêt à prendre ce risque.
Il s'amuse à lui répondre, naturellement, que la boisson aux pieds de la jeune femme est la seule avec laquelle il finit par noyer son crâne, mais elle l'entend différemment. La petite pique qu'elle lance pour lui montrer l'ironie de sa phrase le fait sourire, ce dernier s'élargit légèrement plus lorsqu'il aperçoit la jeune femme remonter le peu de tissu qui lui reste encore sur les jambes. Ça l'amuse qu'elle préfère y voir des allusions, qu'indirectement elle lui fasse un compliment, qu’elle lui fasse clairement du rentre-dedans. Ouais, c’est bizarre, on ne s’attendrait pas à ce que cette discussion tourne dans ce sens, mais il n’est pas indifférent aux courbes de la jeune femme, son caractère de lionne et le joli tatouage qui sied la ligne des fesses de cette dernière.

— Oh crois-moi, je m’en souviendrais aussi.

Il aimerait sourire plus longtemps, bêtement au son de la voix de la rose, mais le chemin finit par se terminer, leur route est sur le point de se séparer. Le brun la prévient qu’elle est arrivée à bon port, sentant bien que l’alcool a commencé à faire effet sur la douce, elle ne peut pas s’empêcher d’en rajouter une couche. Il rit doucement à la note qu’elle lui met, au fait qu’elle le pardonne un peu pour la soirée gâchée, finalement il ne s’en est pas si mal sorti. Au moins, elle ne le déteste pas, mais c’est un début.
La rose sort de la voiture, récupère ses affaires, s’allume une cigarette, semble réfléchir quelques secondes en observant le brun. Tout ça se passe en à peine une fraction de seconde, mais finalement ça fait tilt dans la tête de la jeune femme, elle l’invite finalement à la rejoindre. La route jusqu’à la maison semble bien loin maintenant qu’il y regarde bien et la proposition de la jeune femme devient tout de suite alléchante. Il se moque bien de sa chemise, de s’il la reverra un jour finalement ; elle est en sécurité, c’est le plus important maintenant. L’ombre d’un sourire traverse le visage du brun alors qu’elle referme la porte de la voiture et qu’elle se dirige vers l’entrée de l’immeuble. Il comprend qu’elle lui a fait une proposition expirable dans le temps, que c’est à prendre ou à laisser, mais la nuit sera bien plus amusante avec elle, au moins jusqu’à ce qu’il reprenne la route.
Le Britannique suit le mouvement, éteint rapidement le contact, attrape tout ce qui ne se trouve pas déjà dans ses poches, bouteille de rhum à la main, pochon glissé difficilement dans la poche de son jean. L’odeur de nicotine indique le chemin, il ne fait que suivre la fumée pour retrouver la rose, juste à temps avant que la porte ne se referme sur son nez. Il monte les marches quatre à quatre pour la rattraper, ne souhaite pas avoir fait vite pour rien.

— Le chauffeur souhaiterait récupérer une étoile ou deux de plus.

Il lui lance ça avec un petit sourire en coin, une main affairée à se gratter l’arrière de crâne. Le brun se rend bien compte qu’ils ne sont pas du même monde, à peine il passe la devanture de l’immeuble, le hall n’a rien avoir avec le sien, en nuances de crème et blanc immaculé, moderne et minimaliste. Léo lui emboîte le pas alors qu’ils se dirigent vers l’ascenseur, la regarde doucement s’adosser contre l’une des parois de la cabine, l’alcool faisant définitivement des ravages.

— C’était dégueu la liqueur à la menthe, j’entends, mais à ce point-là ?

Lui a une endurance sans limite à l’alcool, comme si son corps avait déjà prévu le coup, alors il ne comprend pas vraiment, se demande finalement si elle est réellement en état de continuer de boire ou si elle ne va pas finalement recracher son repas sur ses godasses.

— Tu vas tenir le coup ?

