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    28/12/22
  2. Une nouvelle annonce est disponible ! Trois nouveaux scénarios et un prédéfini ont été ajoutés, ainsi que de nouveaux défis et upgrades. Pensez cependant à aller la lire pour pouvoir vos recenser avant le 9 avril en cliquant ici !
    26/03/23
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Anciennement Las Vegas ▬ Nevada, États-Unis d’Amérique. Les mégacorporations dominent la vie citoyenne et politique tandis que la population goûte les joies des améliorations cybernétiques et autres modifications corporelles. Livrés à vous-mêmes dans la ville de tous les plaisirs, vices et excès vous pouvez ici vivre ; et surtout être tout ce qui vous fait envie !

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strawberries & cigarettes ft. victoria
Felicy Doughall
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Felicy Doughall
Mer 19 Avr - 14:48
@dogs___teeth


 
Le bleu de tes yeux habillé de noir, tu regardes nonchalement ta copine dans le reflet du miroir en recouvrant tes lèvres de rose. Le pelage de Toast chatouille ta cuisse alors qu’il reste assit à côté de toi, collerette bien ancrée sur son cou, la queue remuante.

Ta copine ce soir, c’est Rebecca. Becca pour les intimes. L’une des filles les moins racoleuses de ton groupe d’amis, celle que tu choisies pour aller simplement boire un verre dans les boîtes de nuit qui tapent un peu moins fort niveau musique. Elle parle bien, elle connaît ses tables de multiplication et surtout à un avis bien tranché sur ta vie et ce que tu en fais. C’est vraiment pas ton genre de prendre en considération les reproches des gens, mais de temps en temps ça fait du bien.

Elle sait comme tu aimes les bêtes,
Mais ne pensais pas qu’un jour tu en adopterais une.

Forcément tu lui as expliqué. Tu lui as tout expliqué.

Votre rencontre au bar, la course poursuite, l'habileté avec laquelle il a cassé la gueule à plusieurs types en même temps, sa façon de conduire peu orthodoxe et l'art avec lequel il t'a fait chanter. Et si ça aurait dû être vos dernières aventures ensemble, la vie en a décidé autrement en mettant un chien entre vous.

Tu pinces tes lèvres pour parfaire ton maquillage,
Ta main se pose sur la tête du shiba, le caresse doucement.

Toast, c’est une garde partagée. Un peu floue pour l’instant, le cleps est encore en convalescence chez toi pour que tu puisses le surveiller et lui donner tous les soins et l’attention dont il a besoin… C’est déjà prévu que Léo vienne le chercher et qu’il passe une semaine chez lui, avant que tu ne le récupère pour toi aussi une semaine. Comme un chiard aux parents divorcés. Tu as déjà commandé tout le nécessaire à donner au brun ; panier, croquettes, laisse et gamelle… Pas que tu ais pitié de son compte en banque, l’idée est plutôt de faire manger au chien de la vraie bouffe et pas une merde de supermarché. Et surtout qu’il mange dans un vrai bol, pas un tupperware.

Là aussi, Becca a eu un avis coupé au couteau.
Mais cette fois-ci ses mots n’ont pas touché de point sensible.

Tu enfiles tes talons, jolies chaussures poudrées ouvertes, fermées par un lacet qui remonte sur ta cheville. Tes paumes replacent ta robe sur tes fesses, tes cuisses, soie rose pâle aux fines bretelles ; dévoilant épaules et poitrine où un fin collier y tombe. Ton amie pince la finition du tissu pour le remonter un peu sur tes seins.

« Mais… T’as pas de soutif ? »
« Pour quoi faire ? »

« Tu fatigues meuf, tu t’étonnes après d’avoir les chiens en rut autour de toi. »
« Je m’étonne pas, c’est ce que je cherche à avoir. Ça s'appelle faire sa propre publicité mon cœur. »


Tu lui souris, elle ne bronche pas. Vous n’avez rien en commun, comment pouvez-vous être amies ? Beaucoup de monde se pose la question, mais ça fonctionne, alors vous ne cherchez pas trop à savoir quels sont vos atomes crochus. Vous faites, c’est tout.
Avant de partir, elle prendra le temps de faire ta tresse. Pas la dégueulasse qu’on fait aux gosses, la jolie en épis de blé, celle qui ne laisse que deux petites mèches de chaque côté de ta tête, glisse entre tes omoplates pour retomber jusqu’au bas de ton dos.