Cette fois, sans ironie, sans volonté de la tacler, simplement être certains qu’elle est en état de poursuivre la soirée, parce que maintenant, s’il lui arrive quoi que ce soit, il sera le coupable désigné par avance. L’hôpital le plus proche n’est pas la porte à côté, pourtant il n'aurait aucun mal à réduire la distance en une fraction de seconde, sans broncher. Finalement les portes s’ouvrent sur l’appartement de la jeune femme. Ils ne sont définitivement pas du même monde.
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Felicy Doughall
Felicy Doughall
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Felicy Doughall
Lun 20 Fév - 11:39
@dogs___teeth

we don't have to dance ☾
La fumée de ta cigarette pénètre, comme toi, l’enceinte de ton hall d’entrée. Au prix où tu paies le loyer tu te moquais bien des règles de bienséance et vu l’heure, personne n’allait venir te dire quelle mauvaise voisine tu fais. Tu ne te retournes pas, rejoins l'ascenseur, ne lui laisse pas le temps de discuter. Pas du genre à chipoter tu sais que tu passeras quand même une bonne soirée sans lui ; mais tu ne refuserais pas la compagnie s’il accepte de te rejoindre.

Et c’est ce qu’il fait,
prétextant chercher une meilleure note.

« C’est pas dit, mais si tu te donnes à fond peut-être que mon commentaire sera plus joli. »
lui réponds-tu une fois adossé au miroir de la cage en fer. Clairement tu sais pourquoi tu le fais venir chez toi, peut-être une once de gentillesse, certainement pour partager ton lit avec lui.

Et tu sais que c’est ce qu’il se passera.

Il te regarde, pas inquiet mais presque moqueur sur ton état. Ose te demander si tu es capable de tenir le coup.
« Range tes tracas, mon état c’est mon problème, je suis une grande fille. »
Lui répondras-tu. Bien sûr que tu sais que la fameuse limite est presque attente, mais tu sauras te gérer comme il le faut pour rester claire, surtout avec un inconnu chez toi.
Tu as plus que l’habitude de sortir, tu connais les lendemains un peu difficiles, bien que la technologie maintenant efface la plupart des mauvais côtés des beuveries. Et quand on sort comme toi pour chercher avec qui terminer la soirée, on sait bien que trop boire peut rapidement devenir un problème, voir devenir dangereux.

La montée s’arrête, les portes s’ouvrent et tu t’engouffres dans ton appartement. La chaleur de celui-ci te fait du bien, lassée de cette chemise comme seule barrière contre le froid. Tu avances directement face à ton ilot de cuisine, un meuble en bois blanc surplombé par une planche de chêne massif. La pièce pour laquelle tu es la plus fière de ton appartement, pourtant refait entièrement à neuf selon tes choix. Le sexe ça paye plutôt bien, tout comme l’iilicisme.
Tout est carrelé, du sol au plafond, un crème chaleureux aux murs raccord à un plus foncé au sol, orné de divers tapis blanc un peu partout. Un canapé d’angle chocolat occupe le coin opposé à ta cuisine ouverte, presque invisible sous la tonne de plaid que tu gardes pour les nuits froides quand tu t’endors devant ta télévision. Deux spots trainent droit à côté du meuble, souvenir d’une scène tournée pas plus tard que ce matin.

« Il faut que j’aille prendre une douche avant quoi que ce soit. »
dis-tu en posant ton sac et tes clefs sur le comptoir, puis en écrasant ta cigarette dans un cendrier. Tu n’as pas peur qu’il te vole quoi que ce soit, ton badge permettant d’activer l’ascenseur reste bien dans la paume de ta main ; et vous êtes quand même au neuvième étage, tu le vois bien casse-cou mais pas non plus suicidaire.
« Ne fais pas comme chez toi, mais sois pas timide non plus. »


Tu défais sa chemise et lui jette au visage, entreprend de rejoindre ta salle de bain en continuant d’enlever tes sous-vêtements, offrant une nouvelle vue de dos au brun avant que les murs ne te cachent. Tu laisses la porte ouverte et l’eau fait bien vite de couler et réchauffe correctement ton corps, la laissant couler le long de tes cheveux pour les décoller. Vite enlever cette odeur de sucre.

« Il y a des verres dans le placard du haut à droite dans la cuisine, prends celui que tu veux et prends moi un verre à vin. Aussi il y une bouteille de Tariquet blanc dans le frigo, si tu peux l’ouvrir pour moi en évitant de la casser avec les armes qui servent de mains. »
cries-tu pour qu’il t’entende sous le tonnerre de gouttes.

Après une bonne demi-heure ta peau retrouve sa douceur et tes cheveux l’odeur de rose, tu enfiles une serviette, l’eau ruisselant encore légèrement de tes mèches, pour sortir rejoindre ton partenaire de soirée resté dans le salon. Tes pas te mènent au canapé où tu t’installes et tires d’un petit tiroir une boîte rose, y trouve de quoi rouler et assez de beuh pour une semaine entière. Tes doigts s’affairent après avoir lancé une playlist, histoire de combler le silence que votre rencontre peut emmener, bien que des choses à dire tu sais que tu en as.



« Je tiens à dire que tu fais partie des rares qui passent le pas de la porte, alors ne t’habitue pas, Léo. »
une mise en garde, lui faisant comprendre qu’après ce soir, il ne te reverra jamais. Un point d’honneur sur son prénom, cherchant encore une fois à avoir le contrôle sur l'entièreté de la situation.

Si tu devais faire une exception, peut-être qu’il la serrait. Sans vraiment de goût en particulier, ceux qui n’ont pas froid aux yeux sont ta némésis. Des poings prêts à frapper pour défendre, une mâchoire droite, des yeux whisky à en faire tomber plus d’un.e. Tu ne doutes pas une seconde de son succès sur ce plan là. Il a déjà ce petit quelque chose qui t’attire, alors autant le prendre.
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Léo N. Abberline
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Léo N. Abberline
Mar 21 Fév - 19:37
@misfit
we don't have to dance
Le brun sourit doucement à la réponse de la rose, parce qu’elle a du répondant et ne se laisse pas démonter quand elle a quelque chose à dire, parce qu’elle est assez forte pour lui envoyer dans la tête qu’elle peut se suffire à elle-même pour sa consommation d’alcool. Il n’en est pas aussi certain qu’elle le laisse croire, mais il n’en dit rien, après tout il sera là si quoi que ce soit doit arriver. Il en a déjà vu pleins, ceux qui finissaient par avoir des convulsions à force de vouloir tester leurs limites, il les avait conduits à l’hôpital, pour certains, mais l’humeur n’est pas aux salles d’attente et à l’odeur de naphtaline.
Il reste silencieux le reste de la montée, jusqu’à la petite sonnette indique qu’ils sont arrivés à bon port, directement la chaleur de l’appartement s’engouffre dans la cabine, il ne prête pas attention à la décoration de l’intérieur, ça se ressemble toujours dans ce genre d’immeubles. Il s’arrête pourtant doucement sur les deux spots qui trônent bêtement à côté du meuble télé, il s’imagine qu’avec son attitude et son physique, elle doit faire partie de celles qui passent leur temps à se prendre en photo et attirer les foules avec. Ça lui ressemble bien, en tout cas.
Trop concentré dans ses pensées, il ne l’entend pas lui parler d’aller se laver, il finit par reprendre son attention sur elle quand la chemise vole jusqu’à sa tête, qu’elle ait terminé de donner les règles de son appartement. Il récupère le vêtement qui ne sent maintenant plus que la rose, pendant ce temps-là, le Britannique aperçoit la jeune femme continuer de se déshabiller, lui offrant un spectacle qu’il n’aurait manqué pour rien au monde. Il s’attarde doucement sur les tatouages qui parcourent le corps d’albâtre, avant qu’il ne disparaisse, il lui faudra quelques secondes pour comprendre ce qu’il se passait, à peine après que l’eau ne se soit mise à couler dans le fond de la baignoire de la propriétaire.

— C’est pas dans mes habitudes de faire dans la dentelle, mais j’imagine que ta bouteille ne craint rien. Cri-t-il assez fort pour qu’elle l’entende à travers la salle de bain et l’eau qui lui tombe dessus.