« Tu devrais te couper les cheveux. »
« Non, ils sont bien et ça permet d’avoir une prise. »


Elle ne comprend pas tout de suite.
Puis finira pas te donner une mine dégoûtée.

Un taxi plus tard, simplement munie de ton petit sac, tes chaussures, ta robe et une culotte, vous pénétrez dans la boîte. L’on te reconnait déjà, tu esquisses quelques sourires aux braves qui te saluent, ta copine lève les yeux au ciel avant de t'entraîner au bar. Elle commande quelque chose de fort, tu te limite à un petit cocktail léger, sachant très bien que malgré tes habitudes de sorties ton corps n’est pas fan de l’alcool. Et ça peut vite dégénérer.

La discussion ne reviendra plus sur Léo, bien que ton amie en garde une conclusion claire. Le garçon pourrait, selon elle, finir par s’attacher à toi. Tu en as rigolé, prétextant qu’au bout de votre troisième rencontre tu as pu comprendre comment il fonctionne et vous n’êtes pas loin de la même façon de penser. Et quand bien même, si c’est le cas, tu mettras fin à toute cette histoire. Et pour le chien, vous aviserez.

Votre petit partage s’arrête lorsqu’une personne s’approche de vous, tend une main timide vers ton amie et lui propose explicitement de venir danser avec lui. Elle te regarde, tu lèves un sourcil, l’incite d’un coup de tête à le rejoindre et, d’une main mimant un téléphone, à te tenir au courant de quoi qu’il arrive. Par là tu veux bien sûr exprimer trois situations: soit elle te rejoint plus tard, soit elle termine la soirée avec, soit faut la rejoindre et casser la gueule à quelqu’un.

Evidemment elle part avec cette personne,
Tes yeux la quittent alors qu’elle gagne la piste de danse.

Toujours assise, tes jambes se croisent sous le bar. Tu ne te sens pas l’âme d’aller aborder qui que ce soit, tu pensais avoir une petite soirée tranquille avec ta congénère, mais tu n’aurais pas voulu lui gâcher l’occasion de rencontrer quelqu’un. Tu te tournes vers la foule, verre à la main, coude contre le plan de travail pour t’appuyer.

Saisis ton sac, en sort une cigarette.

T’as pas envie d’aborder non,
mais quelqu’un t’abordera.
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Victoria B. Strutt
Victoria B. Strutt
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Victoria B. Strutt
Jeu 27 Avr - 2:16
@Baal_zebi


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Undress ‘em


Undress ‘em


Undress ‘em





   
Je la vois en rose, même les yeux fermés. La pensée m’arrache un rire silencieux. Un énième remouds, une dernière secousse parmi tant d’autres. Celle-ci ne semble être pour elle, assurément, qu’un sanglot de plus.

« -Qu’est-ce qu’il y a de si drôle, Kasa ? »

Mon cœur se soulève. J’ai envie de lever les yeux. De l’embrasser. De la serrer si fort qu’elle finisse par faire partie de moi. Ou l’inverse, je ne sais plus. Je n’ai jamais su.
Alors j’agrippe un peu plus fort sa cravate. J’enfouis davantage mon visage contre la soie bordeaux de son haut.

Je la vois en rose, même les yeux fermés.

« -Tu veux avoir besoin de quelqu’un, mais ne rien devoir à personne. », qu’elle disait. « -Ça ne marche pas comme ça, Nikkei. »

La rose s’est sentie mourir, en entendant la brune l’appeler par un sobriquet qu’elle seule a –avait !- le droit de prononcer ; en larmes. Vi jurerait voir Mika devenir plus petite et adorable, chaque fois qu’elle l’appelle Kasa.
Une histoire étrangement attendrissante. Elle l’appelle –l’appelait- ainsi par rapport à un ex en commun qui avait une fascination inexpliquée pour les parapluies. Manque de bol, les deux dernières syllabes de son prénom ont la même prononciation que le mot parapluie en japonais.
Elle était persuadée que la rose ne lui rendait pas son amour. Celle-ci ne se savait même pas encore capable de tant de tendresse.