Il s’affaire, récupère aisément ce que la dame lui a demandé, ouvre sans aucune pitié la bouteille, avec les années, il sait y faire ; pourtant le vin n’est définitivement pas sa priorité lorsqu’il entre dans un bar. Il sert la jeune femme, entame la bouteille de rhum pour le verser dans son propre verre. La conversation continue quelque peu, mais très vite les hurlements se font pesants, alors le brun cherche de quoi s’occuper le temps d’attendre sa partenaire d’un soir, glisse les deux verres sur la table basse, se cale sur le canapé d’angle, laisse les plaids trainer non loin sans pour autant les déplacer. Le téléphone sort de sa veille lorsqu’il le dépose sur la table avec le reste de son matériel pour fumer, petit sourire en coin lorsqu’il aperçoit le fond d’écran qui a été changé ; c’était définitivement du rentre-dedans.
La préparation prends peu de temps, peu par rapport au temps qu’elle met à sortir de son cocon pour le rejoindre, alors quand elle arrive, il est encore sur son téléphone, fouille dans les dernières updates de sa messagerie, cherche à se rassurer qu’il ne sera pas appelé pour du travail ce soir. Elle revient enfin, rejoint le brun alors qu’elle est encore simplement dans une serviette, les cheveux encore humides, sans aucun artifice, mais tout aussi belle ; elle est étincelante. Comme le brun l’avait prédit, même si elle sait se mettre en valeur, elle n’a quasiment aucun effort à fournir pour être somptueuse, sublime.
Il ne dit rien à sa remarque, se contente de sa chance, sait très bien qu’ils ne se reverront pas après ce soir, car les règles sont mises en place et qu’il n’a pas prévu de les abandonner un jour. La revoir signifierait s’attacher et il ne peut plus se le permettre, par contre il tique légèrement quand il entend son prénom, il n’a pourtant rien dit ; se demande pendant quelques secondes si elle n’est pas de l’autre côté de la barrière pour pister son identité de la sorte. Pourtant ça ne ferait pas sens avec ce que contenait sa boite à la couleur de ses cheveux, contenant bien plus d’herbe que son pauvre pochon ; Faites que ce ne soit pas une farce.

— Merci pour le cadeau. Très imagé.

Le joint finit par être allumé à côté d’elle, profitant de la musique qui passe, la regarde jouer des doigts pour rouler son propre parchemin. Oui, il la bouffe du regard. La fumée se consume et son esprit avec, les barrières semblaient bien minces, maintenant elles sont complètement effondrées. Léo a visité bien des lits, mais sa partenaire d’un soir lui donne bien plus d’envies qu’avec les autres. Parce que c’est bizarre, ça ne fait pas de sens, c’est en désordre, mais ça lui plaît.

— Je vais omettre le fait que ton petit doigt t’ait balancé mon nom, je vais mettre ça sur le compte de la sécurité.

Il expire lentement la fumée, lui lance son briquet fétiche pour qu’elle allume son cône, un petit sourire se glissant sur ses lèvres ; les conneries montant bien plus vite au crâne maintenant que l’adrénaline est en train de redescendre, que son corps trahit l’envie d’aller visiter toutes les encres qui ont touché à la douce qui est à ses côtés.

— Ceci dit, est-ce que je pourrais mettre un nom sur ça ?

Sa deuxième main glisse le téléphone jusqu’à elle, sur l’écran de verrouillage, laissant une vue imprenable sur le corps de la jeune femme.
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Felicy Doughall
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Felicy Doughall
Jeu 23 Fév - 0:48
@dogs___teeth

we don't have to dance ☾
Tes cheveux à peine humide laissent quelques gouttes s'échapper de la crinière, certaines te font frissonner, d’autres te chatouillent. Concentrée, tu l’écoutes en même temps te parler, te remercie pour le cadeau que tu lui as fait. Tu ne comprends pas de suite, puis laisse échapper un petit rire soufflé alors que tu termines de rouler ton joint, attrape le briquet qu’il te lance et l’allume. Cette image.

« Hm… Tu peux. Navré de briser tes rêves de fliquette bien gaulée, être politiquement correct n’a jamais été mon fort. »
dis-tu en recrachant ta fumée, avant d’attraper ton verre pour le tenir de la même main. Il continue de te parler, tu profites de l’écouter pour te déplacer, ramenant tes jambes à toi tout en te tournant vers lui, cherchant bien entendu à lui offrir toujours plus de spectacle. Ton sourire ne s'échappe pas de ton visage alors qu’il fait glisser son téléphone à toi sur la table basse, laissant entrevoir l’image dont il parlait il y a quelques secondes. Ton regard oscille entre ce téléphone que tu as fouillé et son regard à lui ; avant de l'ancrer définitivement pour boire une gorgée de ta boisson.

« Je la connais celle-là, il parait qu’un gros lourdaud à renverser son verre sur elle en boite, pas plus tard qu’aujourd’hui d’ailleurs. »
tu poses ton verre, prends une deuxième latte, puis te rapproche de lui et te place bien confortablement dans le coin de ton canapé d’angle ; histoire de finalement poser tes jambes sur ses cuisses, toujours autant amusée alors que petit à petit l’alcool se mélange à votre nouvelle occupation de la soirée.