Baal n’a pas pleuré en rangeant la puce dans son logement, cette fois-ci. Même les souvenirs les plus tendres, les temps les plus doux et les émotions les plus assassines ont cessé de lui arracher des larmes. C’est étrange. Plus on déchire le myocarde, plus ténue se fait la liaison entre le cœur et l’âme. Victoria esquisse un sourire défait. Termine d’une traite son verre de whisky. Tique, alors que l’eau de la douche trempe son joint. ‘L’a oublié de le poser. Encore. Propre, l’ex-mécanicienne choisit sa tenue du soir.
Et la rose sera drapée de noir. Il fait une chaleur étouffante aujourd’hui. Parfait, Baal ne comptait pas mettre beaucoup de vêtements. Un harnais en cuir. Une veste de tailleur dont l’unique bouton fermé fait office de rempart contre l’indécence. Des chaînes à n’en plus finir, là où la peau hâlée révèle en zones au teint diaphane le vestibule d’une liberté crue. Imposante, imposée et assumée. Un pantalon dont la toile ébène s’étend en-dessous d’un nombril apparent, où se montrent brièvement, tapis dans l’ombre du veston, des dessins à l’encre colorée. La rassurante mais peu utile froideur de son calibre .45 contre ses côtes. Des bottes qui donnent l’impression de n’exister que pour écraser les os de ceux qui croisent leur chemin. Le tout manque de poches à son goût, mais elle s’y fera.

Baal soupire. Fixe longuement la bouteille de gnôle irisée, sur sa coiffeuse. Bella lui a demandé d’être d’attaque  ce soir. La déposer ai Caesar Palace ; la ramener si la soirée s’avère ennuyeuse, peu lucrative, ou les deux.
« -Tu me demandes de t’attendre dans la voiture pendant que de vieux pervers pétés d’oseille font mine de renverser leurs verres entre tes seins dans le seul espoir de récupérer leur boisson à la paille ? », lance la majordome via sa puce. L’autre rit doucement, lui assure qu’elle pourra aller s’amuser en attendant, tant qu’elle répond à son inévitable appel.
« -Mouais. », maugrée la rose. « -Tu promets que je pourrai te malaxer le derrière, s’il n’y a aucun volontaire à ton goût ? » La maquerelle ricane sans daigner répondre, puis met fin à la communication.

Après le staccato du démarreur lançant l’engin, vient le ronronnement contenu du V10 atmosphérique. Un grognement accompagne le soupir satisfait de Baal. By the old gods and the new, elle ne s’en lassera jamais. Quelques rageurs rugissements plus tard, la Lexus LFA s’arrête au Caesar Palace. Puis à une quelconque boîte de nuit.

La rose file vers la porte sans même penser à essayer de faire la queue : Elle salue le videur, prend des nouvelles du bougre.
« -Alors mon bichon, comment va ton épaule depuis le mois dernier ?
-Eh ! Ça se remet doucement. Je peux de nouveau péter des gueules, c’est le principal, nan ? »
Un ricanement et une tape amicale plus tard, la rose passa la porte insonorisée du nightclub.

« -Essaie de latter les couilles à personne, ce soir. », lance le videur dans un sourire. « -J’promets rien, bichon ! »
Puis, le noir complet. Les basses qui s’annoncent à travers la porte du sas. Viennent ensuite la lumière, la fumée. La musique qui explose en une familière et décadente symphonie.
Un rictus féroce illumine le visage de Baal alors qu’elle passe derrière le bar pour saluer ceux qui y travaillent. Un verre. Deux. Puis un troisième. Les danses s’échangent, les regards se monnaient et les verres se font offrir.
Vi discute dans un coin de la boîte, peinard. Un sourcil arqué, son intérêt est piqué. Elle jurerait avoir déjà vu cette femme quelque part. Une habituée du monde de la nuit ? Une des nombreuses personnes dont elle tombe amoureuse d’un seul regard, alors qu’elles se croisent dans la rue ?
On s’en tape, en vrai. Certes, elle a une jolie robe. Et oui, Vicky adore le rose. Et la courbe de ses hanches. Le flottement du tissu, alors qu’il surplombe son nombril. Ce qu’elle donnerait pour crever entre ces cuisses, bordel ! Mais elle n’a jamais été particulièrement sujette au magnétisme des autres. Alors, la mécano s’étonne de sa réaction.
« -Oh, rose bonbon ! T’es amoureuse ou bien ? », rapatrie l’interlocuteur de la rose de sa rêverie.
« -Je le connais, le muffin à la barbe à papa. » Elle hésite quelques temps, puis s’écarte de son ami.
Vi navigue dans la mer d’humains alcoolisés qui la sépare de la jeune femme, saluant au passage les habitués qu’elle croise –et les filles de Bella qui leur twerkent dessus. Vient enfin la rencontre. La rose s’accoude au bar pour commander un énième verre. Lance le menton vers celui de sa compère de couleur, fait un signe de cercle de l’index pour que le barman lui serve la même chose. Puis, elle dégaine son paquet de clopes. S’en allume une, tend la boîte au débit de boisson humain qui se sert, et enfin à sa voisine.
« -J’ai une question pour toi, muffin : T’es venue pour t’amuser, ou parfaire ta resting bitchface fait partie de tes activités préférées, à toi aussi ? » dit –crie-t-elle à la demoiselle. Un verre levé vers celui qu’elle vient de lui offrir. Une gorgée de moscow mule. Une bouffée de cigarette.


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Dim 30 Avr - 22:18
@dogs___teeth


 
Mais les minutes passent, la musique file et tu te défile. Peut-être que ce soir n’est pas le bon soir, peut-être que finalement ton appartement était une meilleure option. Tu te retournes vers le serveur, observe les différentes bouteilles étalées sur le mur, leurs couleurs changeantes face à la lumière offerte par la piste de danse. Tu ne peux pas partir et la laisser seule ici tant que tu n’as pas de nouvelles d’elle et c’est clairement encore trop tôt pour lui en demander.

Tu termines ta boisson, joue avec les glaçons.
Le serveur d’un geste te demande ta prochaine action, tu refuses.

Dans la réflexion -surtout l’attente- tu ne fais pas attention à la personne qui se positionne à tes côtés. Un coup d'œil rapide et le rose s’éparpille dans tes pupilles ; vos coudes se touchent presque, elle se positionne dans l’espace comme si tout lui appartenait, comme si elle était maîtresse des lieux. Tu le sais, elle ne l’est pas, mais l’impression est là.

Ton verre est attrapé par la personne en charge, un paquet t’es tendu. Tu comprends ce qu’il se passe. Encore une fois. Ta moue s’échappe pour laisser place un léger sourire, à des yeux de biche, tes doigts se servent dans ce qui est si gentiment proposé. Le filtre entre tes lèvres tu lui prends également sa main encore munie de son zippo, laisse la flamme imprégner le tabac sans jamais en toucher la source, tes orbes bleus plantés dans les siens.

Y’a pas à chier, la vue est agréable, penses-tu en soufflant fumée.
Tu attrapes ce nouveau verre, trinque avec celui qu’elle te tend.

« Je ne la parfait pas, je la maitrise depuis bien trop d’années pour ça. »
lui répond-tu accompagné d’un clin d'œil. Un surnom intéressant, loin de ceux que tu as l’habitude d’entendre. On se lasse rapidement des “mon coeur”, on entend même plus le “poupée” et le “chérie” rentre par une oreille et sort aussitôt par l’autre. Et puis surtout tu n’as pas l’habitude d’être abordée par le même genre que toi, bien qu’il soit tout autant attirant, voir plus. Elle n’a pas son pareil dans la façon de t’aborder, tu es tout de suite captivée.

C’est acté. Tu ne sais pas ce qu’elle te veut, peut-être simplement discuter avec toi. Mais tu sais déjà que tu feras tout pour l'accueillir dans tes draps ce soir, pour discuter sans être agressé par la musique, pour lui chanter tes meilleurs refrains.