Ça ne devait pas vraiment se finir comme ça, tu n’avais pas imaginé ça. Tu venais vraiment d’inviter le type qui avait dégueulassé ta robe plus tôt dans la soirée… Et tu comptais bien à ce qu’il reste pour passer la nuit. Et en même temps, quelque chose chez lui change de tes autres conquêtes, mais tu n’arriverais pas à mettre le doigt dessus. Sa démonstration de force ? Ou ses petits tics que tu remarques. Peut-être le fait qu’il ait réussi à te faire rire rapidement, contrairement aux autres où tu avais dû faire semblant pour obtenir faveur.

Il n’est pas mal,
Vraiment pas mal.

« Bon le mec s’est quand même dit qu’il fallait la ramener chez elle. Pour se faire pardonner, ou pour protéger son cul des crevards qui lui traînaient autour, elle ne sait toujours pas. C’est pas bien important tu me diras. »
Encore une fois tu rigoles doucement, beaucoup plus souple sur tes paroles, dans ta manière d’être.
« Bon il reste plus grand chose de ces types, faut croire qu’il cachait bien son jeu. »


Car tu as beau détester les gros muscles et ceux qui s’en vantent, tu avais quand même été touchée de l’action. Pas du sang au sol non, du fait qu’il soit revenu sur vos pas pour terminer tes potentiels agresseurs.

Ton autre main se lève, tu lui tends,
comme un bonjour qui se voudrait formel.

« Felicy. Et tu peux garder la photo, en espérant qu’elle te plaise. »


Tu pourrais le dévorer sur place,
Mais tu n’as pas envie de craquer la première.
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Léo N. Abberline
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Léo N. Abberline
Lun 27 Fév - 21:47
@misfit
we don't have to dance
Il en a vu des mannequins en devenir, a déjà eu l’occasion de faire le tour des lits de la moitié de la ville, mais jamais il n’avait rencontré quelqu’un comme elle. Parce qu’elle est marrante, cinglante et qu’elle serait capable de réveiller un mort avec les courbes qui s’affiche sur le téléphone du brun. Elle s’amuse encore à le faire tourner en bourrique, à lui montrer qu’elle comprend ses inquiétudes, lui fait savoir qu’elle n’est pas de la police, il sourit doucement, alors que les blagues vaseuses lui viennent en tête, mais il ne pipe pas mot. Les jambes de la rose rejoignent le canapé, laissant presque visible ce dont le brun rêve depuis qu’il l’a vu quitter le séjour pour aller se laver. La conversation suit son fil, il lui demande malgré tout son prénom, se demande comment une rose aussi jolie et épineuse peut bien se nommer, sachant pertinemment qu’il n’aurait jamais plus l’occasion de prononcer son nom après la soirée. Une histoire ancienne avant même qu’elle ne puisse débuter sur quoi que ce soit, il a bien compris que les règles du jeu sont communes, qu’il n’y aura rien de plus que ce qui arrivera aujourd’hui.
Après avoir regardé doucement la photo, le regard océan plonge dans le whisky, s’y accroche alors qu’elle commence à boire, blague sur les événements récents, comme s’il s’agissait de deux inconnus. Il sourit légèrement, quand elle le traite de gros lourdaud, finalement bien moins frustré que lorsqu’elle était en train de pester contre lui alors qu’il assurait n’y être pour rien. Elle continue la conversation, après s’être installée dans le coin du canapé, près de lui, les jambes maintenant posées sur le brun. Ça le brûle de l’attraper tout de suite, d’agripper ses lèvres avec les siennes et de faire taire le monde pendant un temps, mais elle a encore des choses à dires, alors il l’écoute, apprécie chaque rire qui sort de la bouche de la rose, la rejoignant en chœur quand elle énumère les raisons possibles pour lesquelles il l’a ramenée chez elle. Elle n’a pas tort quand elle dit qu’il l’a fait pour la protéger, n’énonce pas le moins du monde qu’il aurait probablement eu la même réaction pour une autre, parce que ce ne sont pas des choses qui se disent.