Tes cuisses tremblent déjà d’impatience d’avoir ce visage entre elles.

« Je suis avec une amie, mais quelqu’un l’a emporté pour danser alors je la surveille de loin en attendant de savoir si je rentre avec elle ou non. »
dis-tu avant de te tourner vers elle, yeux farouches.
« Si tu veux, en attendant, je peux te donner quelques conseils pour entraîner ta resting bitch face. »
avec un nouveau sourire.

Oh évidemment tu n’as pas déborder au décolleté fulgurant de celle qui te fait face, les lanières de cuire dévoilant un chemin que tu t’aventurerais bien de prendre. Un rien sera nécessaire pour ouvrir cette cage, tu t’y vois déjà, t’imagine déjà. Aspect sensuel au visage balafré, un corps de rêve pour une personne semblant prête à t’offrir mont et merveilles pour te faire toucher le plus haut des ciels. D’une caresse docile à une main sur ta gorge il n’y a que l’envie qui diffère.

Tu poses ton verre après en avoir bu une lichée,
repose ton menton sur le dos de ta main.

« Pour ce qui est de s’amuser, si tu as une idée, je suis toute ouïe. »
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Victoria B. Strutt
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Victoria B. Strutt
Jeu 11 Mai - 17:51
@Baal_zebi


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Undress ‘em


Undress ‘em


Undress ‘em





   
Elles trinquent. Les orbes bleues de l’une trouvent les opales de l’autre et, le temps d’un tintement, ne subsiste de ce monde fade et gris qu’un tango rose et un gramophone azuré. Jamais le poison n’aura eu l’ai si alléchant. La sucrerie bat des cils, lançant de simple mouvements de paupières tout l’orgueil d’une femme déjà victorieuse. A croire que, d’un regard, Victoria toute entière lui appartient. D’un tremblement de sa –au demeurant invitante- lippe, la belle est devient la seule gardienne des clés du paradis.
Et ça l’enrage.

La jeune femme confirme à Baal ce que toutes deux savaient déjà : sa resting bitchface est une ode à la fierté ; un hommage tendre et réussi au god complex que tout un chacun se doit de voir au moins une fois dans sa vie. Histoire de savoir à quoi ça ressemble, quelqu’un qui fait la gueule sans le montrer. Vi sourit de toutes ses dents. S’appuie un peu plus sur son coude, baisse la tête pour être au même niveau qu’elle. Marque un bref arrêt, détaillant sans même essayer de le cacher les traits de sa comparse colorée. Hausse les épaules.

« -Meh ! 4/10, du potentiel, mais toujours bien trop cute pour être convaincant. J’t’apprendrai tout plein d’expression faciales, si tu veux ! », glisse l’armoire au guéridon. Elle soutient le regard de l’autre, laissant la lueur de défi passer d’une paire d’opales à l’autre.

Fuck, it’s gonna be a fun hunt. Le dessert lui explique qu’elle était venue avec son amie le café-clope, mais quelqu’un a pris l’arabica pendant qu’il ne reste pour Vicky que les gourmandises. Elle ne l’écoute qu’à moitié, son attention glissant vers le bras droit de la jeune femme. Une fantastique manchette aux motifs bien réalisés. Qu’elle a déjà vu quelque part. L’impression que ce tatouage a passé des heures dans sa vision périphérique sans qu’elle ne s’attarde jamais à le regarder vraiment.

La discussion revient à la resting bitchface, et les yeux de Baal à sa maîtresse incontestée. Oh, les mimiques qu’elle voudrait la voir faire. Tordre ce joli minois aux airs d’ange. Faire voler en éclats son air supérieur, sentir la décence quitter son esprit alors qu’il est, peu à peu, une phalange après l’autre, réduit à l’état de bouillie. Sentir ses cuisses tenter d’écraser ses tempes, incapables de s’éloigner de l’outil qui les fait vibrer. Baal fait mine de réfléchir, posant son doigt contre ses lèvres. L’envie de bénir le sort de ne lui pas avoir filé de chromosome Y pop dans sa tête : son pantalon en serait devenu bien trop étroit.