Après quelques taffes, il regarde quelques secondes la main que la douce lui présente, les siennes affairées à suivre la courbure des jambes infinies découvertes. Finalement elle se présente enfin, lui dit que la photo est cadeau, qu’il peut la garder ; comme un souvenir de la soirée unique qu’ils passeront ensemble. Enfin elle garde ses lèvres fermées, alors il imagine que c’est son tour, prend la main de la douce dans sa sénestre, embrasse doucement cette dernière, la seconde glissant dans le creux de son genou pour l’attirer jusqu’à lui, presque au point qu’elle soit assise sur lui. Il se brûle dans la manœuvre, le bâton enflammé mal coincé dans sa main, mais il n’en dit rien, profite du paysage aquatique qui se trouve dans les deux billes de sa partenaire.

— Il doit en avoir de la chance pour qu’elle ait daigné lui adresser la parole après tout ça. Il s’estime heureux, j’en suis certain.

Il ne la quitte plus du regard, ses yeux descendent, observent chaleureusement l’encre qui marque sa peau maintenant qu’elle est toute près. Le brun ne pourrait pas mentir sur le fait qu’il ne cracherait pas sur l’idée de la faire sienne pour la nuit, mais le regard qu’il pose sur elle n’est pas celui d’un charognard prêt à bouffer sa proie, non, plutôt celui d’un amateur inspiré par une nouvelle œuvre d’art.

— Manquerait plus qu’elle l’ait fait monter jusqu’à son appartement après tout ça. Pourtant il a prouvé qu’il n’était pas tendre.

La main de la rose reste dans celle du Britannique, alors qu’une nouvelle bouffée de fumée est éjectée de ses narines, ils savent tous deux que les hostilités sont déjà commencées, alors la roulée tombe dans le cendrier, s’éteindra tout seul pour ne rien en gâcher.

— En tout cas, le cadeau lui a plu, la rose est très belle et il n’a pas peur de s’approcher des épines.
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Mar 28 Fév - 0:50
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Ses mains sur tes jambes te plaisent plus qu’il ne le faudrait, ses lèvres sur le dos de ta main un délice ; sa force qui t’attire à lui est ton pion qui se déplace sur le plateau. Encore une fois, c’est toi qui à les cartes, toi qui tire celle que tu veux, quand tu veux. Son regard déviant est un régal, ne cherchant plus à s’en cacher, ayant bien compris la raison de sa venue qui clairement n’était pas gagnée au vue des premiers évènements de la soirée.

Tu te retrouves bien proche,
Peut-être trop proche.

Pour lui.

Ton joint rejoindra le sien.

Ton sourire ne démord pas alors que ton corps profite encore de la légèreté de l’instant qui, tu es sûre, ne va pas cesser de grimper. La drogue aide bien évidemment, mais le beau brun y est également pour quelque chose. Ses mots s'enchaînent, entrant dans ton jeu d’une voix amusée, tu en rigoles doucement alors que tu te déplaces un peu plus à lui, utilisant ses cuisses comme ton nouveau fauteuil, une jambe se glissant de l’autre côté de son corps sans chercher à cacher quoi que ce soit.

« Peut-être qu’elle ne cherche pas la tendresse. »
dis-tu d’une voix mielleuse, quittant sa main qui te tenait pour aller explorer son torse, puis ses épaules sur lesquelles tu places tes paumes. L’ambre de ses yeux semblent plein de secrets, plein d’histoires que tu pourrais avoir hâte d’entendre au coin de l’oreiller.

Mais vraiment tu n’en a rien à faire.

Les doigts d’une main s’engagent sur l’arque de sa nuque, s’introduisant dans la naissance de ses cheveux, les ongles doucement chatouillent sa peau. Les compliments tombent à tes oreilles, flattent ton égo, tes lèvres s’approchent de sa mâchoire et ta poitrine se colle à la sienne.

Le jeu à assez durer.
Tu veux qu’il craque.

« Dis moi quelque chose que je ne sais pas, Léo. »


Tes lippes se posent dangereusement sur sa peau déjà chaude, ta croupe brise l’espace entre vos bassins. À comparer, tu as déjà eu des occasions pareilles, mais tu additionnes rarement toutes ces qualités chez tes conquêtes. Tu imagines aisément qu’il sera l’un des meilleurs, un qui marquera l’aventure plus que les autres, laissera sa marque éternellement pour ne plus jamais y faire apparition. Il n’a pas été difficile de voir que de son côté l’idée est la même et c’est parfait ; pas de lendemain, pas d’appels, pas de rendez-vous. Rien. Juste deux corps qui se rejoindront pour une nuit, enflammeront le voile des étoiles pour se séparer au petit matin.