Vi laisse ses billes bleu de glace tomber vers la douceur, alors que son index finit par se loger entre ses dents. Encore une fois, le temps semble s’arrêter, alors qu’une moue lascive échappe à l’irlandaise. Elle aimerait tant la déshonorer sur trois générations à grands coups de langue.

« -On peut assumer notre côté pétasse, et regarder la foule pour juger les charos et leurs approches de merde, les moches qui gesticulent pour essayer de se sentir exister, et les pimbêches qui veulent juste sentir l’assemblée les dénuder du regard. », commence la rose, s’amusant elle-même à imaginer le satin rose tomber au sol, « -Ou alors on trouve un type un peu débile, on lui fait croire qu’on veut faire un plan à trois et on se fait rincer toute la soirée. Ca, c’est assumer le côté michto. »

Le majordome se retourne vers la salle, appuyant ses deux coudes au bar. Elle cherche brièvement une éventuelle cible, puis finit pas se pencher vers la belle.

« -Tiens, frisettes là-bas : Il pourrait faire l’affaire. Sinon… » Tournant la tête, le tas de muscle approche ses lèvres de l’oreille de sa cible. « -On peut assumer notre côté salope. » Et y déposer son venin.

« -Qu’est-ce qui te fait le plus envie, muffin ? A part mon décolleté, bien évidemment. »

Au loin, la cohue continue. Baal bombe le torse, s’amusant à offrir, de biais, une fenêtre par laquelle le dessert a tout le loisir de détailler une poitrine plus chiche qu’elle n’en a l’air de prime abord. Elle fronce les sourcils.

« -Rassure-moi, strawberry shortcake. Ta copine, c’est pas celle qui se fait tirer par le bras par le gros lourdeau plus bleu que l’atlantique, là-bas ? », souffle un chien aux babines retroussées déguisé en irlandaise aux cheveux roses. « -Parce que si c’est elle, on va devoir latter une ou deux couilles. »

Toujours son verre à la main, l’ancienne mécano observe la scène avec un sourire carnassier. Pitié, que ce soit ça pote. Ca f’sait longtemps, une bonne raison de latter des couilles.



Lumopolis + 2047 + @dogs___teeth




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Jeu 25 Mai - 11:11
@dogs___teeth

cause
all you wanna
do is
squeeze me
please me
birds and
the bees
me

Un gloussement s’échappera de ton gosier à la note donnée, preuve encore une fois de tes talents de faussaire, de la marchandise trompe l'œil que tu es. D’apparence douce, un bonbon pastel, un joli paquet qui cache en réalité toute l’acidité que chaque femme devrait posséder pour faire face à la société actuelle. Comment pourrait-on prévoir à l’avance le tempérament de feu caché sous cet amas de soie rose ? Cela dit, s’il faut jouer le jeu de la biche égarée pour qu’elle t’apprenne comme si gentiment proposé de nouvelles expressions… Tu es prête à étouffer un peu tes flammes. Un énième seau d’eau pour que la bataille change de terrain, plus appréciable mêler dans des draps que dans cette boîte miteuse.

Si ta copine n’était pas là, tu n’aurais pas eu la patience. Tu connais les tournures de phrase, tu as trop de fois senti les crocs sur l’argile, vu les regards qui déshabillent plus rapidement que tu n’acceptes l’offre. Il ne suffirait que de quelques mots timides, saupoudrés d'indécence, pour que la rose à la carrure si bien établie t’emmène loin de là.

Au Diable le cheval blanc,
tu veux la marque de ses mains sur tes gigues.

Tu l’écoutes, venin sur ses lèvres, déblatérer un langage bien dur que tu apprécies. Tu la place dans la catégorie des charos ; mais ce n’est évidemment pas pour te déplaire.

« Aaah… En voilà une bonne idée. Comment allier l’utile à l’agréable. De l’alcool gratuit offert par le bouffon qui fera des pieds et des mains pour jongler correctement avec ses balles, histoire d’être sûr qu’on se retrouve dans son pieu cette nuit. »


Quand vraiment ce sera celui de ta partenaire de crime.
Ou le tiens ?

Des formalités tout ça, on verra plus tard. Pour l’instant tu es bien trop occupée à contenir le frisson qui parcourt ton corps, provoqué par la nouvelle proposition cachée glissée au creux de ton oreille. Tu croises à nouveau tes jambes, cette fois-ci plus fermement. Qu’est ce que t’aime quand ils te font cet effet là, celui où tu pourrais dans d’autres circonstances te jeter sur eux et te donner toute entière comme un agneau dans une meute de loups.

« Beaucoup de choses me font envie actuellement, beaucoup sont réalisables. Certaines plus excitantes que d’autres, cependant je suis au regret de t’annoncer que Frisette ne fait pas partie de mes projets. »


À la mention du décolleté, tes yeux s’y replongent sans vraiment s’en cacher alors qu’elle se redresse, ils font un aller-retour plus ou moins rapide avant de regagner l’océan que vous partagez dans un regard de côté. Tu glisses un peu plus vers elle, ton visage toujours porté sur le peuple qui danse bien que ton attention soit toute ailleurs.

« Parle moi plutôt de ce côté salope. »


Qui a un jour dit que la curiosité est un vilain défaut ?

Il n’y aura tristement pas de suite à cet échange… Car la rose t’indique le problème auquel tu vas faire face. Tes yeux se plissent, ton sourire s’efface ; ton sang commence à bouillir. Un coup d'œil rapide sur ton téléphone ; aucun message de Becca. Mais c’est bien elle que tu vois entrain de se faire emmerder. Alors tu ne prends même pas la peine de répondre, le monde autour de toi n’est plus. T’as beaucoup de défauts, beaucoup de mauvaises choses en toi… Matérialiste comme pas deux, attiré par l’odeur de l’argent, un brin manipulatrice et très opportuniste. Mais on ne touche pas à tes proches. Jamais.

Tu lèves ton cul de ta chaise, ne prends même pas la peine de répondre à la rose ou de tirer ta robe vers le bas pour la remettre en place, car c’est devenu futile. Tu vois rouge. Dans ton esprit ce mec est déjà mort. Tes talons claquent le sol aussi vite que la biche s’est enfuie pour laisser place au feu qui brûle et, arrivé à hauteur, tu ne réfléchis plus.

« Hey connard. »


Tu ne réfléchis plus car tu es sanguine Felicy. Tu agis même quand c'est perdu d'avance. Tu ne comprends pas les expressions à la con comme tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler, ou réfléchir avant d’agir. C’est des conneries, c’est hors de ton vocabulaire. Par-contre, ta main dans sa gueule, c’est du réel et tu sais d’expérience que ça fonctionne et assez bien de surcroît. Alors c’est ce que tu fais, plaçant d’abord l’autre sur celle qui tenait le bras de ton amie pour la retirer, pour effectivement écraser ensuite ta main sur sa joue avec toute la force que tu possèdes. C’est à dire pas beaucoup, mais juste assez pour faire chauffer la peau, voir laisser un bel hématome.

Tu l’espère en tout cas.

« Ta putin de mère a pas eu le temps de t’apprendre les bonnes manières ? Elle t’a abandonné trop vite c’est ça ? »


Tu le pousses, lui hurle dessus comme s’il pouvait entendre clairement ce que tu disais alors que vous êtes en plein milieu de la foule. Certains se retournent, la plupart vous ignorent et alors que Becca se planque derrière toi, c’est maintenant ton bras qui est attrapé.
(c) kitty from the moon
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Victoria B. Strutt
Victoria B. Strutt
Popularité : 2000
Gif : strawberries & cigarettes ft. victoria Vi-vi-wink
Onyx : 142
Occupation : Majord'homme
Faceclaim : Vi - Arcane// Demi Bennett
Pronoms : Unrelevant
Trigger Warning : Pour vous: Violence, self harm, dépression, sexe
Double Compte : Magnus Werner
Upgrades & Inventaire : Prothèses de combat parce que bagarre tu coco
Lecteur de puces