Tu admires ceux qui s’accrochent, ceux qui tentent d’avoir plus sans jamais effleurer la possibilité. Ils ont quelque chose en plus, un côté touchant. Mais ce n’est pas ce que tu veux, tu n’as pas le temps pour ça, ça ne t’intéresse pas. Tu aimes ta liberté, tes ailes sauvages.

C’est en continuant la valse de tes lèvres sur son épiderme que tu détaches cette serviette bien trop encombrante. Elle tombe sur les genoux de ton partenaire après que tu aies tiré dessus pour la dégager, toujours collé à lui, avant de te retirer pour lui laisser à quoi il aura droit ce soir, le laisser savourer des yeux avant de pouvoir y toucher.

« Je suis plus épines que rose par-contre, saches-le. »
(c) kitty from the moon
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Léo N. Abberline
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Mer 1 Mar - 12:50
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we don't have to dance
Qui aurait pu croire que les deux êtres réunis dans cette pièce finiraient par se faire du rentre-dedans. Les débuts ont été catastrophiques et la soirée bien longue pour le brun, elle l’est toujours, mais le jeu a changé. Les participants connaissent bien les règles, semblent tous deux bien trop conscients des risques qu’ils pourraient encourir si les sentiments venaient se mêler à la partie. Aucun amour, simplement la luxure et le brun ne sait que trop apprécier celle de la rose, elle se glisse sur ses jambes, ne lui laisse plus aucun doute sur les futurs événements de la soirée.
Elle lui dit qu’elle ne cherche pas la tendresse, ça tombe bien, cela fait des années qu’il ne sait plus l’être, qu’il a perdu la faculté de prendre les choses avec douceur. Le temps l’a fait devenir un peu plus carnassier, il ne demande plus son reste, plante ses crocs là où il y a de la place, quand on lui donne l’occasion. Alors il prend ce qu’on lui offre, les mains de la douce glissent sur son corps, passent de son torse à sa nuque, ses longs ongles manucurés perdus sur le crâne à moitié rasé du brun. Les mots sortent de sa bouche, compliments naturels et sans prétention, honnêteté non cachée, quand bien même elle doit savoir ce qu’elle vaut ; et elle le lui fait remarquer. Il sourit doucement, pourrait lui énoncer bien des choses qui la surprendrait, s’il en avait le cœur, mais il est affairé ailleurs, sur les lèvres de la rose qui frôlent sa mâchoire, du contact entre eux, de ses lèvres qui chantent son prénom. Les deux brûlent d’un même feu, enflamment la chandelle des deux côtés, sans chercher à ralentir le temps. Ils savaient tous deux ce qu’ils faisaient quand ils ont accepté de remonter dans cet appartement ensemble, n’ont aucune raison d’apprendre à se connaître, alors pourquoi y aller par étape ?
Ses yeux avides de la faire sienne pour la soirée, de disparaître le lendemain. Il n’a pas honte d’être le type qui se fait renvoyer chez lui après s’être amusé, parce qu’il a eu son moment de plaisir aussi, que ça ne serait qu’une perte de temps de batailler, parce que c’est plus simple comme ça ; qu’il n’a plus le cœur aux sentiments. Oui le brun a aimé, mais la luxure seule, elle, n’apporte pas de malheur, en tout cas c’est ce qu’il pense.

Le dernier rempart de tissu de la rose est retiré par cette dernière, le sourire du brun s’élargit un peu plus ; content de voir que l’emballage est encore plus croustillant que ce que pouvait laisser penser la photo restée sur son téléphone. Elle se décolle légèrement, les mains du brun passent des cuisses, où elles étaient restées, aux hanches de la jeune femme. D’une main, il vient retirer pull et t-shirt, les jettes un peu plus loin sur le canapé, là où ils ne dérangeront plus personne. Ce soir ils ne feront qu’un et il souhaite bien sentir sa peau contre la sienne le temps que ça durera. La rose lui dit ce qu’il savait déjà, qu’elle est plus épineuse qu’une simple jolie plante, il l’avait compris au premier abord, n’avait pas montré la moindre hésitation sur cette affirmation.

— Dis-moi quelque chose que je ne sais pas déjà.