Lexus LFA 2011 Edition Nürburgring
Bo escamotable
Pistolet calibre .45
Un paquet de clopes, un paquet de feuilles et de la marijuana
Victoria B. Strutt
Mer 14 Juin - 1:25
@Baal_zebi


Don’t meet your idols, they say



Undress ‘em


Undress ‘em


Undress ‘em






Et la sucrerie s’en va. Dans son dos, Baal laisse son sourire s’élargir. Parce qu’elle a le loisir d’observer son popotin osciller furieusement de gauche à droite, déjà. Ensuite, parce qu’une fois ce –très appétissant, au demeurant- petit cul arrivé à destination, la brute aura droit à un peu de bagarre.
Et justifiée, la bagarre ! Des culs et de la baston. Mais que demande le peuple, messieurs dames ! Elles arrivent vers leur victime, et le muffin ne réfléchit pas. Commence par une baffe, et enchaîne en parlant des mamans. Merde., pense la rose. C’est donc ça, le coup de foudre ?
Et l’autre qui attrape le bras de la belle. Baal lui chope la gorge. Adresse une moue mauvaise au connard.
« -Touche pas à mon dessert, gamin. », lâche l’irish pour accompagner le coup de boule qu’elle lui assène.

Une clé de cou plus tard, l’ancienne mécanicienne lance au bonbon en robe rose son idée de génie.
« -Excuse-moi, muffin : j’ai promis au videur de casser la bouche à personne, ce soir. », ment-elle. « -Tu pourrais lui latter les couilles à ma place ? », propose un Baal bien trop heureuse pour être naïve.
Ca lui avait manqué, une bonne vieille baston d’ivrognes. Une altercation simple, l’un des –malheureusement nombreux- désaccords de soirée, qui, à force d’orgueil et d’éthanol, dégénère en pugilat. Même si la compétition, de par son état d’ébriété avancé, n’offre pas la résistance attendue ; Baal sait apprécier l’îlot de violence presque gratuite qu’on lui présente.

Souhaitant pousser sa voix par-dessus les rugissements du badaud, Victoria donne de la voix, lançant deux opales enjouées vers sa compère.

« -Allez, Pink-tan ! Lance un grand coup de tibia dans ses couilles, il est pas prêt de s’en servir, t’façon ! »

Et l’irish qui rit, en sentant l’autre bondir sur place entre ses bras. Qui passes ses genoux entre les cuisses du type le plus malchanceux de la soirée pour pouvoir donner champ libre à la sucrerie et son amie.
« -Allez-y ! Nous sommes, mesdames et messieurs, en présence d’un gros forceur ! N’hésitez pas, pétez-lui les roustons ! Pour tout coup donné sur la couille gauche, on vous offre une tatane dans la droite ! C’est moins cher que gratuit ! »

Avec sa grande gueule, la rose, elle attire l’attention. Alors, bientôt, les potes du type arrivent. Baal le laisse tomber au sol et décoche une droite au premier débile qui s’approche en annonçant ses envies de violence. Le deuxième finit avec le bout d’un bo dans les dents. Le videur sépare tout le monde avant que la femme de main puisse s’entraîner un peu, et la masse de muscle enveloppée dans une doudoune noire attrape gravement Baal par le bras. Fronce les sourcils, en regardant les trois types au sol qui beuglent toutes sortes de menaces qu’ils sont incapables d’honorer.

« -Tu fais chier, Baal. Une mandale, à la limite. Si elle est justifiée. Mais trois mecs par terre, alors que t’as même pas une égratignure… » L’irlandaise montre du doigt son sourcil gauche, où une cicatrice sépare le cuir chevelu en deux entités distinctes. L’autre rit. « -Celle-là, je t’ai toujours connue avec. Allez, dehors ! Et reviens pas pendant deux semaines, sinon le patron va encore m’emmerder. »

L’intéressée soupire, et lance un regard résigné aux deux jeunes femmes. Hausse les épaules.
« -Désolée, muffin, je ne pourrai pas te décorer le bijou dans les toilettes ce soir ! »



Lumopolis + 2047 + @dogs___teeth





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