Après un petit clin d’œil, il se courbe un peu, remonte son visage jusqu’à elle, alors qu’elle le surplombe légèrement, vient mordre légèrement le creux de son cou. Comme pour jouer avec les mots de la jeune femme un peu plus tôt : lui aussi sait avoir du piquant. Finalement, le brun embrasse l’endroit qu’il vient de marquer, continue le chemin de baiser en passant par le creux de sa mâchoire, s’arrête quelques secondes devant la bouche de son partenaire.

— T’as les épines, j’ai les crocs. Deal.

Sans crier gare, il s’approche un peu trop près, s’aventure sur un terrain qu’il pense si bien connaître, tente de coller leurs lèvres, mais elle l’arrête. Qu’est-ce c’est que ce foutoir ?
sorry — sarcasm just falls out of my mouth, like bullshit falls out of yours

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Felicy Doughall
Felicy Doughall
Popularité : 150000
Gif : (end) [tw - drogue / sexe] we don't have to dance • felicy Belle-belle-delphine
Onyx : 349
Occupation : charcudoc - escort - vet tech - tds
Faceclaim : black lady - belle delphine
Pronoms : she / her
Trigger Warning : none
Double Compte : Helios S. Gallagher ; Maeve Shaughnessy
Upgrades & Inventaire : UPGRADES
- programme pirate ;
- taser intégré.

INVENTAIRE
- clopes et briquet ;
- clef du cabinet ;
- colle à faux ongles ;
- téléphone personnel ;
- téléphone OnlyFans.
Felicy Doughall
Jeu 2 Mar - 0:57
@dogs___teeth


 
Ses mains sur ton corps déclenchent un feu en toi que tu ne connais que trop bien et en même temps, tu les trouve bien différentes des autres. Tu n’es qu’un jouet ce soir, comme lui, tout ira très vite, il passera certainement la nuit ici, tu refuseras les avances du matin et il partira sans réclamer son dû. Alors pourquoi as-tu l’impression d’être plus qu’un bout de viande ?

Tu souris à sa répartie, amusée, presque attendrie.
Tu n’y réponds pas, lui laisse ce dernier mot.

Non, tu ne voulais effectivement rien savoir de ces yeux ambrés. Juste qu’il te prenne et que plus jamais tu n’entendes parler de lui. Mais il y a quelque chose de plus, un élément à l’équation que tu ne vois pas souvent, mais tu ne saurais pas mettre le doigt dessus.

Est-ce vraiment important ?
Pas vraiment.

Ses dents glissent sur ta peau, tu espères qu’il ne la marque pas et ce sera à vérifier demain matin devant ton miroir, même si c’est facile à cacher avec un peu de maquillage. Le chemin de ses baisers ne fait qu’augmenter la flamme, son corps presque nu contre le tiens t’attire, serait presque prêt à te faire chavirer du côté docile de la balance, mais tu aimes bien trop le contrôle pour ça. Tu allais lui répondre, ayant quitté ton cou pour te parler, mais tu n’en auras pas le temps.

Trois doigts se posent sur ses lèvres, les tiennes se pincent entre elles.

« Non. »
lui dis-tu sèchement, prenant un peu de temps pour lire la stupeur dans ses yeux, l’incompréhension.
« Tu embrasses toutes les putains que tu veux, mais pas moi. Tu n’es pas là pour me donner de l’amour. »


Tes ongles dansent sur sa nuque,
Tes lèvres trop proches des siennes,
Bloquées par ta peau.

Qu’est ce qui t’empêche de l’embrasser ? Surement le fait que tu n’ai jamais embrassé personne Felicy. Tu pourrais sortir une phrase bâteau, comme quoi tu laisses ça à la bonne personne, à celui ou celle qui gagnera ton cœur de pierre. Mais non, tu ne le fais juste pas, tu gardes ça comme pour mettre une barrière entre eux et toi. Bien évidemment tu te tiens de lui dire, probablement qu’il s’en fiche et surtout parce-que tu n’as pas à te justifier sur ça.

Ton souffle s’écrase sur son visage.

« Tu es là pour me baiser beau brun… »
lui chuchotes tu, impatiente de goûter à sa chaire.
« … Et j’ose espérer que tu sais t’y prendre. »
. Tes doigts s’échappent finalement de ses lèvres, tracent un chemin vers son bas ventre, atteignent les coutures de son jean.

« Je te laisse quand même le choix de décider si tu préfères faire ça sur le canapé ou dans la chambre. »
(c) kitty from the moon


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